Construction21 | 03.04.2023 | Eric Larrey
Ilots de chaleur urbain : Montréal, Baltimore, Bruxelles et Genève
Diverses méthodes sont utilisées pour identifier les îlots de chaleur urbains à travers le monde : température de sol, modèles microclimatiques…  Cette petite étude vise d’une part à comparer notre approche, basée sur l’Indice de Confort Thermique Usager, avec les approches plus classiques de thermographie et de microclimatique et d’autre part à étudier sa mise en œuvre à différentes latitudes et longitudes, hors du territoire français où la méthode a été mise au point. Quatre sites ont été étudiés : Montréal, Genève, Bruxelles et Baltimore.
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L’Écho Républicain | 29.03.2023
Lèves | Offrir un cadre de vie agréable aux usagers
La rue de Bailleau rénovée a été officiellement inaugurée, hier, par le maire de Lèves, Rémi Martial, en présence de Christophe Le Dorven, président du Conseil départemental, et de Christian Paul-Loubière, premier vice-président de Chartres Métropole, des maires des communes environnantes, des élus, des entreprises et des habitants de la rue de Bailleau et des rues adjacentes.


Une importante rénovation
Cette rue très symbolique d’1,2 km a fait l’objet d’une importante rénovation entre juin 2021 et fin 2022. “ Des travaux en profondeur ont été menés. La réflexion sur ce projet avait démarré en 2018, en concertation et en accompagnement financier et d’ingénierie avec Chartres Métropole et le Département ”, a indiqué le maire, rappelant les principales étapes : études, diagnostic, consultation des habitants, sécurisation de l’avenue de la Paix avec la création d’un giratoire semi-franchissable, enfouissement des réseaux secs, requalification et restructuration de la voirie, reprise des trottoirs, aménagements de stationnements, mise en place d’une circulation douce pour piétons et vélos.


“ L’objectif de ces travaux est d’offrir un cadre de vie agréable aux usagers en assurant leur sécurité et leur confort. Des aménagements restent à apporter. Nous restons à leur écoute. ”

Christian Paul-Loubière a rappelé “ la solidarité financière et technique de Chartres Métropole pour accompagner de tels projets. L’agglomération investit 12 millions d’euros par an pour les habitants de son territoire. ”
“ Cinq ans, c’est long, mais c’est le prix de la concertation ”, a conclu Christophe Le Dorven en saluant le travail de l’équipe municipale pour “ mener à bien ces projets de dynamisation de la ville en maintenant le budget et en baissant les impôts. ”



Ces travaux atteignent près d’1.800.000 €, avec l’aide de Chartres Métropole (471.000 €) et du Conseil départemental (341.000 €).
Vududoubs.fr | 27.03.2023
Eau : le Doubs poursuit ses actions - Soutien aux projets locaux
Depuis 2018, 892 projets de collectivités locales ont été soutenus par le Département pour un montant total de 24,5 millions d'euros.
Assainissement
À Soye, le Département a aidé la Communauté de communes des deux vallées vertes (CC2VV) à hauteur de 193 263 euros pour la construction en 2020 d’une nouvelle station d’épuration de type filtres plantés de roseaux, contribuant à une amélioration de la qualité des eaux du ruisseau.



Eau potable
Le Département a aidé, à hauteur de 625 000 euros, des travaux d’interconnexion de réseau d’eau potable entre deux syndicats d’eau (SIEHL et SIAEP du plateau des Combes), à Fuans et Fournets-Luisans. Objectif : sécuriser l’alimentation en eau potable du secteur en apportant l’eau de la Haute-Loue au plateau des Combes, un secteur qui connait des difficultés lors des sécheresses à répétition de ces dernières années.

Restauration des cours d’eau
Le Département a participé au reméandrement en 2021 du ruisseau du château à Soye dans le cadre du Contrat de rivière. Le principal objectif était d’améliorer la qualité physique du cours d’eau, fortement dégradée, pour un gain en termes de ressource en eau et de niveau de la nappe, de régime thermique, et de capacité d’accueil pour la faune et la flore aquatique et terrestre. Un dossier porté par l’Établissement public territorial de bassin (EPTB) Saône et Doubs par délégation de la CC2VV.


