
Designer
de territoires
de territoires
Imaginer les territoires en designer, c’est intégrer la crise environnementale comme cadre général de nos activités, penser simultanément le cadre de vie et l’équilibre des ressources, croiser transversalement tous nos savoirs autour de chaque problématique.
C’est aussi s’inscrire dans une dynamique permanente de prise en considération des dernières avancées technologiques et ainsi confronter nos idées au regard des usages.
Un job chez VERDI ?
Les défis de notre temps sont notre cadre d'action.
Verdi met au service de ses clients l’ensemble des expertises de l'aménagement des territoires et de la construction afin de concevoir des solutions innovantes :
Cadre de vie
Territoires
Bâtiment durable
Mobilités
Bâtiment durable
Mobilités
Équilibre des ressources
Transition énergétique
Gestion des ressources
Biodiversité
Gestion des ressources
Biodiversité

Réinventer les territoires à partir des usages
Adeptes d’une ingénierie territoriale humaniste et engagée, notre boussole est la compréhension en profondeur des usagers et des évolutions passées et futures de leurs modes de vie. Notre démarche est celle de l’intelligence collective, au croisement des expériences vécues, des expertises techniques et de la créativité de chacun.
Innover en designer
On ne peut plus continuer à concevoir des produits et des services pour une vie quotidienne dans laquelle la planète, ses cycles et ses contraintes n’existent pas. C’est dans ce cadre que nous déployons nos efforts en matière d’innovation. Nous le faisons avec ceux qui savent, ceux qui vivront les lieux.



























Nos réalisations
Avec humilité, ingéniosité,
nous visons l’harmonie.
nous visons l’harmonie.
Verdi est un groupe familial indépendant de, planneurs, ingénieurs, architectes, urbanistes, écologues-environnementalistes, consultants… et spécialistes techniques, ouvrant sur tous les aspects de l’aménagement des territoires et de la construction.
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Ensembles, nous sommes
Designer de territoires
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Actualités

Le Pays Roannais | 22.05.2025
Bonson : une nouvelle balade urbaine pour 2040
La commune s'est engagée dans une démarche de réflexion par rapport au devenir du centre bourg à l'horizon 2040. Cette étude de faisabilité urbaine s'appuie sur une concertation de la population alors que plusieurs partenaires se sont associés pour la cofinancer : Loire-Forez agglomération (LFA) et l'Établissement public foncier de l'ouest Rhône-Alpes (Épora).
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Pour accomplir cette mission, LFA a mandaté le groupement d’études Verdi ingénierie pour aider les élus à définir les orientations en matière d’espaces publics, d’habitat et de commerces, afin de conforter le futur nouveau centre. Cette étude, qui concernait au départ le secteur Charles-de-Gaulle, a été étendue à celui de la gare.

Lors d’une étape de la balade urbaine devant la gare, les représentants de Verdi ingénierie et le maire ont pu échanger avec les Bonsonnais présents. © Droits réservés
Une balade urbaine de restitution
La première étape qui consistait à effectuer une balade urbaine avec les habitants, les commerçants et les usagers, s’est déroulée en mars 2024 et de nombreuses personnes y ont participé. Celles-ci ont pu soulever les problèmes et faire des remarques.
La deuxième étape, qui a duré plus d’un an, a été un échange et un dialogue entre les élus et le groupement d’études afin de travailler en fonction des enjeux et des projets sur une dizaine de points jugés prioritaires et stratégiques. Enfin, la troisième étape a eu lieu le 14 mai et a consisté à effectuer une nouvelle balade urbaine, dite de “ restitution ”, au cours de laquelle des réponses et des solutions ont pu être apportées par rapport à ces différents points stratégiques, par les représentants du bureau d’études et par le maire, Thierry Deville, accompagné de plusieurs élus. Elle s’est déroulée en présence de Bonsonnais et des jeunes élus du Conseil municipal des enfants (CME). Tous ont pu prendre connaissance des propositions autour desquelles de nouveaux échanges ont eu lieu.
Le déroulement de cette étude Bonson 2040 est retranscrit étape par étape, sous forme de bande dessinée, dans la revue municipale.

