
Le Moniteur | 21.08.2020
Mitry-Mory, Concours gagné, 63 logements
Construction de 63 logements au sein de la ZAC de Maurepas
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Paris Match | 19.08.2020
Loos-en-Gohelle, du charbon à l'écologie
Grâce à la volonté d’un maire écolo et de ses administrés, depuis vingt ans, Loos-en-Gohelle invente un nouveau vivre-ensemble, vertueux et efficace. Dans cette ville durable, avec ses entreprises innovantes et ses champs zéro phyto, passer du noir au vert ne s’est pas fait sans embûches. Histoire d’une aventure modèle.
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Le Dauphiné | 08.09.2020
À Valence, la révision du PLU, aussi essentielle qu’épineuse
Lundi 7 septembre, une série de réunions de concertation a débuté au Petit-Charran. Au menu des débats : le Plan local d’urbanisme (PLU), qui s’avère aussi important pour dessiner le Valence de demain que préoccupant à bâtir pour les élus.
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Pourquoi réviser le PLU ?
Parce que celui adopté à la fin de l’année 2013 ne correspond pas à la vision de l’équipe aux manettes de la Ville depuis 2014 et l’élection de Nicolas Daragon (LR). Une évaluation du document administratif a été réalisée en 2019. Elle pointait plusieurs problèmes : elle était définie sur le modèle d’une ville compacte, pas assez protectrice des espaces naturels et basée sur une croissance démographique de 1 % par an. Sachant que cette hausse était jusqu’à très récemment une baisse depuis les années 70…
Le PLU a déjà été modifié au début du précédent mandat, notamment en diminuant les hauteurs des nouvelles constructions, mais la municipalité souhaitait aller plus loin. L’objectif est simple : dessiner le Valence de 2030, voire 2035.
Quelles grandes lignes se dessinent déjà ?
La concertation ne fait que commencer. Mais grâce aux 150 réponses de Valentinois au questionnaire sur internet (qui s’accompagnent de 5 000 réactions lors de sondages réalisés sur les réseaux sociaux), on y voit déjà plus clair. La Ville avait déjà émis trois axes structurants fin 2019 : « apaiser la ville », la protéger par la transition écologique, et faire de Valence une ville « équilibrée et attractive ».
Du côté des habitants, les envies sont aussi louables que paradoxales. Agrandir les espaces naturels, limiter l’extension de la ville pour conserver les zones agricoles, mais aussi augmenter le nombre de places de parking en centre-ville, en sachant que tout le monde souhaite avoir sa propre maison individuelle : autant d’ambitions et de besoins que la Ville va devoir accorder, ajuster, ménager la chèvre et le chou. De l’art de bâtir un Plan local d’urbanisme.
Pourquoi ce sera dur
Parce qu’il faudra tout concilier, justement. Franck Soulignac, adjoint à l’urbanisme, l’a déjà répété lundi soir : « On ne pourra pas tout faire. Les attentes sont encore plus fortes depuis la crise du Covid-19. À nous d’en faire la meilleure des synthèses. » Autre élément important : la Ville ne souhaite pas perdre des habitants. Et pour éviter toute décroissance, plus de 300 logements doivent sortir de terre chaque année…
La synthèse se concrétisera par le PADD (Projet d’aménagement et de développement durables), la « clé de voûte du PLU », dixit l’entreprise iséroise Verdi, spécialiste du sujet et qui épaule la Ville de Valence.
À noter que lundi étaient présents lors de la réunion de concertation Bernard Cusenier, président de l’association Bancs publics, et Maud Raison, cadre de La République en marche à Valence. Tous deux, malgré leurs désaccords politiques, ont salué l’organisation des réunions. Ça commence bien.
Quand sera-t-il mis en vigueur ?
Il faudra être patient. Quasiment trois ans sont nécessaires pour réviser un PLU. Le processus a été lancé fin 2019, pour une approbation définitive au printemps 2022 en conseil municipal. « Une fois que la règle est écrite, nous ne pouvons plus la changer », prévient Franck Soulignac. Ce sera parti pour une douzaine d’années.
