VERDI | 22.11.2022
Réhabilitation et extension de l'hôtel des Postes de Metz
Édifice emblématique du patrimoine postal et fleuron architectural du quartier impérial. L'Hôtel se réinvente avec un projet architectural basé sur le lien intergénérationnel. Démarrage de la phase curage, désamiantage et déplombage, 18 000 m².
Équipe :
Ferrier Marchetti Studio (architecte mandataire), Atelier Grégoire André (architecte | Milieu Studio (Ingénierie d’éco-conception) | VERDI (Déconstruction, économie, TCE) | Studio Mango




France 3 | 20.11.2022
l'eau potable d'un village polluée par un herbicide dans l'Oise
La ressource en eau potable est impactée par des dépassements des métabolites du Chloridazone. La valeur moyenne est de 8 μg/l, au-dessus de la valeur sanitaire… Une instruction du ministère de la santé publiée le 15 juin 2022 a déterminé une valeur sanitaire transitoire de 3 μg/l d'eau.
Afin de trouver une solution viable et rapide face à l'interdiction de consommation d'eau prochaine à venir. Nous avons connecté en 4 mois, la commune sur une autre ressource non pollués avec 2 900 ml de canalisation.



La chloridazone est un pesticide qui a été utilisé principalement dans la culture des betteraves jusqu’en décembre 2020. L’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), chargée de l'évaluation des risques dans le domaine des denrées alimentaires, indique que la chloridazone ne présente aucun potentiel cancérigène ou mutagène pour l’Homme.
L’ARS Hauts-de-France recherche la chloridazone lors du contrôle sanitaire de l’eau du robinet depuis plus de 10 ans. Ce pesticide a été ponctuellement détecté dans tous les départements, en quantité très limitée et toujours inférieure à 0,1 microgramme par litre (μg/l). Il n’y a jamais eu d’alerte sanitaire en Hauts-de-France sur la chloridazone dans l’eau du robinet, ni de restriction de la consommation de l’eau pour cette raison.

Source : Agence Régionale de Santé Hauts-de-France
https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/metabolites-de-la-chloridazone-dans-leau-du-robinet-les-reponses-aux-questions-les-plus-frequentes
Nord Littoral | 19.11.2022
Comment le règlement sur la publicité va impacter les commerces
La communauté de communes du Sud Artois réfléchit à son règlement local de publicité intercommunal. Des règles qui vont bientôt impacter les commerces qui devront s'y conformer.

Les commerces auront un délai pour se mettre en conformité.


On distingue trois types de publicités : la publicité en elle-même, l’enseigne et la pré-enseigne. Certaines se trouvent au sol, sur les murs, le mobilier urbain ; d’autres sur la façade du commerce, en toiture, en drapeau ; et la dernière à quelques mètres de la boutique. Afin de « maîtriser » cette publicité et de lui donner un côté homogène, la communauté de communes du Sud Artois travaille sur son règlement local de publicité intercommunal. “ Si nous ne le faisons pas maintenant, un transfert automatique vers le règlement national se fera à partir du 1er janvier 2024 ”, annonce l’interco.


Une réunion publique était organisée à Bapaume, jeudi 10 novembre


Après une phase de diagnostic, le cabinet Verdi fait un constat : plus de 50 % des publicités sont des publicités locales, la majorité des commerces dépasse le nombre limite de publicités, il y a un manque d’harmonie, et beaucoup de publicités sont non-conformes.
La publicité se loge notamment dans les sept bourgs du territoire que sont Bapaume, Achiet-le-Grand, Bertincourt, Bucquoy, Croisilles, Hermies, Vaulx-Vraucourt et le long des grands axes. “ Ce sont des secteurs à enjeux. ”

Adopté dès l’été 2023
Les spécialistes ont également abordé les quatre premières grandes orientations avant la validation du règlement : limiter la publicité dans les zones rurales pour préserver les communes ; améliorer la qualité paysagère des entrées de ville des principaux bourgs ; harmoniser les pré-enseignes dérogatoires situées en dehors des agglomérations ; et renforcer l’attractivité des zones commerciales et économiques tout en ayant une meilleure intégration environnementale et paysagère de la publicité dans les projets urbains. Une règle sera également à suivre : l’extinction des enseignes lumineuses au plus tard 1h après la fermeture et au plus tôt 1h avant la reprise du magasin. Le territoire sera découpé en quatre zones.
Une enquête publique sera ouverte au premier semestre 2023, pour une mise en application du RLPI dès l’été. Le délai de mise en conformité pour les publicités et pré-enseignes est établi à deux ans, et six ans pour les enseignes.

“ C’est bien de travailler l’homogénéité ”

Marie-Noëlle Acquette détient la boutique Les Meubles Follens à Bapaume. Elle est aussi la présidente de l’union des commerçants et artisans de Bapaume. Elle est venue à la réunion publique de Bapaume, jeudi 10 novembre afin de “ faire le point ” sur cette future réglementation. “ C’est bien de travailler l’homogénéité. C’est clair qu’il y a nécessité dans certaines zones. Mais la question est de savoir si les gens sont au courant de ces règles. Ce règlement permettra à tout un chacun de se remettre dans le cadre. J’espère juste que ce règlement n’est pas trop restrictif, il faudra voir les critères. C’est aussi une bonne solution pour la sécurité routière. ”
Bordeaux Métropole | 16.11.2022
Les apports du végétal en ville
Dans le cadre du mécénat citoyen Jardiniers Mécènes de Bordeaux Métropole, le 16 novembre à 18h30, Éric Larrey, Directeur de l'Innovation, de VERDI donnait une conférence en direct, animée par François Durquety, pilote du projet Plantons 1 Million d'Arbres. Durée 45 minutes