Le Moniteur | 24.03.2023
Extension du tribunal judiciaire de Bobigny
Pour regrouper sur un site unique les différents services et améliorer les conditions de travail, l'extension accueillera le pôle pénal, le tribunal pour enfants et un nouveau dépôt aux capacités triplées.
Le projet. Il réinterprète les codes classiques - frontalité, symétrie et colonnade -, dans une forte symbolique architecturale. Un large volume en triple hauteur baigné de lumière zénithale directe accueille le public et distribue les salles d’audience via la salle des pas perdus. Dans un décor de bois accueillant et paisible, les bureaux, eux, sont organisés en anneau au-dessus d’une verrière éclairant les espaces du socle, ce qui assure une parfaite séparation des fonctions. La conception bioclimatique intègre des stratégies de régulation thermique passives et fait la part belle à la transparence vitrée et aux espaces végétalisés, notamment autour du vaste parvis ouvert de plain-pied sur la ville.



Opération : extension du tribunal judiciaire de Bobigny. Maître d’ouvrage : Agence publique pour l’immobilier de la justice - Apij (Le Kremlin-Bicêtre). Programmistes : Arep et Verdi (Paris). Bureau de contrôle : BTP Consultants (Montigny-le-Bretonneux). Equipe lauréate : PCA-Stream, Philippe Chiambaretta, architecte mandataire (Paris) ; ETE, BET façade (Lille) ; Atelier H.Audibert, concepteur lumière (Paris) ; La Compagnie du paysage, paysagiste (Paris) ; Ingérop Conseil et Ingénierie, BET technique et maître d’œuvre d’exécution (Rueil-Malmaison) ; Khephren Ingénierie, BET structure (Arcueil) ; Bureau Michel Forgue - BMF, économiste (Apprieu) ; Avel Acoustique, acousticien (Paris) ; Atmos Lab, BET environnement (Londres, Royaume-Uni) ; Cronos Conseil, consultant sûreté (Paris) ; Mott MacDonald, consultant programmation (Paris) ; Artelia, BET réemploi (Saint-Ouen-sur-Seine) ; CSD & Associés, CSSI (Paris). Surface : 20 000 m2 de surface de plancher (SP) pour l’extension neuve. Estimatif travaux : 78,85 M€ HT. Lauréat du concours : janvier 2023. Calendrier prévisionnel : études, 2023-2024 ; consultation des entreprises, 2024 ; travaux 2025-2026 ; livraison, 2026.


La Voix du Nord | 18.03.2023
Douai adopte son nouveau plan local d'urbanisme
Après huit ans de procédure, les élus du conseil municipal ont adopté le nouveau plan local d'urbanisme (PLU) de la commune, vendredi soir. Le document qui fixe les règles d'urbanisme applicables à Douai sera exécutoire dès le 23 mars et consultable sur internet.
C’est fait. Avec trois votes (les voix du Rassemblement national) et neuf abstentions (François Guiffard et huit élus du groupe “ Douai dynamique et durable ”), le nouveau plan local d’urbanisme de Douai a été adopté par 25 élus de la majorité municipale (Guy Caruyer, agriculteur sur la commune, n’a pas pris part au vote). Le scrutin a mis fin à huit ans de procédure, la révision du PLU ayant été lancée en février 2015.

En juin, le conseil municipal avait arrêté le futur règlement d’urbanisme de la ville (https://ww.lavoixdunord.fr/1194719/article/2022-06-18/douai-le-nouveau-plan-local-d-urbanisme-sera-executoire-dans-six-mois), rédigé autour de quatre axes stratégiques : la préservation du cadre de vie et de l’environnement, la revitalisation du cœur de ville et des centres des quartiers, la connexion de la ville et de ses faubourgs, l’ancrage des habitants. Pour faire simple, selon un zonage précis, à l’échelle d’un quartier, d’un secteur ou d’une parcelle, le texte précise ce qu’il est possible de faire en matière de construction ou d’aménagement. Il définit quel immeuble d’habitation peut être construit, quel commerce ou service peut s’implanter, etc.

