
Designer
de territoires
de territoires
Imaginer les territoires en designer, c’est intégrer la crise environnementale comme cadre général de nos activités, penser simultanément le cadre de vie et l’équilibre des ressources, croiser transversalement tous nos savoirs autour de chaque problématique.
C’est aussi s’inscrire dans une dynamique permanente de prise en considération des dernières avancées technologiques et ainsi confronter nos idées au regard des usages.
Un job chez VERDI ?
Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.
Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
Bâtiment durable
Mobilités
Équilibre des ressources
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Gestion des ressources
Biodiversité

Réinventer les territoires à partir des usages
Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer
On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.














Nos réalisations
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
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Ensembles, nous sommes
Designer de territoires
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Actualités

Ouest-France | 22.06.2025
Sainte-Foy, le hameau de la Billonnière raccordé au réseau collectif d’assainissement
Des travaux sont actuellement en cours au hameau de la Billonnière, à Sainte-Foy (Vendée), pour raccorder les habitants au réseau d’assainissement collectif. Débutés en octobre 2024, ils devraient prendre fin au printemps 2026.
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Noël Verdon, le maire de Sainte-Foy (Vendée) et son adjoint aux travaux, Daniel Colas organisaient, ce mardi, une visite du chantier d’assainissement du hameau de la Billonnière. Une analyse a révélé que 35 % des systèmes d’assainissement non collectifs n’étaient pas conformes, générant pollution des fossés et de la source du cours d’eau qui alimente le lac du Tanchet.

De gauche à droite, Noël Verdon, maire ; Nancy Delanoë du cabinet Verdi, maître d’œuvre ; Daniel Colas, adjoint aux travaux ; Damien Lecoq, Les Sables Agglomération ; Vincent Roux et ses collègues de LVI TP (Loire-Vendée-Infrastructures TP) sur le chantier. | Photo Ouest-France
Plus de 300 branchements à réaliser
Des travaux de raccordements sont donc en cours depuis octobre 2024 jusqu’au printemps 2026. Ce sont 6 km de réseaux et cinq postes de refoulement qui sont nécessaires pour se raccorder à la station d’épuration des Sables-d’Olonne. Le maire, Noël Verdon, explique que “ la caractéristique des rues de ce secteur, en arête de poissons a nécessité beaucoup plus de canalisations”. Pour assurer les plus de 300 branchements dans une dizaine de rues, le budget de l’opération est de 3,5 millions d’euros. Cinq à six maisons, rue du Bocage, ne pourront être raccordées pour des raisons techniques.
Les élus précisent qu’il n’y aura aucun coût pour les riverains. Les failles creusées sont impressionnantes de profondeur pour assurer la pente nécessaire à l’évacuation mais une seule difficulté a été rencontrée sur un rocher au carrefour. Daniel Colas, adjoint aux travaux, précise que “ des travaux de voirie seront nécessaires à suivre d’autant que la réalisation de pistes cyclables est programmée ”

De gauche à droite, Noël Verdon, maire ; Nancy Delanoë du cabinet Verdi, maître d’œuvre ; Daniel Colas, adjoint aux travaux ; Damien Lecoq, Les Sables Agglomération ; Vincent Roux et ses collègues de LVI TP (Loire-Vendée-Infrastructures TP) sur le chantier. | Photo Ouest-France
Plus de 300 branchements à réaliser
Des travaux de raccordements sont donc en cours depuis octobre 2024 jusqu’au printemps 2026. Ce sont 6 km de réseaux et cinq postes de refoulement qui sont nécessaires pour se raccorder à la station d’épuration des Sables-d’Olonne. Le maire, Noël Verdon, explique que “ la caractéristique des rues de ce secteur, en arête de poissons a nécessité beaucoup plus de canalisations”. Pour assurer les plus de 300 branchements dans une dizaine de rues, le budget de l’opération est de 3,5 millions d’euros. Cinq à six maisons, rue du Bocage, ne pourront être raccordées pour des raisons techniques.
Les élus précisent qu’il n’y aura aucun coût pour les riverains. Les failles creusées sont impressionnantes de profondeur pour assurer la pente nécessaire à l’évacuation mais une seule difficulté a été rencontrée sur un rocher au carrefour. Daniel Colas, adjoint aux travaux, précise que “ des travaux de voirie seront nécessaires à suivre d’autant que la réalisation de pistes cyclables est programmée ”