Département de la Gironde | 14.11.2022
Démarche Participative pour la végétalisation
de la cour du Collège Albert Camus d'Eysines
Végétalisation de la cour, développer une démarche commune entre usagers, concepteurs et maitrise d'ouvrage. Cette démarche implique tous les acteurs du projet - collégiens, équipes pédagogiques et de co-veillance, équipes de maintenance et de gestion – qui se réunissent en ateliers pour co-concevoir et co-réaliser une cour…

VERDI | 08.11.2022
Retour en vidéo sur la construction du camp du Larzac
Après 4 ans de travaux, les équipes ont remis les clés du dernier bâtiment d'hébergement du cœur de régiment du général Castelnau.
Conception-Réalisation, Aménagement, Exploitation et Maintenance de la 13ème demi-brigade de la Légion étrangère sur le camp du Larzac
Maître d'ouvrage | Établissement du Service d'infrastructure de la Défense Bordeaux | Architectes, Moon Safari, bédrune architectes | Entreprise générale, Daudigeos, Delta Construction | Verdi ingenierie, Économie, TCE, VRD | OOk, paysage | EDF Optimal Solutions | Less is more.

Construction21 | 08.11.2022 | Eric Larrey
123 communes de la petite couronne : ICU et végétalisation
Avec près de 4,7 millions d’habitants, les trois départements de la première couronne forment un ensemble urbain très varié, tant en matière de densité d’habitants (de 400 à 27 400 hab./km2), que d’espaces végétalisés et arborés. Un terrain idéal pour la poursuite des réflexions sur les questions de densification et de végétalisation des milieux urbains.
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La Nouvelle République | 08.11.2022
21,8 km de canalisations acheminées grâce au train
Pour son chantier du siècle, entre Pontify et Taizé, le SEVT a tenu à être livré par le rail. Les premiers wagons sont arrivés et les chiffres donnent le vertige.
A l'échelle de la planète et du besoin brûlant de réduire nos émissions de gaz à effet de serre, cela peut paraître une goutte d'eau. Mais les petits ruisseaux font les grandes rivières. “ C'est bien de parler du réchauffement climatique, mais c'est encore mieux de traduire ces discours en actes, résume Bernard Gauffreteau, président du Syndicat d'eau du Val de Thouet (SEVT). C'est pourquoi nous avons tenu à être livrés grâce au fret ferroviaire. ”

Une commande qui reste exceptionnelle
Une livraison qui n'a rien d'anodin. Il s'agit en effet d'acheminer les 21,8 km de tuyaux qui relieront le château d'eau de Pontify (Assais-les-Jumeau) à l'usine de traitement des Coulées, à Taizé-Maulais (Plaine-et-Vallées). Une canalisation géante destinée à connecter plusieurs réseaux afin de sécuriser la distribution d'eau potable.
Ce chantier du siècle a démarré hier et doit s'achever, sauf mauvaise surprise, en mai 2023. Le coût total avoisine 8,5 millions d'euros, dont environ la moitié pour la fourniture des matériaux (fabrication et transports) et l'autre moitié pour les travaux d'installation (divisés en trois lots et trois entreprises). “ On a préféré scinder le marché pour optimiser les coûts ”, note Bernard Gauffreteau.


Ce premier convoi, long d'environ 600 m, est arrivé vendredi aux Carrières Roy à La Gouraudière (Mauzé-Thouarsais) avec 1 735 tuyaux de six mètres, soit un total de 10,4 km de canalisations.


Parti mardi 1er novembre à midi directement depuis l'usine Saint-Gobain PAM Canalisations à Pont-à-Mousson (Lorraine), le train spécial est arrivé vendredi 4 novembre à 5 h du matin aux Carrières Roy, sur le site de la Gouraudière, à Mauzé-Thouarsais. “ La gare de Thouars n'était pas adaptée, notamment pour le déchargement, indique Benoît Niederberger, du groupe Saint-Gobain. Pour nous, c'est une commande qui reste exceptionnelle. On n'en a pas plus de quatre ou cinq par an d'un tel volume. ” Hier, le groupe Brangeon Fers a débuté les trois jours de déchargement des tuyaux sur des camions, afin de les livrer sur les trois plates-formes de stockage, réparties au long du parcours.

Un combat du rail encore loin d'être gagné
Les chiffres de cette vaste opération ont de quoi donner le tournis. Ce premier convoi (un second est prévu en janvier 2023), composé de 25 wagons et long d'environ 600 m, a en effet transporté pas moins de 1 735 portions de canalisations de 6 m chacune (et environ 500 kg), soit un total de 10,4 km (et plus de 867 tonnes). “ Les tuyaux sont en fonte ductile, une fonte de haute qualité qui a subi un traitement chimique au magnésium pour la rendre plus souple et moins cassante. C'est un matériau robuste, d'une durée de vie de 100 ans ”, détaille Benoît Niederberger.
“ ll aurait fallu 38 à 40 camions pour transporter tout ça par la route ”, indique Bruno Choisy, directeur exécutif d'Écorail Transport, qui a pris en charge la fin du parcours pour le compte de Fret SNCF. Un bel effort à souligner, mais le combat du rail contre la route est encore loin d'être gagné.