7ALimoges | 23.06.2022
Limoges, inauguration de la place Fournier
La deuxième phase des travaux place de la République, dans le centre-ville, est terminée et, ce mardi, la place Fournier a été inaugurée. La nouvelle fontaine sèche, dans laquelle les enfants pourront jouer cet été, semble séduire les passants et les riverains.


France Bleu Limousin | 22.06.2022
Limoges, la place Fournier rénovée enfin ouverte aux passants
La deuxième phase des travaux place de la République, dans le centre-ville de Limoges, est terminée et, ce mardi, la place Fournier a été inaugurée. La nouvelle fontaine sèche, dans laquelle les enfants pourront jouer l'été, semble séduire les passants et les riverains.

Une fontaine sèche a été installée place Fournier, dans laquelle les enfants pourront jouer l'été. © Radio France - Juliette Mylle

“ C'est formidable. Puis ils ont quand même pas mal végétalisé ! C'est super ! ” s'exclame Christine, qui habite Limoges depuis 70 ans, quand elle passe par la place Fournier pour la première fois depuis la fin des travaux. En effet, la deuxième phase du chantier place de la République a pris fin. La place Fournier, totalement rénovée, a été inaugurée ce mardi après sa réouverture aux passants il y a déjà quelques semaines.

Une “ fontaine sèche ” installée
Et ils sont nombreux, les Limougeauds, à s'arrêter pour notamment admirer les jets d'eau de la fontaine sèche, dans lesquels les enfants pourront jouer l'été. Cette place est le résultat de deux ans de travaux et d'un investissement de plus de 2 millions d'euros. Vincent Léonie, adjoint à l'urbanisme pour la mairie, est très satisfait du résultat final. “
J'ai beaucoup de très bons retours sur la fin des travaux et sur le fait que c'est soit piétonnisé, explique-t-il. Qu'aujourd'hui, on puisse profiter des espaces, déambuler... Puis j'ai de bons retours sur ces espaces d'attente que l'on a faits, avec les espaces verts. Donc oui, j'ai plutôt de très bons retours globalement. ”

Des travaux encore en cours juste à côté de la place Fournier
Mais les travaux sont loin d'être terminés dans le centre-ville. Juste à côté de la place, les pelleteuses s'activent encore. L'Office de tourisme devrait s'y installer, ainsi que le Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine. Le maire Émile Roger Lamberti espère qu'ils sortiront de terre d'ici quatre à cinq ans. “ Aujourd'hui, nous sommes à peu près dans les temps, défend l'édile. Je crois qu'il faut être patient. Je préfère avoir trois mois de retard et des travaux bien fait qu'avoir deux mois d'avance et des travaux bâclés. ”

Début mai, la statue de Jeanne d'Arc, qui se trouvait à l'origine sur cette place Fournier, a été réinstallée un peu plus bas, rue Porte Tourny, après avoir subi une totale rénovation.
Construction21 | 20.06.2022 | Eric Larrey
Carte des îlots de chaleur des arrondissements de Paris
La cartographie des îlots de chaleur (ICU) et des îlots de fraîcheur (IFU) est un des premiers outils permettant de piloter une lutte structurée contre le réchauffement climatique en milieu urbain. Il était donc tentant d'appliquer notre Indice de Confort Thermique Urbain (ICTU) à l'analyse de la ville française communément reconnue comme la plus sujette aux effets ICU, Paris.
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La Voix du Nord | 18.06.2022
Douai, le nouveau plan local d'urbanisme sera exécutoire dans six mois
En 2009, le premier plan local d'urbanisme (PLU) de Douai est adopté. En 2015, le conseil municipal délibère en faveur d'une révision générale du dit PLU. Sept ans plus tard, les élus en place ont arrêté le nouveau PLU. Il sera approuvé, après l'enquête publique, en janvier 2023.

S’il n’y a pas de verts alpages dans les rues Coulomb, Ampère... il y a des chalets en bois de type autrichien. Comme les cités minières UNESCO, le PLU prévoit de les protéger de la destruction ou de transformations malvenues.