Sud Ouest | 19.06.2025 | Lucille Besse
On a eu quelques frayeurs.
Le défi derrière le chantier
du nouveau rooftop Biarritz Bonheur
Le défi derrière le chantier
du nouveau rooftop Biarritz Bonheur
À la mi-mai, les badauds ont découvert le panorama exceptionnel - et jusqu’alors insoupçonné - qu’offre le toit des Galeries Lafayette de Biarritz. Derrière le chantier du restaurant et rooftop Biarritz Bonheur, une volonté de préserver le patrimoine et pas mal de défis.
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Le panorama est grandiose : la Grande Plage, le Casino et l’hôtel du Palais. L’une des plus belles vues de Biarritz, pourtant jalousement gardée pendant de longues années sur le toit des Galeries Lafayette. L’endroit servait à entreposer des équipements techniques et seule une poignée de personnes travaillant pour l’enseigne y avait accès.

De gauche à droite : Romain Labbé, Peio Aguerrebere de l’entreprise Verdi, Alice Dardek (Citynove), Imanol Harinordoquy, Jean-Michel Suhubiette et Alessandro Baiguera. © Crédit photo : Daniele Rocco
Ce spot perché s’est dévoilé, le 14 mai, à l’ouverture du restaurant et rooftop Biarritz Bonheur. Aux manettes, deux figures locales : l’ancien international de rugby Imanol Harinordoquy et le restaurateur Jean-Michel Suhubiette. En cuisine, le chef Nicolas Garbay orchestre une carte signée Matthias Marc, ancien candidat de l’émission Top Chef, à la tête du restaurant étoilé Substance, à Paris.

Le toit des Galeries avant les travaux.
Le duo d’entrepreneurs locaux a remporté un appel d’offres lancé par Citynove, la foncière des Galeries Lafayette. Romain Labbé, son directeur général adjoint, a découvert ce lieu inexploité il y a quelques années, avec l’envie de redonner vie à ce patrimoine exceptionnel.
Quand ils déposent leur dossier, il y a un peu plus de quatre ans, Imanol Harinordoquy et Jean-Michel Suhubiette n’ont pas l’opportunité de visiter l’endroit. Malgré cela, ils parviennent à monter un projet dont le sérieux convainc Citynove, qui leur confie l’exploitation.
Les travaux, sur deux niveaux, consistent en l’ouverture d’un restaurant surmonté d’un rooftop visant à requalifier la toiture-terrasse de 100 m² et offrir une vue sur l’océan. Il inclut un accès direct au restaurant et la réinterprétation d’une verrière d’origine, datant de 1925.
Esprit rugby
Élément central du chantier, ce lanterneau de 92 m² a conduit l’architecte Alessandro Baiguera - du cabinet Boteko en charge des travaux - à se plonger dans les archives départementales afin d’être au plus près de la version initiale. “ Nous sommes repartis des plans retrouvés pour lui redonner vie et la sublimer, très exactement cent ans plus tard ”, confie avec satisfaction Romain Labbé.