Consultable sur Géoportail
Depuis, le document a été soumis à l’avis de l’État, du Département, de Douaisis Agglo, du syndicat mixte du ScOT et des différents organismes compétents notamment en matière d’environnement. Le texte et des annexes ont aussi été mis à disposition de tout un chacun, lors de l’enquête publique qui s’est déroulée en novembre et décembre de l’an passé lors de laquelle des réunions de concertation ont été organisées dans les quartiers de Douai et cinquante-sept avis ont été recueillis.
Voté, le PLU douaisien sera mis en ligne sur le site Géoportail (geoportail.gouv.fr) jeudi 23 mars. Dès cette date, il sera exécutoire. Mais il sera également soumis au contrôle de légalité du préfet qui a un mois pour, éventuellement, le retoquer. Le texte cesse alors de s’appliquer, le temps que le juge administratif se prononce. Les autres citoyens ont deux mois pour contester, mais ce recours devant le tribunal administratif n’est pas suspensif. Passé ces délais, s’il n’est pas contesté, le PLU est définitivement adopté.

Les oppositions soulèvent la problématique du logement
Pour attirer plus d’habitants, le PLU mise sur la requalification de friches et la construction d’environ 2 000 logements d’ici 2030. “ Vous sortez la baguette magique : plus de logements égale plus d’habitants, mais ce n’est pas si simple ”, critique Coline Craeye (Douai dynamique et durable) qui s’interroge sur le type d’habitat et l’appauvrissement de la population. “ Ce qui manque, c’est une réflexion sur la mixité sociale de notre ville ”, approfondit son colistier Franz Quatrebœufs. “ Le PLU ne va pas régler l’ensemble des problèmes, d’autres travaux vont le compléter ”, répond Stéphanie Stiernon, adjointe à l’urbanisme. Une étude de l’attractivité résidentielle (https://www.lavoixdunord.fr/1291690/article/2023-01-22/quels-projets-et-domaines-seront-prioritaires-douai-en-2023) doit ainsi être prochainement rendue.

“ Vous allez augmenter la vacance de logements. Le risque, c’est les prix s’effondrent ”, redoute de son côté Thibaut François (Douai plus belle, plus propre, plus sûre). “ Ce n’est pas la ville qui construit mais des promoteurs qui n’y vont pas au doigt mouillé ”, retorque le maire, qui concède toutefois que la constriction de logements entraîne de la vacance dans l’ancien. “ Il faut qu’on travaille sur les deux : la rénovation de l’ancien et la construction du neuf. ”

L’arrêt de la règle qui implique qu’une place de stationnement soit aménagée pour chaque logement construit ou rénové inquiète également l’opposition. Coline Craeye craint un découpage des immeubles en logements sans parking. “ C’est la porte ouverte aux dérives ”, dénonce-t-elle. “ La règle est allégée, mais cela ne concerne que le centre-ville (https://www.lavoixdunord.fr/1255593/article/2022-11-19/commerce-la-mairie-de-douai-veut-sanctuariser-son-coeur-de-villeoù elle a tendance à bloquer les projets ”, rappelle Stéphanie Stiernon, qui estime que le permis de louer, prochainement applicable à Douai (https://www.lavoixdunord.fr/1255595:article/2022-11-20/douaisis-agglo-va-enfin-adopter-le-permis-de-louer), permettra de prévenir les abus.

