Le Progrès | 05.02.2023
Poligny, le chantier de la rue Charles-de-Gaulle a démarré
Piste cyclable avec bordure séparée, aménagement de trottoirs de chaque côté de la route, le chantier de restructuration de la rue Charles-de-Gaulle prend vie. Il devrait s’achever au mois de juillet.

Les travaux de requalification de la rue Charles-de-Gaulle devraient s’achever au mois de juillet.


La 4e phase de requalification d’un secteur de la cité du comté s’ouvre pleinement dans la rue Charles-de-Gaulle. Les entreprises sont à pied d’œuvre sur le chantier pour aménager des trottoirs et des places de stationnement de chaque côté de la rue. “ Les travaux commencent au croisement avec la RN5 où le mur sera démoli en avril pour être reculé, indique Jean-François Gaillard, adjoint aux travaux. Un carrefour peint sera créé.

La circulation limitée à 30 km/h
L’ensemble des tons sera homogène aux aménagements précédents de la Grand-rue et la rue du Vieil hôpital, avec le béton bouchardé rosé pour les trottoirs. La nouveauté est que la rue accueillera la première piste cyclable sécurisée de la ville, avec une circulation des cyclistes à double sens. “ La largeur de la route monte aujourd’hui jusqu’à sept ou huit mètres. Parfois, il n’y a rien sur les accotements ”, indiquait au Progrès, en octobre 2022, Marc Lopez, chef de projet au cabinet Verdi, maître d’œuvre du chantier.


Les voitures roulaient assez vite dans cette ligne droite. Des plateaux de ralentissement vont être aménagés au croisement de la rue du 19-Mars, la rue Lacuzon, la rue André-Malraux et la rue de l’Égalité, où un rond-point sera aménagé. La circulation sera désormais limitée à 30 km/h. “ On espère que les travaux seront terminés pour le Tour de France, indique Marc Lopez. Les cyclistes ne passeront pas là mais pour que tout soit propre pour les images aériennes.

De nouvelles essences d’arbres plantées
Avant la restructuration, des arbres ont été abattus. Ces travaux de bûcheronnage ont suscité des désapprobations, notamment de la part de l’association Décidons Poligny dont les membres avaient planté des croix en hommage aux tilleuls disparus en décembre dernier. Ils invoquaient “ l’urgence climatique ” et la perte d’ombre pour les habitants. Lors du dernier conseil municipal de l’année, Dominique Bonnet, le maire, déclarait avoir reçu peu de réactions d’habitants, dont une lettre d’une nouvelle riveraine mécontente. Lors d’une réunion publique précédant les travaux, les habitants avaient eux-mêmes demandé que les tilleuls disparaissent en raison des dépôts et des racines qui cassent les trottoirs. “ Un seul habitant s’y était opposé ”, rappelait alors Dominique Bonnet.

Quelque 90 arbres d’essences diversifiées (tilleul à petites feuilles, sophora du Japon, chêne de Hongrie et érable plane) doivent être replantés. “ Ce sont des essences où les racines descendent en profondeur dans le sol pour ainsi éviter la casse du revêtement de surface ”, précise Marc Lopez. En espérant que les riverains ne se plaignent pas à nouveau du dépôt sur leur voiture sur les places de stationnement aménagées entre les arbres.
Un chantier à suivre en direct

Les habitants peuvent poser leur question directement via l’application

Les habitants peuvent continuer à circuler pendant les travaux. La seule contrainte de circulation sera opposée par le déversement de l’enrobé. Les habitants peuvent échanger directement avec l’entreprise en posant leur question sur l’application Hello Travaux, à télécharger sur smartphone.

Les travaux précédents qui ont ponctué l’année 2022 consistaient à créer des réseaux séparés pour les eaux pluviales et les eaux usées qui alimentent la station d’épuration de Tourmont. Le chantier s’élève à 1,8 million d’euros, travaux d’assainissement compris.

La 5e tranche de travaux à suivre consistera en l’aménagement du parking du Champ-de-Foire. Cette tranche est prévue en 2024 ou 2025 après l’enfouissement du réseau de chaleur de la future chaufferie bois. La maison voisine de l’office notarial et la friche Juramonts seront démolies pour aérer le quartier.