En cuisine, le chef Nicolas Garbay orchestre une carte signée Matthias Marc, ancien candidat de l’émission Top Chef. Photo Arthur Capy
Imanol Harinordoquy et Jean-Michel Suhubiette se sont largement impliqués dans le processus : “ On a travaillé main dans la main avec Citynove et les artisans. On a participé à toute la partie gros œuvre, en étant là aux réunions de chantier et en prenant part au suivi des travaux. Nous n’étions pas là uniquement en tant qu’exploitants ”, apprécie l’ancien joueur de rugby, qui souligne : “ les travaux ont été faits par des entreprises locales, implantées dans un rayon de 40 à 50 kilomètres de Biarritz. ”
“ C’est peut-être l’esprit rugby qui ressort ”, abonde Romain Labbé. “ C’est vrai que c’était assez atypique dans la manière de faire. Un esprit d’équipe s’est installé naturellement. Toutes les difficultés, on les a traversées ensemble. ”
Et elles n’ont pas manqué. Premier défi : mener le chantier dans un magasin resté ouvert au public. “ On devait intervenir de nuit, en horaires décalés, ou veiller à ne pas faire trop de bruit ”, raconte-t-il.
Un trou béant
“ On s’est aussi retrouvé, à un moment donné, avec un énorme trou béant au-dessus du restaurant, poursuit-il. On a fait un échafaudage, avec une grande couverture. ” Pas une mince affaire, face à l’océan, alors que plusieurs nuits ont été marquées par de fortes intempéries, avec beaucoup de pluie et de vent. “ Il ne fallait absolument pas que de l’eau rentre dans les Galeries. On a dû intervenir en urgence plusieurs fois, c’était assez périlleux. On s’est fait quelques frayeurs ! ”

Plusieurs interventions en urgence ont dû avoir lieu sur cet échafaudage couvert, pour protéger les Galeries Lafayette des intempéries. Photo Daniele Rocco
L’acheminement des matériaux a aussi donné du fil à retordre : “ Ces grandes poutres, que vous voyez là, ont été amenées d’un seul tenant, poursuit Romain Labbé, en pointant la structure du rooftop. C’était très ambitieux de pouvoir le faire, encore une fois dans un magasin ouvert, dans un centre-ville historique, où on n’a pas le droit de livrer, pas le droit de stationner. ”
Les Galeries Lafayette de Biarritz accueillent en moyenne 1,2 million de visiteurs par an. Le restaurant Biarritz Bonheur, ouvert en continu de 9 heures à 1 h 30 du matin, sert du premier café de la journée au dernier verre du soir. L’établissement peut accueillir jusqu’à 300 personnes.
Citynove ne communique pas d’objectif chiffré sur la fréquentation que pourrait générer Biarritz Bonheur, mais espère faire de l’enseigne un lieu de vie.

De gauche à droite : Romain Labbé, Peio Aguerrebere de l’entreprise Verdi, Alice Dardek (Citynove), Imanol Harinordoquy, Jean-Michel Suhubiette et Alessandro Baiguera. © Crédit photo : Daniele Rocco
Ce spot perché s’est dévoilé, le 14 mai, à l’ouverture du restaurant et rooftop Biarritz Bonheur. Aux manettes, deux figures locales : l’ancien international de rugby Imanol Harinordoquy et le restaurateur Jean-Michel Suhubiette. En cuisine, le chef Nicolas Garbay orchestre une carte signée Matthias Marc, ancien candidat de l’émission Top Chef, à la tête du restaurant étoilé Substance, à Paris.

Le toit des Galeries avant les travaux.
Le duo d’entrepreneurs locaux a remporté un appel d’offres lancé par Citynove, la foncière des Galeries Lafayette. Romain Labbé, son directeur général adjoint, a découvert ce lieu inexploité il y a quelques années, avec l’envie de redonner vie à ce patrimoine exceptionnel.
Quand ils déposent leur dossier, il y a un peu plus de quatre ans, Imanol Harinordoquy et Jean-Michel Suhubiette n’ont pas l’opportunité de visiter l’endroit. Malgré cela, ils parviennent à monter un projet dont le sérieux convainc Citynove, qui leur confie l’exploitation.
Les travaux, sur deux niveaux, consistent en l’ouverture d’un restaurant surmonté d’un rooftop visant à requalifier la toiture-terrasse de 100 m² et offrir une vue sur l’océan. Il inclut un accès direct au restaurant et la réinterprétation d’une verrière d’origine, datant de 1925.
Esprit rugby
Élément central du chantier, ce lanterneau de 92 m² a conduit l’architecte Alessandro Baiguera - du cabinet Boteko en charge des travaux - à se plonger dans les archives départementales afin d’être au plus près de la version initiale. “ Nous sommes repartis des plans retrouvés pour lui redonner vie et la sublimer, très exactement cent ans plus tard ”, confie avec satisfaction Romain Labbé.

