Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.


Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
 
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
 
Équilibre des ressources
 
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Réinventer les territoires à partir des usages

Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer

On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
 
Ensembles, nous sommes
Designer de territoires

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Actualités
LihtZOOMLumière | 19.11.2025
Un projet nommé au Prix de la mise en valeur du patrimoine bâti 2025
Ce prix, récompense les projets enrichissant notre patrimoine grâce à l'éclairage. Ce ne sont pas seulement des réalisations techniques, mais de véritables sources d'inspiration. Ils mettent en avant le savoir-faire des concepteurs lumière qui parviennent à allier respect du patrimoine historique et regard contemporain sur la ville.
LihtZOOMLumière | 19.11.2025 | Vincent Laganier

En longeant la rue Victor Hugo du Quesnoy, difficile de passer à côté. Un géant de fer tout en largeur couvre les remparts de la porte de la Flamengrie. En cours, une rénovation de la muraille, la porte de la Flamengrie un projet de valorisation touristique et environnemental mené par la ville.



Maîtrise d’ouvrage : Ville de Le Quesnoy
Architecte du patrimoine : François Bisman
Bureau d’études techniques : Verdi Nord de France
Conception lumière : Stéphane Servant, Agence Soizick Bihen
Paysagistes concepteurs : Envergure
Installateur : Eiffage Nord, Jean Philippe Bethencourt

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La Voix du Nord | 17.11.2025
C'est comment une cité minière complètement rénovée ? La cité des Genettes à Liévin montrée en exemple
Beaucoup de temps, beaucoup d’argent, beaucoup d’acteurs et la volonté de travailler ensemble… Inaugurée samedi après sa rénovation complète, la cité des Genettes est la démonstration que signer l’ERBM (Engagement pour le renouveau du bassin minier) n’était que la première étape d’un long processus. 
Le chantier de la cité des Genettes à Liévin est officiellement achevé. Les élus, le représentant du bailleur et le préfet du Pas-de-Calais ont marqué solennellement ce moment en dévoilant une plaque à l’angle des rues François-Malherbe et Alfred-de-Musset samedi matin. Huit ans et demi ont passé depuis un autre moment solennel, celui de la signature de l’ERBM (Engagement pour le renouveau du bassin minier) à Oignies. Preuve qu’après une décision politique, tout ne se fait pas en un claquement de doigts.

Cinq ans de chantiers
D’une certaine manière, la cité des Genettes et ses 162 logements sont une parfaite illustration de cet ERBM dont la principale promesse de l’État était d’injecter 100 millions d’euros, sur dix ans, pour la rénovation des maisons des mines, véritables passoires thermiques. Aussi impressionnante soit-elle, la somme ne permettait pas, loin s’en faut, de s’attaquer à l’ensemble des logements. Il a donc fallu choisir. Les Genettes ont eu la chance d’être retenues parmi les premières. Puis très vite, les maires ont fait remarquer que les espaces publics de ces cités minières méritaient aussi d’être remis à neuf. Sous leur pression, en 2022, le président de la République a promis une deuxième enveloppe de 100 millions. Pour les Genettes, la mairie de Liévin avait déjà mené les études. Et encore une fois, la cité a eu la chance d’être choisie.


Plus de verdure dans les rues, mais aussi, revers de la médaille, moins de places de stationnement.

Mais même si elle a été dans les pionnières, même si beaucoup avait été anticipé, elle a vécu cinq ans de chantier : la moitié pour l’intérieur des logements, la moitié pour l’extérieur… « Les habitants ont été très patients », a glissé le maire, Laurent Duporge, dans son discours.


Laurent Touvet, nouveau préfet du Pas-de-Calais, dit avoir découvert « la fierté » du bassin minier.

Mais lui comme tous ceux qui ont pris la parole ont surtout souligné l’effort collectif que symbolise la renaissance des Genettes. « C’est la concrétisation d’un État qui accompagne ses territoires », a constaté Sylvain Robert, président PS de l’agglomération de Lens-Liévin. « L’État est souvent vu comme un grand machin aveugle et insensible. Eh bien non ! » a commenté le nouveau préfet, Laurent Touvet, pour mieux souligner « la coopération entre l’État et les collectivités locales ».