L’Est Républicain | 01.02.2023
La cristallerie de Baccarat investit 52 millions d’euros dans sa transformation industrielle
Des travaux colossaux ont débuté au sein de la manufacture de Baccarat. La cristallerie investit, jusqu'au second semestre 2024, 52 millions d'euros dans sa transformation, en construisant notamment le plus grand four de l'histoire de la manufacture.
C’est un mastodonte. Le plus grand four de l’histoire de la cristallerie de Baccarat que la manufacture se prépare à accueillir. Un four qui, chaque jour, permettra de fournir 18 tonnes de cristal. Sept jours sur sept. 365 jours par an. Depuis quelques semaines, les travaux ont commencé dans la halle qui accueillera le futur four F. Ici, dans l’enceinte de la manufacture, c’est ainsi que tout le monde l’appelle. Et que tout le monde l’attend aussi.

Le plus grand four de l’histoire de Baccarat
À commencer par le directeur du site, Eric Brient : “ Nous sommes en train de refaire toute la halle qui accueillera ce four F, qu’on va démarrer mi-août 2023 pour que nos ingénieurs le mettent au point de septembre à mi-décembre. Avec la croissance qu’on connaît, le “ big-bang ” de la mise au point est interdit. ” Les premiers objets en cristal à visée commerciale sortiront quant à eux entre le 10 et le 12 janvier 2024, pour les 260 ans de la manufacture.


Ce four va être le plus grand de l’histoire de Baccarat et il sera là pour accompagner la croissance forte de nos marchés. On y greffera aussi des contributions pour avoir une performance environnementale optimisée.


Des fours monocellulaires ont pris place autour du “ carrousel ” à la cristallerie de Baccarat


À la cristallerie de Baccarat, la transformation industrielle est en cours. L’été dernier, alors que la France se rassemblait pour le 14-Juillet, Baccarat vivait un autre pan de son histoire avec l’arrêt du four C, d’où sortaient 10 tonnes de cristal chaque jour.
Le 14 juillet 2022 à 7 h, on l’a éteint et on a redémarré la coulée le 16 août. On a reconstruit ce four C, qui fait du cristal clair, avec quelques améliorations. La durée de vie de nos fours est de huit ans, pas plus, pour conserver la pureté de notre cristal. Avec les équipes fusions, on a intégré les améliorations possibles à l’intérieur du four.


À Baccarat, la durée de vie des fours est de huit ans (ici le four C).


L’arrêt prévu du “ carrousel ”
Au total, Baccarat investit, jusqu’au second semestre 2024, 52 millions d’euros dans sa transformation industrielle. Car la transformation de Baccarat ne s’arrêtera ni au four C, ni au four F. Cette année 2023 verra aussi le four A s’arrêter. Celui qu’on appelle ici, « le carrousel ». Un four à pots, 21 au total, le plus ancien au monde.


Ce four a été construit entre 1932 et 1934, poursuit Eric Brient. Il a été réparé durant l’été 1978. Actuellement, il est encore opérationnel et à la fin de l’année, on va l’arrêter. Mais on ne va pas le raser car c’est un totem de la manufacture.
En lieu et place, des fours monocellulaires ont commencé à prendre place autour du four à pots. D’autres seront bientôt ajoutés. “ Ce qu’on engage actuellement, c’est colossal ! Et ce qui est en train de se passer nous permet de construire les 30 prochaines glorieuses de Baccarat.
 

Eric Brient : “ Nous sommes à une époque où Baccarat change réellement de dimension


Eric Brient, comment s’est passée l’année qui vient de s’écouler, côté emploi et formation, ici à la cristallerie de Baccarat ?
En 2022, nous avons embauché 132 personnes sur le site de Baccarat. Nous étions 500 au 1er janvier 2021. Nous sommes à une époque charnière où Baccarat change réellement de dimension avec la croissance que nous vivons depuis 2021. Nos ambitions sur tous les marchés sont confortées par la réalité pour accompagner cette nouvelle ère de Baccarat.

Concrètement, de quelle façon allez-vous accompagner cette croissance ?
Cela repose sur un triptyque : renforcement et pérennité de l’outil industriel, être au cœur des savoir-faire et conserver cette culture de l’excellence. Nous nous devons d’adapter le collectif de Baccarat pour accompagner la croissance. Aujourd’hui, nous avons 670 personnes sur le site. En 2022, nous avons embauché 132 personnes dont 88 embauches l’ont été en production. Baccarat engage 100 000 heures de formation sur cinq ans. Notre pyramide des âges a bougé vers un rajeunissement notoire, entre le “ plan amiante ” et la croissance qui booste les effectifs. Rester champion, ça se mérite ! Si nous nous devons d’avoir un niveau de compétence “ Premium ”, c’est aussi pour que Baccarat garde son leadership. C’est nécessaire. Nous avons des “ chantiers école ” qui, tous les jours, le matérialisent.