Le préfet donne un avis défavorable
Le préfet de région a émis un avis défavorable au nouveau PLU, ce que n’ont pas manqué de pointer les oppositions. Coline Craeye (Douai dynamique et durable) pointe “ les incohérences relevées par le préfet ” et Thibaut François (Douai plus belle, plus propre, plus sûre) lui emboîte le pas. “ C’est un avis qui est loin d’être mitigé. Dans un courrier de sept pages, il désapprouve ce plan local d’urbanisme ”, précise le député du Rassemblement national. Le préfet estime ainsi que le risque d’inondation n’était pas suffisamment documenté. “ Les services de l’État n’ont pas pu fournir les documents en temps et en heure ”, explique l’adjointe à l’urbanisme Stéphanie Stiernon. “ Les données des services de l’État datent de 2015, il nous a fallu faire un réel travail de mise à jour ” déclare-t-elle encore. “ Le PLU ne sera pas une surprise pour le préfet, avance le maire Frédéroic Chéreau. Depuis l’avis négatif, il y a eu un certain nombre d’allers-retours entre nos services et ceux de l’État. ” Le préfet grade la possibilité de contester le PLU devant le juge.
La Voix du Nord | 15.03.2023
La première voie verte du sud Artois, entre Bapaume et Achiet, espérée en 2024
Cela fait des années que les élus de la communauté de communes (CCSA), son président Jean-Jacques Cottel en tête, caressent l'idée de transformer une ancienne voie de chemin de fer en sentier de circulation douce et lieu de promenade. Le projet entre dans sa phase active, le vote du budget nécessaire. Coups de pédales en 2024 ?



Cinquante ans après la fermeture de la ligne ferroviaire entre Achiet-le-Grand et Marcoing (Nord), la voie qui serpente aujourd’hui dans les champs pourrait retrouver un usage de déplacement. L’an prochain ? C’est l’espoir de Véronique Thiébaut, maire de Biefvillers-lès-Bapaume et vice-présidente de la CCSA. “ J’espère bien pouvoir y rouler prochainement ! ”, annonce l’élue qui milite en faveur des mobilités douces, y compris en secteur rural. “ C’est l’affirmation de la volonté de la communauté de communes d’avancer sur ce dossier. ”
Le projet est ancien. Il a pris du retard notamment parce qu’entre Biefvillers et Bihucourt, les discussions se sont enlisées avec l’agriculteur dont les terres s’étendent sur le tracé. Il souhaiterait en faire une réserve de chasse. La CCSA a engagé une procédure de déclaration d’utilité publique (DUP) pour pouvoir mettre la main sur cette portion, en échange d’autres terres pour le paysan. “ La DUP peut être stoppée à tout moment si l’on trouve un terrain d’entente avec le propriétaire, dit Mme Thiébaut. C’est en tout cas l’affirmation de la volonté de la CCSA d’avancer. ”

Moment idoine 
Le moment est jugé idoine pour pousser les feux sur le sujet. Les vertus de la bicyclette sont intégrées jusqu’au plus haut niveau de l’État, le Plan vélo présenté il y a six mois est d’une ambition inédite. “ On a plus de chances que la DUP soit acceptée par la préfecture. ” Une étude environnementale est en cours. Elle doit permettre d’écarter le fait que les travaux porteraient préjudice à des espèces rares ou protégées. La voie ne sera pas en macadam mais en revêtement perméable.

Vote au printemps 
Ce printemps, l’élue va tenter de faire voter en conseil communautaire une enveloppe de 850 000 € (coût global estimé de la voie verte) pour pouvoir entamer les travaux. Plusieurs dossiers de subvention vont être déposés pour tenter de récupérer la moitié de la somme environ.

Petites routes réservées
En parallèle, la CCSA œuvre afin de transformer une partie du réseau des routes de troisième catégorie (celles qui sont les moins empruntées) en voie réservée ou partagées, avec priorité pour les cyclistes. “ Nous sommes les seuls à être engagés dans une telle démarche, se félicite Véronique Thiébaut. Ça permet d’être économe et pragmatique. ” La “ ressource ” est conséquente : le département du Pas-de-Calais gère à lui seul 6 200 km de routes ; le sud Artois est traversé de nombreuses voies.
Concrètement, à peine 20 % des petites routes, soit moins de 200 km, pourraient être réservées pour les cyclistes (ainsi que les engins agricoles), peut-être à l’aide de barrières. Ou alors partagées avec les automobilistes sous forme de “ chaucidoux ” où les cyclistes sont prioritaires, les autos ne pouvant dépasser que si personne n’arrive en face. “ Nous avons une réunion le 21 mars au Département pour arrêter les portions concernées. ” L’idée serait de faire basculer chaque année quelques dizaines de kilomètres et de permettre, au final, de relier la plupart des villages entre eux.
Eaubonne.fr | 14.03.2023
Eaubonne | Le diagnostic du patrimoine arboré est lancé !
Eaubonne compte environ 4 500 arbres implantés sur le domaine public (rues, espaces verts, bâtiments). En janvier dernier, la Ville a lancé la réalisation d'un diagnostic de son patrimoine arboré.