Le calendrier de la concertation - Première phase : l’explication. Cela passe par 13 réunions de quartier (à 18 h 30) jusqu’à fin septembre. Le 9 septembre, ce sera à la Maison de la vie associative (Le Plan), le 10 à l’école Laprat, le 11 au centre culturel de Fontlozier, le 14 à la MPT de Fontbarlettes, le 15 à la MPT du centre-ville, le 17 à la Farandole (Valensolles), le 18 à la MJC du Grand-Charran, le 21 au comité de quartier Calvaire-Hugo, le 22 à la MPT du Polygone, le 23 à la Maison de l’étudiant Latour-Maubourg, et le 25 au Tambour (Chamberlière). Réservations conseillées.
- La “grande journée de concertation”, le 7 novembre. Ce sera une grand-messe, avec des ateliers participatifs sur le diagnostic. Lors de ce rendez-vous, les habitants pourront donner des idées.
- Au premier trimestre 2021, une deuxième session d’ateliers sera organisée, avant que des réunions d’échanges, par quartier une nouvelle fois, invitent les habitants à découvrir les premières orientations détaillées du futur PLU.
- En 2022, l’affaire devrait être pliée, avec un vote d’approbation en conseil municipal programmé au printemps.
Parce que celui adopté à la fin de l’année 2013 ne correspond pas à la vision de l’équipe aux manettes de la Ville depuis 2014 et l’élection de Nicolas Daragon (LR). Une évaluation du document administratif a été réalisée en 2019. Elle pointait plusieurs problèmes : elle était définie sur le modèle d’une ville compacte, pas assez protectrice des espaces naturels et basée sur une croissance démographique de 1 % par an. Sachant que cette hausse était jusqu’à très récemment une baisse depuis les années 70…
Le PLU a déjà été modifié au début du précédent mandat, notamment en diminuant les hauteurs des nouvelles constructions, mais la municipalité souhaitait aller plus loin. L’objectif est simple : dessiner le Valence de 2030, voire 2035.
Quelles grandes lignes se dessinent déjà ?
La concertation ne fait que commencer. Mais grâce aux 150 réponses de Valentinois au questionnaire sur internet (qui s’accompagnent de 5 000 réactions lors de sondages réalisés sur les réseaux sociaux), on y voit déjà plus clair. La Ville avait déjà émis trois axes structurants fin 2019 : « apaiser la ville », la protéger par la transition écologique, et faire de Valence une ville « équilibrée et attractive ».
Du côté des habitants, les envies sont aussi louables que paradoxales. Agrandir les espaces naturels, limiter l’extension de la ville pour conserver les zones agricoles, mais aussi augmenter le nombre de places de parking en centre-ville, en sachant que tout le monde souhaite avoir sa propre maison individuelle : autant d’ambitions et de besoins que la Ville va devoir accorder, ajuster, ménager la chèvre et le chou. De l’art de bâtir un Plan local d’urbanisme.
Pourquoi ce sera dur
Parce qu’il faudra tout concilier, justement. Franck Soulignac, adjoint à l’urbanisme, l’a déjà répété lundi soir : « On ne pourra pas tout faire. Les attentes sont encore plus fortes depuis la crise du Covid-19. À nous d’en faire la meilleure des synthèses. » Autre élément important : la Ville ne souhaite pas perdre des habitants. Et pour éviter toute décroissance, plus de 300 logements doivent sortir de terre chaque année…
La synthèse se concrétisera par le PADD (Projet d’aménagement et de développement durables), la « clé de voûte du PLU », dixit l’entreprise iséroise Verdi, spécialiste du sujet et qui épaule la Ville de Valence.
À noter que lundi étaient présents lors de la réunion de concertation Bernard Cusenier, président de l’association Bancs publics, et Maud Raison, cadre de La République en marche à Valence. Tous deux, malgré leurs désaccords politiques, ont salué l’organisation des réunions. Ça commence bien.
