Courrier Picard | 02.03.2023
360 000 € de travaux pour casser la vitesse dans Bacouel-sur-Selle
À partir du 17 avril et jusqu’en juillet, deux phases de travaux vont se succéder, pour créer des aménagements, afin de lutter contre la vitesse et sécuriser les déplacements des piétons.
Ce mardi soir, Marc Bulcourt, maire, a organisé une réunion publique pour informer les habitants des chantiers qui s’annoncent. Et qui feront suite à une enquête menée auprès des habitants en début de mandat, en 2020. Le maire et son conseil avaient recensé leurs préoccupations. Parmi elles, une forte attente sur la circulation et la sécurité routière dans le village.

Soixante-dix personnes se sont déplacées pour entendre ce qui va changer dans le village en lien avec cette problématique.

Le maire était assisté dans cette tâche par Solène Bellot, chargée d’études pour le Groupe Verdi, choisi pour la réalisation. Les projets ont été élaborés conjointement avec le conseil départemental, puisqu’une partie impacte la route départementale 8. Exemple au niveau du garage automobile sur la route de Conty, où une chicane d’entrée de village va être installée de chaque côté. Ainsi qu’un changement du rayon de courbure du virage, qui permet d’entrer dans le centre.

Une meilleure circulation des piétons
L’arrêt du bus scolaire ne se fera plus sur l’esplanade sur le côté de la route, mais sur la route, comme le préconise le conseil départemental, obligeant les véhicules à ralentir pour la dépose des passagers. L’objectif annoncé de tous ces ouvrages est clair : il s’agit de casser la vitesse des usagers de la route. Et de permettre une meilleure circulation, plus sûre, des piétons, dont de nombreux écoliers.

Il va y avoir une réorganisation du stationnement, la réalisation de plateaux surélevés (devant la mairie et route de Plachy), assortis de passages piétons. Des doubles écluses vont faire leur apparition dans certaines rues. Le coût du chantier est de 360 000 euros, dont 140 000 euros à la charge de la commune, déduction faite des subventions.

Le chantier va se dérouler en deux phases, avec une circulation en alternat, sauf le jour de la pose des enrobés, où elle sera interdite. La première (plateau surélevé de la mairie et écluse rue du Château), du 17 au 28 avril (pose des enrobés le 28). La deuxième (rue de Plachy, rue de la gare, rue de Vers, rue du Château, RD8 et RD8A), du 29 mai au 14 juillet.
Construction21 | 01.03.2022 | Eric Larrey
Planter des arbres en ville, oui, mais lesquels ?
Un million d'arbres urbains passés au crible…
Les nombreux projets de végétalisation envisagés par toutes les métropoles, les collectivités et les villes sur tout le territoire, sont confrontés à diverses problématiques très engageants, dont celle-ci : quelles sont les essences d’arbres à planter aujourd’hui pour résister au climat de demain ? Un climat plus sec, plus chaud durant des périodes s’étendant du printemps à l’automne. L’été 2022 nous donne un avant-goût de cette situation, qui pourrait bien se reproduire cette année. Transformons la en opportunité, en étudiant les espèces en place sur différents territoires au regard de leur résistance au stress hydrique, et espérons que les résultats pourront aider à orienter nos choix. Pour ce faire, nous avons étudié le comportement d’un million d’arbres urbains, correspondant à plus de 800 espèces différentes, durant les trois derniers étés. Voici un premier retour sur cette étude.
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Le Courrier Picard | 27.02.2023
Rénovation et visite du château d'eau de Ham
Il s'agit de rénover l'ouvrage qui date des années 1960, soit des travaux de génie civil : rénovation du dôme recouvrant la cuve, réétanchéïté des cuves (dont la capacité est de 2000 litres) vidées et nettoyées, travaux sur les canalisations en partie changées (sur une hauteur de 30 mètres) car oxydées, rénovation de la station de pompage, mise en sécurité des lieux et remise en peinture du château d'eau et de la station.
Ces travaux se font sans coupure d’eau. En effet, les ouvriers ont installé un système de bi-pass permettant d’envoyer l’eau de la station de pompage directement vers le réseau, sans passer par le château d’eau. Plus tard, une fresque pourrait voir le jour sur ce dernier. “ Ce sont des travaux conséquents. Nous sommes en cours de réflexion ” souligne Brunot Sirot, adjoint au maire en charge des travaux de la ville.


L’Est Républicain | 25.02.2023
Arc-et-Senans | Test de contrôle sur l'assainissement
Dès la semaine prochaine, la société Verdi va réaliser des tests pour vérifier que les propriétaires des maisons ont correctement raccordé leurs eaux pluviales et leurs eaux usées. Elle va mettre du colorant dans le réseau afin d'identifier les rejets.
La société Verdi va procéder, dès le début de la semaine prochaine, à des tests de détection des eaux pluviales qui se jettent dans le réseau des eaux usées d’Arc-et-Senans.