Analyse du Pin noir situé dans le parc Philipson et inscrit au PLU au titre des arbres à protéger. Cet arbre remarquable, d’une hauteur d’environ 33 mètres, mesure près de 5 mètres de circonférence.

Ce diagnostic permettra de référencer et connaître l’état de santé de chaque spécimen afin de prévenir les risques de maladie et de chute. Réalisée par les ingénieurs horticoles du bureau d’études VERDI, cette étude repose sur une analyse complète de chaque arbre : essence, taille (circonférence du tronc, hauteur), état physique, pathologique et mécanique, contraintes…



D’ici fin juin, la Ville disposera ainsi d’un diagnostic complet accompagné de préconisations pour assurer la bonne gestion et la préservation de son patrimoine arboré.



Le patrimoine arboré d’Eaubonne c’est :
> Environ 1 575 arbres d’accompagnement de voirie (rues et avenues, places, parking…) ;
> Environ 2 100 arbres autour des bâtiments communaux ;
> Environ 825 arbres dans les parcs et jardins publics.
La Voix du Nord | 12.03.2023
Saint-André-Lez-Lille :
la nouvelle résidence autonome pour seniors
ouvre bientôt à Quai 22
Au beau milieu de Quai 22, sur les bords de Deûle, Api Résidence nous a ouvert les portes de sa nouvelle résidence seniors. Elle ouvre le 1er avril avec 147 logements neufs.

Les logements proposés vont du studio au T3 et s’ouvrent sur des jardins.

Api Provence, association créée il y a plus de trente ans, déploie des solutions de logements. Il y a quelques années, en prenant en compte les besoins de logements pour les retraités à revenus moyens (1500 euros/mois environ), Api Provence a créé Api Résidence. “On a créé un autre modèle économique, le mal logement des seniors m’a interpellé”, commente Manuel Smadja, président d’Api Résidence. “Ce sont des résidences autonomes, qui proposent des appartements meublés et des animations. Il n’y a pas de restaurant, les logements ont tous des cuisines équipées”, explique Nella Bosi, responsable du développement. “ On veut du lien social ”, reprend le président. Le 1er avril, la toute nouvelle résidence accueillera ses premiers seniors rue Gisèle-Halimi dans des studios, des T2 ou T3.


Tous les logements sont équipés, meublés et adaptés pour les seniors.

Saint-André-Lez-Lille est une opportunité pour nous. C’est notre vraie grosse première vitrine” dans le nord de la France, ajoute Manuel Smadja. Apri Résidence était pour le moment plutôt présent dans le sud de la France. “Honnêtement, je ne connais pas vraiment le territoire mais toutes les remontées que l’on a sur la ville sont positives”, souligne le président d’Api Résidence. Élisabeth Masse acquiesce. “En plus, 20 % de notre population sont des seniors”, souligne la maire.

147 logements de 25 à 58 m² 
Cette résidence propose des activités. “Des seniors extérieurs et même les familles pourront y participer”, souligne Manuel Smadja. Christine Depape, animatrice et ancienne auxiliaire de vie, est ravie. “Je commence déjà à tout mettre en place. Je vais programmer des promenades, du yoga du rire, des massages et même des défilés de mode”, sourit-elle. Il faut dire qu’une grande salle d’animation, avec vue sur la Deûle, lui est mise à disposition.

Ce projet représente un investissement de plus de 15 millions d’euros. Api Résidence a apporté 800 000 euros. Les appartements ont été achetés par des investisseurs privés, qui ont la garantie de recevoir un loyer pendant 10 ans. “Tous les logements sont neufs, ils plaisent beaucoup, 70 % des visites se terminent par une signature.” En tout, 147 logements de 25 à 58 m², avec balcons ou terrasses, dont 10 pour de courts séjours sont proposés. Les prix des loyers (tout inclus) vont de 762 à 1473 euros.