Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.


Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
 
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
 
Équilibre des ressources
 
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Réinventer les territoires à partir des usages

Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer

On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
 
Ensembles, nous sommes
Designer de territoires

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Actualités
Paris Normandie | 05.11.2025
Le prix de l’eau n’a pas fini d’augmenter dans l’ouest de l’Eure
Après une première hausse controversée, le prix de l’eau va encore augmenter pour financer des usines de traitement et garantir une eau potable face aux nitrates et pesticides dans le Roumois et le plateau du Neubourg.
Les hausses du prix de l’eau votées par le Syndicat d’eau du Roumois et du Plateau du Neubourg ont déjà suscité le mécontentement de nombreux abonnés. Ils ne sont pas au bout de leurs peines. L’assemblée générale exceptionnelle tenue le mardi 4 novembre au Grand Bourgtheroulde a montré que le m3 va encore augmenter dans les années à venir, pour financer les usines de traitement nécessaires pour distribuer une eau de qualité.

Le bureau d’études Verdi de Saint-Martin-du-Vivier était invité à dévoiler les conclusions des études qu’il a menées, pour abaisser la teneur de l’eau en nitrates et en pesticides. Elle dépasse aujourd’hui les seuils autorisés. L’unité du Tremblay-Omonville fait déjà l’objet d’une dérogation de trois ans, renouvelable une fois. Elle doit impérativement être dotée d’une usine de traitement à court terme, pour pouvoir continuer à distribuer de l’eau potable.

Nitrates, pesticides et turbidité
« Les deux captages du Bois du Moulin et des Forrières qui l’alimentent font l’objet de problèmes liés aux nitrates, aux pesticides, à la turbidité et aux matières organiques », indique Anne Torralba, directrice adjointe de Verdi. Elle souhaite que de nouveaux analyseurs soient positionnés pour affiner son diagnostic, de façon à bien dimensionner l’usine qui sera construite pour améliorer la qualité de l’eau.

38 millions d’euros à débourser !
Il est beaucoup plus avancé sur les autres points de captage, surtout confrontés aux pesticides, et sur lesquels il a plus de recul. Ses préconisations jettent le froid dans l’assemblée. Le cabinet Verdi estime qu’il faudra construite 7 à 8 usines sur le territoire. Il évalue leur coût à 38 millions d’euros sur 20 ans, en intégrant les canalisations à mettre en place et les coûts d’exploitation. À elle seule, l’unité de La Neuville-du-Bosc, qui devra être construite en priorité, coûterait près de 13 millions d’euros hors taxes.

« En intégrant le coût de ces usines, il faudrait augmenter le prix de l’eau de 0,92 € le m³ dans les 20 ans qui viennent », prévient Anne Torralba. Et cette prévision n’intègre pas l’usine du Tremblay-Omonville qui induira un surcoût de l’ordre de 20 centimes par m³. Ces chiffres n’incluent pas les autres investissements qui devront être réalisés par ailleurs, pour renouveler les canalisations.

À titre indicatif, le mètre cube est aujourd’hui facturé de 2 € à 2,50 € le mètre cube hors taxes, selon le volume consommé. C’est la douche froide pour les délégués du SERPN. Ils font remarquer qu’une fraction infime de l’eau distribuée doit répondre aux critères de potabilité, pour être bue ou utilisée dans la cuisine.

Les suggestions fusent. L’État doit-il relever ses seuils de tolérance, sachant que nouvelles substances ne manqueront pas d’être mesurées dans les prochaines années ? Faut-il chercher d’autres sources de financement que les abonnés ? Le président Medaerts estime qu’à défaut de mieux, il faudrait au moins faire apparaître une ligne supplémentaire sur les factures à l’avenir, pour mentionner les efforts consentis pour rendre l’eau potable.
L’Abeille de la Ternoise | 03.11.2025
Saint-Pol-sur-Ternoise :
Les élus de la majorité
vont en décider ce lundi
Circulation : le test terminé plus tôt que prévu ? Dans notre édition du 16 octobre, l’union commerciale avait tancé la municipalité sur le sujet de la circulation. Danielle Vasseur et Didier Hochart leur répondent et annoncent que la période de test pourrait se terminer plus vite que prévu.
« Dire qu’il n’y a pas eu de concertation, c’est un peu fort. Cela a été présenté et largement explicité par le cabinet Verdi », souligne le premier adjoint. La Dynamique du Ternois considérait ne pas avoir été entendue. « Tout le monde a pu donner son avis », soutient l’édile. « Nous-mêmes, élus, n’étions pas tous d’accord avec les propositions du cabinet mais il fallait trouver un consensus pour avancer », reprend Didier Hochart. « La mairie ne peut pas entrer dans les considérations vente et reprise des commerces ». À ce titre, le premier adjoint affirme ne jamais avoir dit que la commune cherchait un repreneur à la maison de la presse, qui n’est pas en vente. Pour la maire, « la Dynamique du Ternois a autant à faire et le développement économique est une compétence de TernoisCom. On ne peut pas dire que les commerçants sont abandonnés », poursuit Danielle Vasseur.