Ce schéma directeur d’assainissement est obligatoire pour toutes les communes, il permet de valider le programme de création des réseaux séparatifs. Les communes qui à l’avenir ne pourront présenter ce schéma se verront refuser l’attribution des subventions (30 % de la dépense). Sur Arc-et-Senans, environ 25 km de rues sont viabilisés en séparatif ou en unitaire. Les effluents se jettent dans la station d’épuration. Or le surplus d’eau fait que la station n’est efficace qu’à 30 à 40 %. En clair, la station traite 60 à 70 % d’eaux qui devraient rejoindre directement La Loue. Cela conduit à un mauvais fonctionnement de la station.

Un délai de deux ans
Pour rappel, lors de la construction d’un réseau séparatif, les propriétaires disposent d’un délai de deux ans après réception des travaux pour se mettre en conformité, c’est-à-dire identifier leur rejet à savoir eaux usées dans le réseau eaux usées et eaux pluviales dans le réseau eaux pluviales. Certains font le bon choix de stocker les eaux de pluie pour l’arrosage des jardins.

Par exemple, un réseau séparatif dans une partie de la rue de la fromagerie et dans la Grande rue entre la place de l’Église et la salle polyvalente a été créé. Ce réseau est opérationnel depuis l’automne 2022, ce qui laisse aux propriétaires un délai de deux ans soit jusqu’au 31 décembre 2024 pour se mettre en conformité.

Rappel : pour info les évacuations doivent être séparées c’est-à-dire qu’il doit y avoir une sortie eaux usées et une sortie eaux pluviales bien différenciée. Chaque branchement doit se faire dans le regard posé à cet effet lors des travaux. C’est quelquefois compliqué d’identifier les sorties d’où le délai accordé de deux ans.

Certaines rues vont faire l’objet de ce contrôle (lire ci-contre). Il consiste à mettre du colorant dans le réseau afin d’identifier les rejets.

Les rues concernées
> Rue du Deffois.
> Rue de la Grande-Vye.
> Traverse de la Morte-Chamley.
> Rue des Toppes.
> Rue de la Levée.
> Rue des Gabelous.
> Avenue de la Saline.
> Chemin du château de Roche.
> Rue des Forges.
> Rue des Tuileries.
> Rue de Besançon.
Le Moniteur | 24.02.2023
Calais : le totem béton à bon port
Cet indispensable ouvrage de gestion du trafic maritime acquiert ici un statut qui dépasse largement ce rôle fonctionnel et devient le lien entre l’histoire et l’avenir de Calais dont il deviendra un des nouveaux symboles.
Tel un cairn et ses galets posés en équilibre les uns sur les autres. La capitainerie, tout juste livrée au terme de deux ans de travaux à 4,6 millions d'euros HT portés par la région Hauts-de-France, se dresse à l'articulation du port existant et de son extension inaugurée en 2021. Imaginée par les architectes d'Atelier 9.81, avec Arsène Henry Triaud, Verdi Ingénierie et Philippe Reydant, elle reprend les marqueurs du territoire.

Le béton blanc de chaque strate de cet équipement de gestion du trafic des bateaux raconte l'histoire du patrimoine maritime, économique et géologique local. Reposant sur un socle en béton brut, un premier bloc avec relief symbolise les falaises calcaires voisines, lui-même étant surmonté d'une strate sablée reprenant les codes des cartes maritimes. Le tout est coiffé de deux blocs de béton matricé symbolisant la célèbre dentelle de Calais. Ces derniers accueillent la vigie, culminant à 38 m sur ce totem moderne de 708 m² SP.
Le Bien Public | 22.02.2023
Nuits-Saint-Georges | Quai Fleury : les réseaux d’eaux usées et d’eau potable renouvelés
Durant quatre mois, trois phases de travaux vont s’enchaîner afin de renouveler les réseaux d’eaux usées et d’eau potable au niveau du quai Fleury à Nuits-Saint-Georges. Les premiers aménagements ont débuté ce lundi place des Climats.
Depuis le début de semaine, les travaux pour le renouvellement des réseaux d’eaux usées et d’eau potable à Nuits-Saint-Georges ont débuté. Ces derniers, d’une durée de quatre mois, concernent le changement des réseaux du quai Fleury, non loin de l’entrée sud de la ville. Portés par la Communauté de communes Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges, ils seront réalisés par l’entreprise SNCTP.

Une signalisation de chantier mis en place
Les aménagements vont se dérouler en trois périodes successives. La première phase se déroulera du 20 février au 7 avril et s’intéressera aux réseaux de la place des Climats au pont de Chaux. La phase 2 partira, elle, du carrefour du pont de Chaux et aura lieu du 11 au 21 avril prochain. Enfin, la dernière étape concernera les réseaux du pont de Chaux au pont de la Duchesse et aura lieu du 17 avril au 9 juin.