Lors d’une étape de la balade urbaine devant la gare, les représentants de Verdi ingénierie et le maire ont pu échanger avec les Bonsonnais présents. © Droits réservés
Une balade urbaine de restitution
La première étape qui consistait à effectuer une balade urbaine avec les habitants, les commerçants et les usagers, s’est déroulée en mars 2024 et de nombreuses personnes y ont participé. Celles-ci ont pu soulever les problèmes et faire des remarques.
La deuxième étape, qui a duré plus d’un an, a été un échange et un dialogue entre les élus et le groupement d’études afin de travailler en fonction des enjeux et des projets sur une dizaine de points jugés prioritaires et stratégiques. Enfin, la troisième étape a eu lieu le 14 mai et a consisté à effectuer une nouvelle balade urbaine, dite de “ restitution ”, au cours de laquelle des réponses et des solutions ont pu être apportées par rapport à ces différents points stratégiques, par les représentants du bureau d’études et par le maire, Thierry Deville, accompagné de plusieurs élus. Elle s’est déroulée en présence de Bonsonnais et des jeunes élus du Conseil municipal des enfants (CME). Tous ont pu prendre connaissance des propositions autour desquelles de nouveaux échanges ont eu lieu.
Le déroulement de cette étude Bonson 2040 est retranscrit étape par étape, sous forme de bande dessinée, dans la revue municipale.

07.05.2025 | L’Est Républicain
Marnay, place du Roi de Rome : piétonnisation et zone bleue
Une quinzaine de riverains ont participé en mairie, ce lundi 5 mai, à une réunion d'information sur la requalification de la place du Roi-de-Rome et de l'avenue du Champ-de-Foire.
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L’Est Républicain | 07.05.2025
Vincent Ballot, maire, accompagné de Johann Sugny, chef de projet au cabinet Verdi, maître d’œuvre, a rappelé le contexte. La première tranche, l’aménagement de la place, est dictée par la demande du conseil régional de mise en accessibilité aux personnes à mobilité réduite (PMR) de l’arrêt de car de la ligne Besançon-Gray. Cette tranche est ferme ; les travaux devraient débuter au deuxième semestre.
La deuxième tranche, optionnelle, concerne l’aménagement de l’avenue du Champ de Foire, de la place du Roi de Rome à l’intersection de la rue Pourny. “ La place du Roi de Rome sera piétonne, tout en maintenant des places de stationnement. ” Le projet comprend l’accessibilité PMR de l’arrêt de bus, une place arrêt-minute, dix places de stationnement et la plantation de quatre arbres. Vingt pour cent des surfaces seront rendues perméables pour diminuer le ruissellement.
Tout n’est pas écrit
Une zone de rencontre, où cohabitent piétons, deux-roues et voitures, sera créée avec une limitation de la vitesse à 20 km/heure. Le stationnement sera en zone bleue, pour permettre une rotation des véhicules après une heure ou une heure trente.
“ Un centre bis se met en place en périphérie du centre historique ”, a noté Vincent Ballot, soulignant la fréquentation grandissante de ce périmètre, bientôt libéré de la Poste, remplacée par une agence communale en mairie.
Aux riverains préoccupés par les contraintes des aménagements, le maire répond : “ Tout n’est pas écrit, on peut réviser des décisions. ” Seule la largeur de la voirie, réduite à 4,80 mètres avenue du Champ de Foire, “ est gravée dans le marbre ”. Une voie où les riverains témoignent de nombreuses incivilités. La municipalité envisage un stop au croisement de la rue Pourny pour limiter la vitesse.
Vincent Ballot, maire, accompagné de Johann Sugny, chef de projet au cabinet Verdi, maître d’œuvre, a rappelé le contexte. La première tranche, l’aménagement de la place, est dictée par la demande du conseil régional de mise en accessibilité aux personnes à mobilité réduite (PMR) de l’arrêt de car de la ligne Besançon-Gray. Cette tranche est ferme ; les travaux devraient débuter au deuxième semestre.
La deuxième tranche, optionnelle, concerne l’aménagement de l’avenue du Champ de Foire, de la place du Roi de Rome à l’intersection de la rue Pourny. “ La place du Roi de Rome sera piétonne, tout en maintenant des places de stationnement. ” Le projet comprend l’accessibilité PMR de l’arrêt de bus, une place arrêt-minute, dix places de stationnement et la plantation de quatre arbres. Vingt pour cent des surfaces seront rendues perméables pour diminuer le ruissellement.
Tout n’est pas écrit
Une zone de rencontre, où cohabitent piétons, deux-roues et voitures, sera créée avec une limitation de la vitesse à 20 km/heure. Le stationnement sera en zone bleue, pour permettre une rotation des véhicules après une heure ou une heure trente.
“ Un centre bis se met en place en périphérie du centre historique ”, a noté Vincent Ballot, soulignant la fréquentation grandissante de ce périmètre, bientôt libéré de la Poste, remplacée par une agence communale en mairie.
Aux riverains préoccupés par les contraintes des aménagements, le maire répond : “ Tout n’est pas écrit, on peut réviser des décisions. ” Seule la largeur de la voirie, réduite à 4,80 mètres avenue du Champ de Foire, “ est gravée dans le marbre ”. Une voie où les riverains témoignent de nombreuses incivilités. La municipalité envisage un stop au croisement de la rue Pourny pour limiter la vitesse.