En cuisine, le chef Nicolas Garbay orchestre une carte signée Matthias Marc, ancien candidat de l’émission Top Chef. Photo Arthur Capy
Imanol Harinordoquy et Jean-Michel Suhubiette se sont largement impliqués dans le processus : “ On a travaillé main dans la main avec Citynove et les artisans. On a participé à toute la partie gros œuvre, en étant là aux réunions de chantier et en prenant part au suivi des travaux. Nous n’étions pas là uniquement en tant qu’exploitants ”, apprécie l’ancien joueur de rugby, qui souligne : “ les travaux ont été faits par des entreprises locales, implantées dans un rayon de 40 à 50 kilomètres de Biarritz. ”
“ C’est peut-être l’esprit rugby qui ressort ”, abonde Romain Labbé. “ C’est vrai que c’était assez atypique dans la manière de faire. Un esprit d’équipe s’est installé naturellement. Toutes les difficultés, on les a traversées ensemble. ”
Et elles n’ont pas manqué. Premier défi : mener le chantier dans un magasin resté ouvert au public. “ On devait intervenir de nuit, en horaires décalés, ou veiller à ne pas faire trop de bruit ”, raconte-t-il.
Un trou béant
“ On s’est aussi retrouvé, à un moment donné, avec un énorme trou béant au-dessus du restaurant, poursuit-il. On a fait un échafaudage, avec une grande couverture. ” Pas une mince affaire, face à l’océan, alors que plusieurs nuits ont été marquées par de fortes intempéries, avec beaucoup de pluie et de vent. “ Il ne fallait absolument pas que de l’eau rentre dans les Galeries. On a dû intervenir en urgence plusieurs fois, c’était assez périlleux. On s’est fait quelques frayeurs ! ”