Quand sera-t-il mis en vigueur ?
Il faudra être patient. Quasiment trois ans sont nécessaires pour réviser un PLU. Le processus a été lancé fin 2019, pour une approbation définitive au printemps 2022 en conseil municipal. « Une fois que la règle est écrite, nous ne pouvons plus la changer », prévient Franck Soulignac. Ce sera parti pour une douzaine d’années.
Le calendrier de la concertation - Première phase : l’explication. Cela passe par 13 réunions de quartier (à 18 h 30) jusqu’à fin septembre. Le 9 septembre, ce sera à la Maison de la vie associative (Le Plan), le 10 à l’école Laprat, le 11 au centre culturel de Fontlozier, le 14 à la MPT de Fontbarlettes, le 15 à la MPT du centre-ville, le 17 à la Farandole (Valensolles), le 18 à la MJC du Grand-Charran, le 21 au comité de quartier Calvaire-Hugo, le 22 à la MPT du Polygone, le 23 à la Maison de l’étudiant Latour-Maubourg, et le 25 au Tambour (Chamberlière). Réservations conseillées.
- La “grande journée de concertation”, le 7 novembre. Ce sera une grand-messe, avec des ateliers participatifs sur le diagnostic. Lors de ce rendez-vous, les habitants pourront donner des idées.
- Au premier trimestre 2021, une deuxième session d’ateliers sera organisée, avant que des réunions d’échanges, par quartier une nouvelle fois, invitent les habitants à découvrir les premières orientations détaillées du futur PLU.
- En 2022, l’affaire devrait être pliée, avec un vote d’approbation en conseil municipal programmé au printemps.

La Chronique du BTP | 01.07.2020
Verdi ingénierie, une philharmonie d'ingénieurs
Qu’ils soient spécialisés en structure, énergie, fluide, VRD, acoustique ou qu’ils cumulent tous ces domaines, les Bureaux d’Etudes Techniques (BET) apparaissent comme les fers de lance de la révolution numérique qui bouleversent le secteur de la construction. Un saut technologique qui exigent une concentration des acteurs de l’ingénierie ou à l’inverse, une extrême spécialisation.
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Le courrier Picard | 01.07.2020
Albert, la future place Émile Leturcq dévoilée
Le premier grand chantier du mandat a un nom - Émile-Leturcq- et désormais un visage. Les premières images du projet de rénovation de la place principale du centre-ville d'Albert, installée au pied de l'hôtel de ville, ont été dévoilées lors du conseil municipal, lundi. Explications
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Pourquoi ce projet ?
Pour valoriser et redynamiser le centre de la troisième ville de la Somme. Le maire, Claude Cliquet, indique qu'il s'inscrit «dans un projet stratégique global». Depuis quelques années, plusieurs sites emblématiques du cœur de la cité d'Ancre comme la place d'Armes, la rue Jeanne d'Harcourt, l'esplanade de la gare et le marché couvert ont déjà eu droit à un lifting.
Qu'est-ce qui va changer ?
La rénovation consiste « à valoriser le Théâtre du jeu de paume et le collège Pierre et Marie Curie ». Ces deux bâtiments sont actuellement cachés par les deux allées de marronniers vieillissant et dangereux, qui vont être enlevés. La végétation sera toujours présente sur la place puisque de 60 arbres actuellement, on devrait passer à au moins 80, une fois les travaux terminés.
Autre promesse : « Apaiser la circulation », avec des entrées et des sorties identifiées pour le parking et la création d'axes de circulation pour les piétons, ce qui devrait réduire les risques d'accident. Une zone de détente et de rassemblement sera également créée à proximité du TJP. Le terrain de ballon au poing installé devant le théâtre va disparaître, il sera installé ponctuellement sur la place pour les concours estivaux.
Qu'est-ce qui va être conservé ?