18.04.2025 | Le Bien Public
Dijon : des travaux lancés
pour désaturer le tramway
à l’université
pour désaturer le tramway
à l’université
Le 22 avril, le projet Capatram démarre sa quatrième phase de chantier à hauteur de l'arrêt Mazen-Sully à Dijon. Objectif : fluidifier la ligne de tramway T1 en créant un nouveau terminus partiel afin de mieux absorber le flux d'étudiants aux heures de pointe sur le campus universitaire.
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Le réseau de tramway poursuit sa mue à Dijon. Après avoir vu sa fréquentation baisser pendant la crise sanitaire, les chiffres 2023 et 2024 témoignent d'un retour au niveau record de l'année 2019. Résultat : les rames sont souvent saturées aux heures de pointe, ainsi que sur le tronc commun entre les lignes Tl et T2. Pour remédier à ce problème, la Métropole investit la somme de 15 M€ à travers le projet Capatram , dont l'objectif est de fluidifier la circulation des tramways et augmenter la capacité de transport (+20 % pour la ligne Tl et 12 % sur la ligne T2).

Du 22 avril au 24 août, des travaux vont avoir lieu autour de l’arrêt Mazen-Sully sur la ligne T1 du tramway avec la création d’un terminus partiel permettant d’augmenter la capacité de transports des rames sur le campus universitaire. Photo Nicolas Durdilly
Création d'un terminus partiel pour optimiser la desserte sur le campus universitaire
Après des premiers travaux réalisés aux arrêts Carraz, Foch-Gare et Valmy, la quatrième phase du projet démarre le 22 avril, à hauteur du secteur Mazen -Sully (ligne Tl). Les travaux prévoient la création d'une zone de retournement et d'un troisième quai, afin de permettre aux rames de faire leur terminus plus tôt sur la ligne, sans aller jusqu'à Quetigny.

Dominique Martin-Gendre, adjointe déléguée aux travaux à la Ville de Dijon : “ L'enjeu est d'augmenter la capacité de transport des voyageurs aux heures de pointe sur le campus universitaire et ce, sans acheter de nouvelles rames. ” Photo Nicolas Durdilly
“ L'enjeu est d'augmenter la capacité de transport des voyageurs aux heures de pointe sur le campus universitaire et ce, sans acheter de nouvelles rames ”, déclare Dominique Martin-Gendre, conseillère métropolitaine déléguée aux aménagements de voirie et de la gestion des transports. “ L'objectif est de diminuer l'attente des étudiants qui sont nombreux à prendre le tramway, avant et après les cours, sur le campus universitaire. ”
Ce nouveau terminus partiel, inspiré de ce qui a été réalisé à Valmy, devrait permettre de gagner en fréquence et en ponctualité sur les tronçons saturés. Le temps de retournement sera optimisé, améliorant la fluidité du trafic et la capacité d'accueil du réseau.
Des bénéfices déjà visibles
Selon Dominique Martin-Gendre, les premiers bénéfices du projet Capatram sont “ déjà visibles ”, notamment sur le secteur Foch-Gare, où la coordination des feux et la réorganisation des quais ont abouti à une circulation plus fluide. “ Le gain en ponctualité s'est traduit par des minutes précieuses économisées en heure de pointe et davantage d'allers-retours quotidiens ”, déclare l'élue.
La phase 5 du projet, prévue à Quetigny, débutera quant à elle le 5 mai, avec également une livraison attendue à l'été. L'ensemble du programme doit s'achever en septembre 2025, pour une efficacité complète à la rentrée 2026.