Une décision prise en début de semaine prochaine
Concernant le nouveau régime de circulation, les élus rappellent qu’il est mené à titre expérimental. « Nous devons tirer des conclusions et nous allons le faire dès le bureau municipal (réunissant maire, adjoints et conseillers délégués, N.D.L.R.) du 3 novembre au cours duquel nous prendrons une décision », note M. Hochart. L’ambition majeure reste l’aménagement du parvis de l’hôtel de ville « pour que le centre-ville respire un peu », explique Mme Vasseur. Le maître d’œuvre a été retenu et devrait commencer son étude dès la fin de cette année, avec une mise en œuvre en 2026 « si tout va bien », concluait l’élu en charge de l’urbanisme avec une pointe d’humour.
Sud-Ouest | 25.10.2025
Landes : le tiers-lieu d’entreprises Altéa ouvrira en janvier 2026 à Soorts-Hossegor
Doté d’une d’architecture qui ne laisse pas indifférent, le bâtiment, qui a coûté 4,65 millions d’euros, accueillera des entreprises locales à partir du début d’année prochaine.
Trois niveaux pour 1 200 mètres carrés, 16 postes de coworking, neuf bureaux fixes, des espaces modulables, pour un investissement total de 4,65 millions d’euros : les chiffres du tiers-lieu d’entreprises Altéa, dernière réalisation de Maremne Adour Côte sud (Macs) située dans la zone Pédebert à Soorts-Hossegor, donnent le tournis. Des données qui impressionnent tout autant que l’architecture des lieux.

La visite de fin de chantier qui a eu lieu ce mercredi 22 octobre, en présence de Pierre Froustey, président de l’intercommunalité, et de ses équipes, ainsi que des cabinets d’architectes qui ont remporté le concours pour la maîtrise d’œuvre, MCVD architectes, Verdi, Nobatek et Viam, a permis de découvrir un bâtiment compact, alliant des structures béton avec le bois, très aéré, écosourcé et avec un maître mot : la modulabilité.

Grandir, collaborer, s’ancrer
Le rez-de-chaussée propose des espaces communs intérieurs qui peuvent s’ouvrir sur l’extérieur, alors que les deux étages rassemblent des bureaux avec une terrasse et un espace repas qui surplombent l’ensemble de la zone.

« La modulabilité est très importante pour s’adapter à la population ciblée et à la fonctionnalité recherchée. C’est pour cela que nous sommes sur une architecture très tramée », explique Vital Duclos, de MCDV.

Une trame que l’on observe d’ailleurs déjà depuis l’extérieur du bâtiment, avec une cassure voulue entre la partie coworking et celle qui abritera des entreprises jusqu’à trois ans.

Ce lieu sur mesure permettra aux entreprises sélectionnées de grandir, de collaborer et donc de s’ancrer dans le territoire. Marie Lefèvre, la cheffe de projet des espaces aux entreprises pour Macs, explique : « La modulabilité est indispensable. Depuis le Covid, nous avons des modes de travail qui changent très vite et on ne sait pas vraiment de quoi demain sera fait demain. Comme pour le télétravail, qui a eu le vent en poupe, mais qui est aujourd’hui en repli, d’où les multiples utilisations possibles pour une même salle. »

Quelles candidatures ?
Dans deux mois, Macs commencera à éplucher les dossiers de candidature pour l’installation dans ces locaux, avec un comité de sélection qui ne cherchera pas à remplir coûte que coûte les lieux, comme l’a précisé Marie Lefèvre, mais qui s’attachera à la qualité des dossiers. « Il faudra que l’entreprise soit immatriculée sur le territoire, qu’elle ait un modèle de développement stable, qu’elle s’engage dans l’esprit collaboratif des lieux et qu’elle ait un impact sur le territoire. »

Plus de 50 entreprises ont déjà montré leur intérêt pour une future installation dans l’Altéa, dont l’attractivité, outre cette belle réussite architecturale, permettra, comme dans d’autres pépinières d’entreprises, de bénéficier d’un accompagnement sur mesure, de formations et d’événements pour doper leur croissance et les synergies locales.
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