Commençons par la définition du PLU. Un plan local d’urbanisme (PLU) est un document destiné à définir plus simplement la destination générale des sols que ne le fait le plan d’occupation des sols (POS). De fait, le PLU de Douai, présenté aux élus du conseil municipal, ce vendredi soir, s’accompagne d’une simplification du zonage. Là, où il y avait quarante-cinq zones, il n’y en a plus que vingt-neuf. Et la focale est braquée sur six « problématiques » de la ville. Les six orientations d’aménagement et de programmation (OAP) concernent le patrimoine paysager et la biodiversité, le cœur de ville, l’entrée de ville sud, la gare et le quartier Scarpe Vauban, le quartier Caux, le patrimoine minier UNESCO.

Prenons l’exemple des cités minières, à savoir la cité-jardin de la Clochette, la cité corons Saint-Joseph, la cité pavillonnaire de La Solitude, la cité pavillonnaire de la Ferronnière, la cité moderne du Godion. Le PLU dit qu’ “ il n’y aura démolition qu’en dernier recours et sous réserve d’un projet concomitant de restructuration, réaménagement ou reconstruction ”.

À chaque zone, sa destination : une zone U est une zone urbaine ; une zone AU est une zone à urbaniser ; une zone N est une zone naturelle et forestière ; une zone A est une zone agricole… Mais ce serait trop simple de s’arrêter là. Prenons la zone U. Elle se décline en UA (zone urbaine centrale), UA1 (zone urbaine centrale correspondant au secteur de grand projet urbain de la caserne Caux et de son quartier), UB (zone urbaine périphérique et mixte)…

Le PLU a accouché d’une bible de plus de mille pages
Au carrefour de chaque zone veille un gendarme. En UA, “ le paysage urbain constitué doit y être préservé ”. En UB, “ le caractère résidentiel de ces espaces doit être maintenu et renforcé, en permettant une diversification de l’offre douaisienne en logements et en affirmant des centralités commerciales, d’équipements et de services de proximité ”. Si le, ou plutôt les gendarmes veillent (les services d’urbanisme de la ville de Douai, l’État, le Syndicat mixte du SCOT du Douaisis), c’est pour éviter les constructions anarchiques, les vendeurs de sommeil qui divisent les maisons…

Comme tout document d’urbanisme, le PLU de Douai a accouché d’une bible de plus de mille pages. Stéphanie Stiernon, adjointe en charge de l’urbanisme, a synthétisé ce travail de longue haleine auprès des élus, avant de rendre hommage à tous les salariés de la Ville qui ont mis leur nez dans le document. “ Nous sommes sur l’arrêt de projet de révision du PLU ”, a-t-elle dit à toutes fins utiles. Le PLU ne sera exécutoire que dans six mois. Avant ça, il aura été présenté aux partenaires de la Ville (Douaisis Agglo, Syndicat mixte du SCOT du Douaisis, services de l’État) et soumis à l’enquête publique auprès des Douaisiens à l’automne. Onze élus d’opposition se sont abstenus à l’heure du vote.
L'Union | 16.06.2022
La nouvelle station d’épuration opérationnelle à Juvincourt-et-Damary
Après trois ans de travaux, la nouvelle station d'épuration est en service, mais fait l'objet d'un test de trois mois.

Ultime réunion de chantier

Débutée en 2019, la construction de la nouvelle station d’épuration entame sa dernière phase. Une ultime réunion de chantier a réuni autour de Jean-Louis Ducatillon, le maire, les responsables du bureau d’études Verdi-ingénierie, de l’entreprise Saur en charge de la construction, l’assistance à maîtrise d’ouvrage Ma Prom, le LDAR (laboratoire départemental d’analyse et de recherches) et le personnel communal chargé de l’entretien. L’installation est opérationnelle depuis le 20 avril et une phase de test de trois mois préalables à la réception des travaux va permettre de s’assurer de son bon fonctionnement.