Du 22 avril au 24 août, des travaux vont avoir lieu autour de l’arrêt Mazen-Sully sur la ligne T1 du tramway avec la création d’un terminus partiel permettant d’augmenter la capacité de transports des rames sur le campus universitaire. Photo Nicolas Durdilly
Création d'un terminus partiel pour optimiser la desserte sur le campus universitaire
Après des premiers travaux réalisés aux arrêts Carraz, Foch-Gare et Valmy, la quatrième phase du projet démarre le 22 avril, à hauteur du secteur Mazen -Sully (ligne Tl). Les travaux prévoient la création d'une zone de retournement et d'un troisième quai, afin de permettre aux rames de faire leur terminus plus tôt sur la ligne, sans aller jusqu'à Quetigny.

Dominique Martin-Gendre, adjointe déléguée aux travaux à la Ville de Dijon : “ L'enjeu est d'augmenter la capacité de transport des voyageurs aux heures de pointe sur le campus universitaire et ce, sans acheter de nouvelles rames. ” Photo Nicolas Durdilly
“ L'enjeu est d'augmenter la capacité de transport des voyageurs aux heures de pointe sur le campus universitaire et ce, sans acheter de nouvelles rames ”, déclare Dominique Martin-Gendre, conseillère métropolitaine déléguée aux aménagements de voirie et de la gestion des transports. “ L'objectif est de diminuer l'attente des étudiants qui sont nombreux à prendre le tramway, avant et après les cours, sur le campus universitaire. ”
Ce nouveau terminus partiel, inspiré de ce qui a été réalisé à Valmy, devrait permettre de gagner en fréquence et en ponctualité sur les tronçons saturés. Le temps de retournement sera optimisé, améliorant la fluidité du trafic et la capacité d'accueil du réseau.
Des bénéfices déjà visibles
Selon Dominique Martin-Gendre, les premiers bénéfices du projet Capatram sont “ déjà visibles ”, notamment sur le secteur Foch-Gare, où la coordination des feux et la réorganisation des quais ont abouti à une circulation plus fluide. “ Le gain en ponctualité s'est traduit par des minutes précieuses économisées en heure de pointe et davantage d'allers-retours quotidiens ”, déclare l'élue.
La phase 5 du projet, prévue à Quetigny, débutera quant à elle le 5 mai, avec également une livraison attendue à l'été. L'ensemble du programme doit s'achever en septembre 2025, pour une efficacité complète à la rentrée 2026.
Des perturbations à prévoir pendant les travaux Dans le cadre des travaux à venir autour de l'arrêt Mazen-Sully sur la ligne Tl à Dijon (du 22 avril au 24 août), des perturbations sont à prévoir sur la circulation. La rue en Vieille-Fourche sera fermée aux voitures (suivre la déviation), mais l'accès aux riverains est maintenu. Des neutralisations ponctuelles sont prévues rue de Sully. Côté tramway, la ligne Tl circulera normalement jusqu'au 9 juin. Du 10 juin au 24 août, la station Mazen -Sully ne sera plus desservie. Du 10 juin au 3 juillet, les tramways feront leur terminus à l'arrêt Université, du lundi au jeudi à partir de 21 heures. Du 7 juillet au 24 août, le terminus sera à l'université pour l'entièreté du service. Dans les deux cas, les stations jusqu'à Quetigny seront desservies par des bus “ Plan B ”. Aucun impact n'est prévu sur les lignes de bus. |
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