Et pour cette année 2023 ?
En 2023, on va vers 70 embauches environ. Dont la moitié pour accompagner la croissance et l’autre pour pallier les départs en retraite.

 
Le Progrès | 30.01.2023
Lons-le-Saunier : Dans les cours de récréation, du bitume à la nature
La Ville de Lons-le-Saunier a réaménagé les cours de récréation des groupes scolaires Richebourg et Prévert. Pour un montant de 900 000 euros, le goudron a laissé place à la nature et aux jeux. La végétalisation est pour la Ville un enjeu essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique.

La cour de l’école élémentaire Prévert était entièrement bitumée.


Une place rectangulaire, plane, entièrement bitumée. C’est ce à quoi ressemblait la cour de récréation de l’école élémentaire Prévert il y a un an. Le changement a été radical. La place laissée au goudron a été largement réduite. Le terrain de foot qui prenait tout l’espace se transforme en city-stade dans un coin de la cour. Une butte végétale a fait son apparition, une balançoire a été rajoutée, le portique de jeux a été déménagé, et de nombreux espaces verts entourent désormais les grands arbres.


Le bitume a été enlevé sur toute cette partie de l’école maternelle Prévert


Permettre à l’eau de s’infiltrer dans le sol
Dès l’été 2022, la Ville de Lons-le-Saunier a réaménagé les cours de récréation (maternelle et élémentaire) des groupes scolaires Prévert et Richebourg. L’opération d’un montant de 900 000 euros a été subventionnée à 70 % par l’Agence de l’Eau, l’État et la Région. La végétalisation et la perméabilisation des cours d’école répondent à plusieurs objectifs. “ Par le passé, on a beaucoup artificialisé les surfaces, rappelle Geoffrey Visi, conseiller municipal délégué au cadre de vie. En perméabilisant les sols, l’eau va s’infiltrer dans les espaces naturels et alimenter la nappe. ” Une action bénéfique pour les stations d’épuration dont le fonctionnement est parasité par les eaux de pluie. À l’école Richebourg, une cuve de 23 m3 a été installée pour récupérer les eaux de toiture qui seront utilisées par le service des espaces verts.


Cet espace était totalement goudronné dans la cour de l’école maternelle Richebourg. L’eau de pluie avait du mal à s’évacuer. Les enfants profitent désormais de coin plus naturel, qui permet en même temps à l’eau de s’infiltrer.


Tout était aseptisé
“ La nature en ville est pour nous un axe prioritaire, rappelle Geoffey Visi. Avec le réaménagement des cours d’école, le volet pédagogique est tout trouvé. L’école est l’un des premiers espaces publics occupé par les usagers dans leur vie. Auparavant, tout était aseptisé, il ne fallait pas que les enfants aient les chaussures sales. On est allés dans un extrême. ” Les cours d’écoles ont été réaménagées selon une même ligne directrice. “ Dans chaque cour, on retrouvera une zone dynamique, une zone calme, une zone de jeux et une zone pédagogique ”, explique Geoffrey Visi. Plantes aromatiques, potagers, les enseignants pourront s’approprier les espaces pour leurs projets éducatifs.


L’espace a été complètement repensé. L’accès entre les deux parties de la cour est facilité, y compris pour les enfants en situation de handicap.


Adapter la ville au changement climatique
La renaturation des cours d’école participe à “ adapter la ville au changement climatique. ” Une quinzaine d’arbres ont été plantés au groupe scolaire Richebourg, une quarantaine au groupe scolaire Prévert. Forcément, l’accroissement de la place laissée à la nature demandera davantage d’entretien. “ Pour le choix des essences, nous avons questionné notre service espaces verts pour limiter au maximum cet entretien ”, indique Geoffrey Visi. La Ville a également été attentive au choix de l’enrobé, de couleur claire pour “ limiter l’impact de la chaleur. ” Parfois, les idées se sont heurtées à la réalité du terrain. “ Dans la cour de l’école maternelle Richebourg, nous pensions mettre des pavés à joints gazon ”, raconte Geoffrey Visi. L’option a été abandonnée afin de rendre l’espace accessible aux fauteuils roulants.

La cour de l’école François Rollet devrait être la prochaine sur la liste des réaménagements, probablement en 2024. Une étude pour végétaliser la place de la Liberté va être également lancée en 2023.