Les grands principes de fonctionnement de l'espace sont maintenus. Les commerçants du centre-ville devraient être rassurés de savoir que le parking gratuit ne sera pas rétréci. Environ 250 places y seront proposées, ce qui est rendu possible par l'abandon du stationnement en épis.
Habituée à accueillir le marché franc ou les manèges lors des foires d'Albert, la place Leturcq va conserver son aspect modulable. Des bancs en béton, plus facilement transportables que les actuels plots de protection, pourront être disposés en fonction des besoins pour assurer la sécurité.
Enfin, la circulation sur les contre-allées de part et d'autre va être maintenue.
Quel est le montant de travaux ?
Le chantier est estimé à 2,5 millions d'euros. Mais le coût final dépendra du résultat de la consultation que va lancer la Ville auprès des entreprises. L'ensemble de ce montant ne devrait pas être à la charge de la collectivité puisque des subventions vont être sollicitées.
Quand le chantier va-t-il démarrer ?
Aucune date n'a été annoncée de manière officielle. Mais les pelleteuses et engins de chantier pourraient se mettre en action avant la fin de l'année, condition pour que la ville soit éligible à certaines subventions. Éric Dheilly, adjoint au maire délégué au cadre de vie, prévient déjà que les travaux « risquent de perturber La vie locale pendant un certain temps, même si nous prévoirons plusieurs phases ».
La durée du chantier n'a pas été communiquée.
Pour valoriser et redynamiser le centre de la troisième ville de la Somme. Le maire, Claude Cliquet, indique qu'il s'inscrit «dans un projet stratégique global». Depuis quelques années, plusieurs sites emblématiques du cœur de la cité d'Ancre comme la place d'Armes, la rue Jeanne d'Harcourt, l'esplanade de la gare et le marché couvert ont déjà eu droit à un lifting.
Qu'est-ce qui va changer ?
La rénovation consiste « à valoriser le Théâtre du jeu de paume et le collège Pierre et Marie Curie ». Ces deux bâtiments sont actuellement cachés par les deux allées de marronniers vieillissant et dangereux, qui vont être enlevés. La végétation sera toujours présente sur la place puisque de 60 arbres actuellement, on devrait passer à au moins 80, une fois les travaux terminés.
Autre promesse : « Apaiser la circulation », avec des entrées et des sorties identifiées pour le parking et la création d'axes de circulation pour les piétons, ce qui devrait réduire les risques d'accident. Une zone de détente et de rassemblement sera également créée à proximité du TJP. Le terrain de ballon au poing installé devant le théâtre va disparaître, il sera installé ponctuellement sur la place pour les concours estivaux.
Qu'est-ce qui va être conservé ?
Les grands principes de fonctionnement de l'espace sont maintenus. Les commerçants du centre-ville devraient être rassurés de savoir que le parking gratuit ne sera pas rétréci. Environ 250 places y seront proposées, ce qui est rendu possible par l'abandon du stationnement en épis.
Habituée à accueillir le marché franc ou les manèges lors des foires d'Albert, la place Leturcq va conserver son aspect modulable. Des bancs en béton, plus facilement transportables que les actuels plots de protection, pourront être disposés en fonction des besoins pour assurer la sécurité.
Enfin, la circulation sur les contre-allées de part et d'autre va être maintenue.
Quel est le montant de travaux ?
Le chantier est estimé à 2,5 millions d'euros. Mais le coût final dépendra du résultat de la consultation que va lancer la Ville auprès des entreprises. L'ensemble de ce montant ne devrait pas être à la charge de la collectivité puisque des subventions vont être sollicitées.
Quand le chantier va-t-il démarrer ?
Aucune date n'a été annoncée de manière officielle. Mais les pelleteuses et engins de chantier pourraient se mettre en action avant la fin de l'année, condition pour que la ville soit éligible à certaines subventions. Éric Dheilly, adjoint au maire délégué au cadre de vie, prévient déjà que les travaux « risquent de perturber La vie locale pendant un certain temps, même si nous prévoirons plusieurs phases ».
La durée du chantier n'a pas été communiquée.