Le principe d’épuration repose sur le cheminement des effluents dans des lits filtrants successifs plantés de roseaux, l’exutoire assaini étant ensuite dirigé vers des lagunes permettant son infiltration dans le milieu naturel. La station s’étend sur une surface de un hectare et son coût est de 621 500 euros hors taxes subventionné à 40 % par l’Agence de l’eau Seine-Normandie.
La Voix du Nord | 08.06.2022
Libercourt, la ville se met un peu plus au vert avec sa charte paysagère
Les élus de Libercourt viennent d'adopter une charte paysagère. Objectif ? Harmoniser l'ensemble des pratiques d'entretien et de création des quelque 180 hectares d'espaces verts sur la commune.
« On n’obtient pas une Fleur[1] parce qu’on a mis une barquette de géraniums sur une fenêtre de la mairie », lâche le maire, Daniel Maciejasz, qui peut se targuer d’être à la tête de la première ville du secteur à en avoir obtenu trois. Et qui, à entendre un représentant du cabinet Verdi, présent vendredi en amont du conseil municipal, pourrait même en décrocher une quatrième, voire plus ! Ce n’est pourtant pas dans ce but que la municipalité a missionné le bureau d’études, mais pour élaborer une charte paysagère.


Avec sa charte paysagère, Libercourt pourrait décrocher une fleur supplémentaire.

Objectif ? Définir les modes de gestion des 180 hectares d’espaces verts et naturels de la commune, en fonction de leur typographie (bois, forêts, jardins…) que devront adopter et appliquer les agents des services techniques, mais aussi les bailleurs sociaux et les intervenants extérieurs (ESAT, Régie Impulsion…) afin de « donner une identité globale, commune et harmonisée dans chaque zone de la ville ».


La municipalité compte mettre quelques touches de vert dans le cimetière.


Quelques pistes de travail ont été évoquées comme le repaysagement du parc du Domaine de l’Épinoy qui sert de décor aux photos de mariage ou la valorisation des petits parcs des cités (Ateliers, Ponchelet, Marlière…). « Il reste pas mal de choses à faire même si beaucoup de programmes sont déjà amorcés », analyse le maire. À l’instar du cavalier de la gare métamorphosé en liaison douce, dont l’inauguration est programmée ce vendredi.

Prochain gros chantier : la requalification paysagère du cimetière. « On a lancé une procédure de récupération des concessions à l’état d’abandon ou dangereuses pour éventuellement y mettre à la place des petites touches de vert ou des bancs », explique le conseiller municipal Daniel Kania. À ce titre, 225 000 € ont été fléchés lors du dernier vote du budget. « L’objectif n’est pas de tout faire vite mais mieux. »
[1] Ce label est décerné par le jury des Villes et villages fleuris
7ALimoges | 18.05.2022
Limoges, gestion de l'eau d'arrosage au centre-ville
À l'occasion des travaux de la place de la République et de la place Fournier, la gestion de l'eau d'arrosage des arbres a été intégrée dès la conception.
 
Des fosses permettant de récupérer l'eau de pluie ont été aménagées lors des travaux préparatoires à l'installation des arbres. La fontaine animée de la place Fournier fonctionne en circuit fermé, récupère l'eau de pluie et elle est dotée d'un anémomètre qui, en cas de vent, permet de réduire voire d'arrêter la fontaine afin d'éviter la dispersion de l'eau.

Paris Normandie | 15.05.2022
Le Val-d'Hazey, la rénovation du collège Simone-Signoret a démarré
Les travaux de rénovation du collège Simone-Signoret, au Val d'Hazey, sont officiellement lancés. Si le chantier a en réalité démarré en août dernier, la première pierre du bâtiment qui accueillera la demi-pension de l'établissement a été posée, lundi 29 novembre.


Philippe Collas, le maire, a dit sa « grande joie » de voir le chantier de reconstruction démarrer : « J’ai été président des parents d’élèves de ce collège de 2008 à 2013. Je sais donc à quel point ce projet était attendu. C’est très satisfaisant de voir la rénovation entrer en action ».



Cette rénovation fait partie du plan de réhabilitation de 15 collèges de l’Eure, sur la période 2015-2021. « Le Département investit plus de 210 millions d’euros dans ce plan, dont 17 millions pour cet établissement », avance Florence Gautier. « Le futur collège sera plus moderne, plus écolo et adapté au numérique. »



Le chantier comprend trois phases. La première, qui a donc déjà démarré, doit voir la construction de la demi-pension et d’une salle d’animation. « Sa mise en exploitation est prévue pour la fin 2024 », a précisé Florence Gautier. Le futur collège aura une capacité d’accueil de 600 élèves.