Les élèves de l’école Prévert avaient réalisé une maquette de leur école idéale

Les enfants avaient imaginé leur école idéale
Sur les 7 groupes scolaires de Lons, 2 ont bénéficié d’un réaménagement des cours. “ Nous avons fait une esquisse sur l’ensemble des écoles. L’école Richebourg était prioritaire car elle détient la plus petite surface au regard du nombre d’enfants, précise Geoffrey Visi, conseiller municipal délégué au cadre de vie. Le groupe scolaire Prévert a été dynamique dans la démarche. Les enfants avaient imaginé leur cour d’école idéale. ”

La cour était accaparée par les garçons jouant au foot
“ Quatre classes ont travaillé avec une paysagiste du CAUE (conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement), raconte Jérôme Poux-Berthe, directeur de l’école élémentaire Prévert. Nous avions demandé aux enfants d’imaginer leur cour, sans limite. Une grande partie de leurs propositions a été retenue. ”Les enfants avaient demandé un endroit où se reposer. Une grande table a été installée. Le nouveau bac à sable, contrairement à l’ancien, permettra de pratiquer le saut en longueur. “ Le terrain de foot se situait au milieu de la cour. Les garçons de CM se l’accaparaient ”, se rappelle le directeur. Désormais, un city-stade prendra place sur un côté de la cour.
La Voix du Nord | 29.01.2023
Avesnois : réduire la facture énergétique, quatre collèges rénovés pour 23 M€
La vice-présidente du conseil départemental, Marie Cieters, était de passage dans l'Avesnois. Pour effectuer un point d'étape sur les travaux de rénovation énergétique qui ont lieu actuellement dans quatre collèges, à Fourmies, Sains-du-Nord et Solre-le-Château. 
C’est un projet original dans la démarche : quatre collèges de l’Avesnois font actuellement l’objet de travaux de rénovation énergétique. Non pas chacun séparément, mais dans le cadre d’un marché public global. La vice-présidente en charge de l’éducation et des collèges du Département, Marie Cieters, était donc de passage, à Fourmies, cette semaine, pour suivre l’avancement des chantiers puisque ces établissements scolaires dépendent du conseil départemental qui est le propriétaire des murs – Il y en a 202 dans le Nord.Les quatre collèges concernés par ces aménagements, qui ont commencé l’été dernier et devraient s’achever l’année prochaine, sont : Joliot-Curie et Léo-Lagrange, à Fourmies ; Jean-Rostand, à Sains-du-Nord ; et du Solrézis à Solre-le-Château.Dans la pratique, ce sont des économies d’énergie qui sont visées. La facture des fluides des collèges et de 40 m€ pour le Département. Qui doivent faire passer l’étiquette de qualité énergétique de D à B. Pour ce faire, ce sont 23 M€ (19 pour le conseil départemental et 4 pour l’État) qui seront injectés – en moyenne cinq par établissement.

Contrat de performance
Ainsi, pour atteindre le but fixé, plusieurs interventions sont programmées dans les bâtiments qui datent des années 1970 : l’isolation extérieure, intérieure, des combles et des toitures-terrasses ; le changement des menuiseries ; la pose de robinets thermostatiques sur les radiateurs ; la mise en place de ventilations pour surveiller la qualité de l’air ; l’installation d’éclairages leds avec détection de présence ; etc. Quant aux matériaux utilisés pour les parements ou bardages, il s’agit de briques, de métal blanc, de fibre de béton, d’aluminium…
Le gain obtenu sur les consommations énergétiques sera de l’ordre de 40 à 60 % selon les collèges. Cela représente, pour les quatre établissements, une économie de 360 000 € annuels (gaz et électricité). C’est également 372 tonnes de dioxyde de carbone (CO2), à l’origine des gaz à effets de serre, en moins. Et ce n’est pas tout. C’est une seule entreprise qui gérera le dispositif de fonctionnement avec des objectifs à respecter dans un contrat de performance.

Pas de fermeture
Le maire de Fourmies, Mickaël Hiraux, a précisé que ces travaux pérennisaient l’avenir des collèges : “ Quand j’ai été élu, en 2014, le collège Joliot-Curie était sur la sellette. Il n’en est plus rien aujourd’hui. Les investissements du Département prouvent qu’ils resteront ouverts pour accueillir les élèves. ” Il existe un autre collège public dans la ville, celui de la cité scolaire Camille-Claudel ; et un autre privé, à l’institution saint-Pierre.
Le Progrès | 29.01.2023
Travaux de remplacement des conduites d'eau potable à Dampierre
En ce début d'année 2023, le Syndicat intercommunal des eaux de Dampierre poursuit ses travaux de renouvellement des conduites de distribution d'eau potable les plus anciennes.
Sous la surveillance du bureau d’études Verdi Ingénierie de Dole, la dernière tranche de son programme de travaux 2022-2023 va débuter chemin de la Plaine puis rue de la Vierge à Dampierre, où les tuyaux datant de 1935 vont être remplacés par une conduite en fonte ductile d’un diamètre supérieur à l’actuelle.