Ce planning est prévisionnel, il pourra être revu en fonction des aléas de chantier et/ou des intempéries. Durant ces travaux, une déviation sera mise en place selon la section des travaux en cours ” informent les services de la ville de Nuits-Saint-Georges, qui notent : “ Pendant le chantier, si vous avez des impératifs de livraison, de sortie de véhicules ou autres, nous vous recommandons de prendre contact directement avec le chef de chantier qui sera sur place. Par ailleurs, pour la sécurité de tous, nous vous serons reconnaissants de bien vouloir respecter la signalisation de chantier.
Le Moniteur | 17.02.2023
Fondations. Un poids lourd au bilan allégé
En Meurthe-et-Moselle, 700 pieux soutiendront une chaufferie aux faibles émissions carbone, qui compose avec la nappe phréatique.
A Dombasle-sur-Meurthe (Meurthe-et-Moselle), le groupe spécialisé dans la chimie Solvay prépare sa sortie du charbon en édifiant une chaufferie industrielle qui produira de l'électricité et de la vapeur grâce à la combustion de fragments de déchets non recyclables, appelés combustibles solides de récupération (CSR). L'ensemble, qui mobilise un investissement de 180 M€, doit permettre de diviser par deux l'impact carbone de l'exploitant pour produire du carbonate et du bicarbonate de soude. Mais avant d'offrir une meilleure performance écologique (et de dire adieu au charbon), le projet, implanté sur une emprise de 5 500 m², devait d'abord se mettre en capacité de recevoir jusqu'à 6 700 t de déchets. Ces milliers de tonnes qui pèseront sur le-terrain ont dicté le choix de couler plus de 700 pieux pour les fondations. “ La majorité d'entre eux mesurent entre 600 et 900 mm de diamètre et ne descendent pas en deçà de 15 m, mais leur emploi était indispensable ici ”, confirme Emmanuel Potier, directeur travaux chez Solvay.


La nouvelle chaufferie industrielle s'organisera en différentes zones, dont l'espace de stockage du combustible, la chaudière vapeur et la turbine éclectique.

Ce dispositif mis en œuvre dans un contexte de sous-sols hétérogènes a justifié de démarrer le chantier par une phase de curage en février 2022. “ Nous avons dû tenir compte des nombreux vestiges issus d'une activité industrielle vieille de plus d'un siècle et demi ”, se remémore Florent Godard, directeur d'exploitation chez GTM Hallé.

Un bassin de 1 500 m³ à 6 m sous terre.
La nouvelle chaufferie industrielle se découpera en quatre secteurs : le bâtiment de stockage des CSR, la plateforme dédiée à la chaudière, l'espace de la turbine électrique et enfin la zone de gestion des fumées. Le bâtiment de stockage concentre les principaux enjeux techniques. D'abord à cause de sa fosse de déchargement des combustibles, soit un ouvrage de 1 500 m³ enterré à 6 m de profondeur dans la nappe phréatique. “ Nous avons choisi de recourir à des pieux sécants dans cette zone car, sans eux, le débit d'exhaure aurait atteint 150 m³/h, ce qui n'était pas gérable ”, résume le directeur d'exploitation chez GTM Hallé. Les 116 pieux sécants de 13 m de profondeur ont ici été forés grâce à une imposante machine.

Ouvrage emblématique, la fosse de déchargement des combustibles représente un volume de 1 500 m³ qui descend à 6 m de profondeur.

Côté déroulement des opérations, “ les pieux primaires ont été percés tous les 90 cm de façon à former une rangée, avant d'être remordus par des pieux secondaires en béton armé afin d'étanchéifier la zone. Les pieux sécants ont ensuite été butonnés à 6 m de profondeur, le temps de réaliser un plancher provisoire au moyen d'un radier étanche de 1,2 m d'épaisseur ”, précise Emmanuel Potier.

Comme des roseaux.
L'autre défi pour ce bâtiment de stockage découle de l'absence de joints de dilatation pour des raisons liées au procédé industriel. Or, dans l'est de la France, la norme pour les ouvrages en maçonnerie (NF DTU 20.1) impose un espacement de 25 m entre deux joints. L'ouvrage de 50 m de long sur 35 m de large et 23 m de haut aurait donc dû s'y conformer. “ Nous étions confrontés à un bloc monolithique sur lequel l'absence de joints risquait d'accentuer les phénomènes de dilatation sous l'effet des variations d'hygrométrie et de température. Les pieux sur lesquels se fonde l'ouvrage devront donc travailler comme des roseaux ! Pour ce faire, nous avons fortement augmenté le ferraillage des pieux, ainsi que celui des liaisons entre eux et le radier ”, conclut Florent Godard. Une nouvelle particularité qui rapproche encore davantage la future usine de l'ouvrage de génie civil.