Plusieurs interventions en urgence ont dû avoir lieu sur cet échafaudage couvert, pour protéger les Galeries Lafayette des intempéries. Photo Daniele Rocco
L’acheminement des matériaux a aussi donné du fil à retordre : “ Ces grandes poutres, que vous voyez là, ont été amenées d’un seul tenant, poursuit Romain Labbé, en pointant la structure du rooftop. C’était très ambitieux de pouvoir le faire, encore une fois dans un magasin ouvert, dans un centre-ville historique, où on n’a pas le droit de livrer, pas le droit de stationner. ”
Les Galeries Lafayette de Biarritz accueillent en moyenne 1,2 million de visiteurs par an. Le restaurant Biarritz Bonheur, ouvert en continu de 9 heures à 1 h 30 du matin, sert du premier café de la journée au dernier verre du soir. L’établissement peut accueillir jusqu’à 300 personnes.
Citynove ne communique pas d’objectif chiffré sur la fréquentation que pourrait générer Biarritz Bonheur, mais espère faire de l’enseigne un lieu de vie.
Le Progrès | 18.06.2025
Lons-le-Saunier : Ils l'attendent depuis vingt-cinq ans : pluie de compliments pour le nouveau visage de la gare
Le pôle d’échange multimodal de la gare de Lons-le-Saunier a été inauguré ce mercredi 18 juin. Promis aux Lédoniens et aux usagers de la gare depuis plus de 25 ans, ce projet offre un nouveau visage, complètement transfiguré et verdi mais surtout en adéquation avec les mutations imposées par le changement climatique.
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L’inauguration s’est tenue ce mercredi 18 juin en présence du préfet du Jura, Pierre-Édouard Colliex, de la députée Danielle Brulebois, de la présidente de Région, Marie-Guite Dufay, et de la directrice du développement des gares de Bourgogne-Franche-Comté, Sophie Ducordeaux. Photo Karine Jourdant
“ On n’a pas deux fois l’occasion de faire bonne impression. Et les investissements majeurs que vous avez consentis collectivement vont permettre à Lons-le-Saunier de faire une excellente bonne impression. ” C’est par ces mots que Pierre-Édouard Colliex, préfet du Jura, a commencé son discours lors de l’inauguration du pôle multimodal de la gare de Lons, ce mercredi 18 juin. Le représentant de l’État a qualifié cette réalisation d’absolument magnifique. Et à en juger par les superlatifs entendus tout au long de cette cérémonie, son avis s’avère partagé.
Une démarche globale de verdissement
Il faut dire que le projet était très attendu. “ On en parle depuis 1999 ”, a rappelé Jean-Yves Ravier, maire. Et c’est donc avec un plaisir non dissimulé qu’il a coupé le ruban, livrant ainsi symboliquement ce nouveau parvis piétonnisé et ces nouveaux quais de gare routière aux habitants de la ville et du territoire, mais aussi à tous les usagers de la SNCF et des transports en commun. “ Nous avons intégré la végétation comme colonne vertébrale du projet ”, a souligné l’élu en évoquant ce nouveau “ carrefour des mobilités ” inscrit dans une démarche globale pour “ une ville de demain moins carbonée et plus fluide ”.
Sophie Ducordeaux, directrice du développement des gares de Bourgogne-Franche-Comté SNCF gares et connexions s’est félicitée de cette “ amélioration de confort significative au bénéfice des usagers de la SNCF ”. Elle a rappelé que cette gare avait été mise en service en 1862 par la société historique Paris-Lyon-Méditerranée. “ Une gare, c’est un lieu de vie, mais aussi un lieu où on va maintenant avoir la concentration de toutes les mobilités et de toutes les invitations au voyage. ” Elle a également confirmé l’engagement prochain de la SNCF gares et connexions, aux côtés de la Ville de Lons-le-Saunier, pour mettre en place une rampe et un ascenseur côté sud pour “ finaliser l’accessibilité de la gare ”.
Bientôt de nouvelles rames de train
Très attendue sur le sujet de la problématique des dessertes ferroviaires dans le Jura, souvent jugées insuffisantes, Marie-Guite Dufay a dégainé ses chiffres. “ Nous avons travaillé main dans la main pour que les dessertes Mobigo soient mieux articulées avec les dessertes locales ”, a souligné la présidente de la Région. L’offre de cars a été “ considérablement renforcée sur l’axe Lons-Dijon ”, a-t-elle rappelé. “ Dans quelques jours, notre assemblée votera pour un investissement de 170 millions d’euros pour acquérir de nouvelles rames de train, dont plusieurs circuleront sur l’axe Besançon-Lons-Lyon. Je comprends l’impatience des Jurassiens. Je la partage. Nous continuons de nous battre. Nous négocions actuellement pour un aller-retour supplémentaire entre Belfort et Lyon passant par Lons à partir de décembre. À ce stade, des obstacles techniques nous sont opposés. ”
“ Cette réalisation va rendre encore plus d’attractivité à notre gare de Lons-le-Saunier ”, a conclu la députée Renaissance du Jura. Danielle Brulebois, elle aussi sous le charme de cette nouvelle esplanade, a pour sa part insistée sur la qualité du travail des entreprises jurassiennes qui se sont impliquées sur ce chantier pour un rendu très réussi.

La gare en chiffres 500 000 La gare de Lons-le-Saunier accueille 500 000 voyageurs par an. 2 100 Tous les jours, 2 100 collégiens et lycéens utilisent le transport par gare et fréquentent ainsi le nouveau pôle d’échange multimodal. 3,6 millions Au total, pour la réalisation de ce projet global, 3,6 millions d’euros ont été investis. La Région a participé à hauteur d’un million d’euros, l’État a donné 567 000 euros et 500 000 euros sont attendus de l’Europe. 90 Pour reverdir cet espace qui était très minéral et donner de l’ombre sur cette esplanade, 90 arbres ont été plantés. 42 La gare de Lons-le-Saunier accueille chaque jour 42 trains, tout comme celle de Mouchard. Jusqu’à 70 trains circulent quotidiennement à Dole. |
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