Le chantier sera réalisé par l’entreprise Lartot TP de Torpes, il permettra ainsi d’améliorer la défense incendie sur le secteur.

Les travaux se termineront au printemps par le remplacement de la conduite passant sous la voie SNCF au niveau de la rue du Grand-Verger à Dampierre.
L'Est Républicain | 25.01.2023
Une étude en cours pour localiser les points dangereux du village de Ferrières-les-Bois
Mise sécurité routière et piétonne de la traversée du village.
Les conditions étant devenues plus favorables, c’est avec plaisir que le maire Christian Tournier, entouré du conseil municipal, a réuni les habitants de la commune pour la traditionnelle cérémonie des vœux, en présence de Laurent Croizier, député de la première circonscription du Doubs.

Il a évoqué la sobriété énergétique suite aux questions de quelques Ferriènois et Ferriènoises : “ La commune a fait le choix de diminuer l’éclairage public dont l’installation complète est en led, Il est abaissé de 70 %, de 23 h à 5 h du matin, ce qui permet de ne pas mettre le village dans le noir. ”

Les écoliers à Corcelles-Ferrières et Lavernay
L’ensemble du bâtiment de la mairie va se libérer : “ La carte scolaire étant remodelée, les élèves de la commune iront à la rentrée prochaine à Corcelles-Ferrières pour la maternelle et à Lavernay pour les primaires. Depuis 2022, des travaux importants ont été étudiés pour une rénovation totale avec la remise aux normes pour l’isolation, la création d’une salle de réunion et de deux logements locatifs à l’étage. Le démarrage des travaux est prévu dans le courant du deuxième semestre de cette année. ”

Concernant la sécurisation du village, “ une étude est en cours avec des comptages pour appréhender les points critiques. Des dispositifs provisoires seront installés dans le courant de l’année à titre de test. ”

Pour terminer, Christian Tournier a souhaité saluer l’engagement de son prédécesseur : “ Alain Régnier, derrière toi, j’ai repris la mairie de Ferrières-les-Bois. Je tiens à saluer ton engagement au service de la commune durant plus de 30 ans de 1973 à 2014. ” Alain Régnier a reçu un diplôme de maire honoraire.
L'Est Républicain | 18.01.2023
Roi de Rome - Paquey : la première tranche des travaux engagée à Marnay
Les travaux de l'ensemble place du Roi de Rome, rue Jean-Baptiste Brusset et Paquey se sont taillé la part du lion lors de la première séance de l'année du Conseil, lundi 16 janvier.
Un chantier en quatre phases pour un budget global de 1 073 000 euros. La première tranche (290 000 euros) débutera cette année. Il s'agira de l'aménagement de la voirie entre la rue Pourny et le bas du cimetière, de travaux sur le dispositif des eaux pluviales et l'enfouissement des lignes électriques. La commune demandera des financements : État, Département et Région. La reconstruction du mur du cimetière fait partie de la globalité du projet, mais est intégrée à un budget distinct voté pour une enveloppe de 85 000 euros.

Dans l'attente du vote du budget, au plus tôt à la fin du premier trimestre, le Conseil a donné son feu vert à des autorisations budgétaires pour un montant de 216 801 euros, soit 25 % de l'enveloppe globale des investissements, ce qui est la règle en la matière.

Les élus ont validé des travaux de voirie sur 300 mètres pour faciliter l'accès au centre équestre situé au lieu-dit La Corvée. Ce projet se situe dans le cadre de l'agrandissement du centre. Le budget de l'opération, 24 000 euros, sera pris en charge à 50 % par le centre équestre.

Enfin, le maire Vincent Ballot s'est félicité de la cérémonie de vœux qui a rassemblé 180 personnes à la salle Anne Frank le 6 janvier.
Construction21 | 17.01.2023 | Eric Larrey
Aménagement urbain et rythme du végétal
Face au réchauffement climatique et aux vagues d’inconfort thermique urbain de plus en plus fréquentes et longues, le recours à la végétalisation est largement considéré comme une solution des plus pertinentes. Il est urgent d’agir et les projets sont nombreux… encore faut-il composer avec le rythme du vivant.
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