Une plaque pour signaler les travaux de rénovation a été dévoilée.

La rénovation thermique s’est chiffrée à 80 000 euros par logement, soit 13 millions, supportés principalement par le bailleur SIA Habitat. Les travaux des espaces publics, qui ont notamment permis d’enfouir les réseaux aériens, ont coûté 7,2 millions. Fonds européens, État, Région, agglomération et municipalité ont tous mis au pot.
Paris Normandie | 05.11.2025
Le prix de l’eau n’a pas fini d’augmenter dans l’ouest de l’Eure
Après une première hausse controversée, le prix de l’eau va encore augmenter pour financer des usines de traitement et garantir une eau potable face aux nitrates et pesticides dans le Roumois et le plateau du Neubourg.
Les hausses du prix de l’eau votées par le Syndicat d’eau du Roumois et du Plateau du Neubourg ont déjà suscité le mécontentement de nombreux abonnés. Ils ne sont pas au bout de leurs peines. L’assemblée générale exceptionnelle tenue le mardi 4 novembre au Grand Bourgtheroulde a montré que le m3 va encore augmenter dans les années à venir, pour financer les usines de traitement nécessaires pour distribuer une eau de qualité.

Le bureau d’études Verdi de Saint-Martin-du-Vivier était invité à dévoiler les conclusions des études qu’il a menées, pour abaisser la teneur de l’eau en nitrates et en pesticides. Elle dépasse aujourd’hui les seuils autorisés. L’unité du Tremblay-Omonville fait déjà l’objet d’une dérogation de trois ans, renouvelable une fois. Elle doit impérativement être dotée d’une usine de traitement à court terme, pour pouvoir continuer à distribuer de l’eau potable.

Nitrates, pesticides et turbidité
« Les deux captages du Bois du Moulin et des Forrières qui l’alimentent font l’objet de problèmes liés aux nitrates, aux pesticides, à la turbidité et aux matières organiques », indique Anne Torralba, directrice adjointe de Verdi. Elle souhaite que de nouveaux analyseurs soient positionnés pour affiner son diagnostic, de façon à bien dimensionner l’usine qui sera construite pour améliorer la qualité de l’eau.

38 millions d’euros à débourser !
Il est beaucoup plus avancé sur les autres points de captage, surtout confrontés aux pesticides, et sur lesquels il a plus de recul. Ses préconisations jettent le froid dans l’assemblée. Le cabinet Verdi estime qu’il faudra construite 7 à 8 usines sur le territoire. Il évalue leur coût à 38 millions d’euros sur 20 ans, en intégrant les canalisations à mettre en place et les coûts d’exploitation. À elle seule, l’unité de La Neuville-du-Bosc, qui devra être construite en priorité, coûterait près de 13 millions d’euros hors taxes.

« En intégrant le coût de ces usines, il faudrait augmenter le prix de l’eau de 0,92 € le m³ dans les 20 ans qui viennent », prévient Anne Torralba. Et cette prévision n’intègre pas l’usine du Tremblay-Omonville qui induira un surcoût de l’ordre de 20 centimes par m³. Ces chiffres n’incluent pas les autres investissements qui devront être réalisés par ailleurs, pour renouveler les canalisations.

À titre indicatif, le mètre cube est aujourd’hui facturé de 2 € à 2,50 € le mètre cube hors taxes, selon le volume consommé. C’est la douche froide pour les délégués du SERPN. Ils font remarquer qu’une fraction infime de l’eau distribuée doit répondre aux critères de potabilité, pour être bue ou utilisée dans la cuisine.

Les suggestions fusent. L’État doit-il relever ses seuils de tolérance, sachant que nouvelles substances ne manqueront pas d’être mesurées dans les prochaines années ? Faut-il chercher d’autres sources de financement que les abonnés ? Le président Medaerts estime qu’à défaut de mieux, il faudrait au moins faire apparaître une ligne supplémentaire sur les factures à l’avenir, pour mentionner les efforts consentis pour rendre l’eau potable.
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