Pour des questions de process industriel, le bâtiment de stockage des CSR (à g.) n'accepte pas les joints de dilatation. Ce sont donc les fondations qui reprennent les mouvements de dilatation.

Maîtrise d'ouvrage : Dombasle Energie (société de projet détenue par DIF Capital Partners, Solvay et Veolia). Contractant général : Solvay. Maîtrise d'œuvre : groupement WSP (mandataire), Ekium. Entreprises : groupement GTM Hallé, filiale de Vinci Construction (mandataire) ; Demathieu Bard Construction ; Colas (gros œuvre) ; Waltefaugle (charpente métallique) ; Gleitbau (coffrage glissant) ; Atlas fondations (pieux) ; ECMA (ferraillage) ; Smac (bardage). Date de livraison : début 2ème semestre 2024. Durée du chantier : 24 mois. Coût des travaux : NC.
L’Écho Républicain | 10.02.2023
Lucé : le chantier de requalification urbaine et paysagère de la rue Georges Varlet débutera ce lundi
L’objectif de la municipalité dans le cadre de la requalification urbaine et paysagère de la rue Georges Varlet est de valoriser la ville et de la rendre plus attractive. Les travaux de requalification urbaine et paysagère démarrent lundi et s’achèveront à la fin de l’année.

Végétaliser. Des îlots de rafraîchissement vont être créés grâce à une présence plus importante d’arbres. Illustrations : ©Verdi Ingénierie, agence de Chartres


Un nouveau visage pour la rue Georges Varlet et ses alentours sera visible dans quelques mois. “ Cette opération "cœur de vie" était attendue depuis des années par les habitants ”, a déclaré, jeudi 9 février, Florent Gauthier, maire de Lucé, lors de la réunion publique pour présenter les travaux de requalification urbaine et paysagère de la rue Georges-Varlet et de la place Jean-Monnet.

Les travaux, qui commenceront ce lundi 13 février 2023, modifieront plusieurs caractéristiques de la rue Georges Varlet : son aspect esthétique et pratique pour les piétons et les véhicules. Les réseaux d’électricité et des eaux usées seront, eux, enfouis. “ Cela permettra aux habitants victimes d’inondations dans leurs caves, lors de fortes pluies, de ne plus connaître ces désagréments ”, indique le maire.

Mobilités douces et davantage d’arbres
Une piste cyclable à double sens sera créée, rue Georges-Varlet, et ponctuellement protégée par une bande végétale. “ Nous avons la volonté et l’obligation de développer les mobilités douces sur notre territoire. ” Le maire a également rappelé qu’il fallait “ cinq fois moins de temps à vélo qu’en voiture pour se rendre en centre-ville de Chartres. ” Le projet a d’ailleurs été retenu par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).



Florent Gauthier veut valoriser sa ville en la rendant plus attractive.


Afin de permettre la réalisation des travaux, trente-quatre arbres ont été abattus pour certains, suite à une maladie. Pour chaque arbre abattu, nous en replanterons trois, détaille Florent Gauthier. Quatre-vingt-dix arbres seront plantés ainsi que quarante-trois arbustes pouvant aller jusqu’à 4 mètres de haut.
Ce chantier permettra également de “ sécuriser les trottoirs et la circulation sur la chaussée ” qui était jusqu’ici déformée.

Circulation perturbée
À partir de lundi et jusqu’au 14 avril, la rue Varlet sera barrée, en journée, sur son tronçon entre la rue de la République et la rue Jules-Ferry. Durant les deux dernières semaines d’avril, pendant les vacances, ce sera au tour du carrefour Ferry. Et du 17 avril au 9 juin, les travaux auront lieu sur le tronçon entre la rue Jules-Ferry et la rue François Foreau.

Afin de créer un parking sur la place Jean-Monnet, deux maisons situées au 59, rue de la République et au 2, rue Georges-Varlet, seront démolies. Quatre autres places de parking sur la chaussée de la rue Georges-Varlet. À terme, le maire ajoute “ qu’il faudra réglementer davantage le stationnement dans la ville ” mais assure qu’il tient à garder “ la gratuité de celui-ci, au moins pour les résidents lucéens.


Deux maisons seront démolies afin de créer un parking.


D’autres travaux d’enfouissement, par tronçon, auront lieu jusqu’en décembre. “ C’est une volonté du maire que les travaux les plus importants soient achevés avant Noël ”, a précisé le cabinet Verdi, chargé de coordonner le projet. Ces aménagements devraient aboutir à la fin du premier semestre 2024. “ Des travaux seront ensuite conduits sur les rues Jean-Maunoury et Gambetta.
 
1,8 million €
sera dépensé par la municipalité de Lucé pour ces travaux.

700 000 €
seront investis par Chartres Métropole pour ce chantier.