
actu.fr | 21.05.2021
La Com'com du Vexin Normand prend soin de ses voiries communales
À l'image de Villers-en-Vexin, la Com'com du Vexin Normand accompagne les communes pour la réhabilitation de leurs voiries. Cela représente 1,47 million d'euros en 2021.
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Le Moniteur | 16.04.2021
Colombes : Le stade Yves-du-Manoir se transforme pour les JO
Construit pour les Jeux olympiques de 1924, le stade départemental Yves-du-Manoir à Colombes, accueillera les épreuves de hockey sur gazon lors des JO de 2024.
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Le département des Hauts-de-Seine, maître d'ouvrage des équipements pérennes nécessaires au déroulement des compétitions, profite de cette opportunité pour réorganiser les 18 ha du site et améliorer l'offre aux usagers (scolaires, clubs, sportifs professionnels).
D'un montant de 80 M€ TTC, le programme de travaux comprend deux volets : la réhabilitation (en loi MOP) de la tribune historique de 1 000 places avec l'Atelier Dutrevis et le bureau d'études OTE comme maîtres d'œuvre ; et la construction de deux bâtiments de 7 500 m2 au total ainsi que la création de nombreux terrains de sport et d'un anneau d'athlétisme dans le cadre d'un marché global de performance attribué au groupement Léon Grosse. Celui-ci inclut Celnikier & Grabli Architectes, Olgga Architectes, MC Paysage, les BET Verdi et Eléments, et l'entreprise Cram pour l'exploitation et la maintenance des installations (sept ans).
« Les deux bâtiments abriteront notamment des vestiaires, les uns desservant les quatre terrains de football et les trois de rugby, les autres les deux terrains de hockey sur gazon [de couleur bleue, NDLR] et des tribunes, de 300 places pour le rugby et de 1 000 places pour le hockey. Olgga a conçu le bâtiment B et notre agence le A, qui comprendra aussi des bureaux pour la Fédération française de hockey », décrit l'architecte Jacob Celnikier.
Socle en béton inondable.
Le site étant classé en zone rouge du Plan de prévention du risque inondation (PPRi), le cahier des charges prévoyait des bâtiments sur pilotis avec les vestiaires à l'étage. « Cette option-là ne nous a pas paru très fonctionnelle au regard de la forte fréquentation des équipements par les scolaires. Nous avons donc proposé, après nous être assurés que c'était possible, d'installer les vestiaires en rez-de-chaussée, dans un socle en béton qui ne sera pas détérioré en cas de montée exceptionnelle des eaux. Le maître d'ouvrage a accepté », explique l'architecte. A partir du premier niveau, la structure des bâtiments sera en bois.
Les architectes et la paysagiste, Muriel Consigny, ont aussi recomposé la plaine des sports. « Nous avons veillé à ce que tous les terrains soient orientés nord-sud et les avons regroupés au milieu du site afin de créer une lisière paysagère autour du stade, et, par là même, retrouver un peu de biodiversité. Car les terrains, occupés entre huit et dix heures par jour, devront être synthétiques », poursuit Jacob Celnikier. Le permis de construire vient d'être déposé. Les travaux démarreront en 2022 après une phase de démolition, en vue d'une livraison fin 2023.
D'un montant de 80 M€ TTC, le programme de travaux comprend deux volets : la réhabilitation (en loi MOP) de la tribune historique de 1 000 places avec l'Atelier Dutrevis et le bureau d'études OTE comme maîtres d'œuvre ; et la construction de deux bâtiments de 7 500 m2 au total ainsi que la création de nombreux terrains de sport et d'un anneau d'athlétisme dans le cadre d'un marché global de performance attribué au groupement Léon Grosse. Celui-ci inclut Celnikier & Grabli Architectes, Olgga Architectes, MC Paysage, les BET Verdi et Eléments, et l'entreprise Cram pour l'exploitation et la maintenance des installations (sept ans).
« Les deux bâtiments abriteront notamment des vestiaires, les uns desservant les quatre terrains de football et les trois de rugby, les autres les deux terrains de hockey sur gazon [de couleur bleue, NDLR] et des tribunes, de 300 places pour le rugby et de 1 000 places pour le hockey. Olgga a conçu le bâtiment B et notre agence le A, qui comprendra aussi des bureaux pour la Fédération française de hockey », décrit l'architecte Jacob Celnikier.
Socle en béton inondable.
Le site étant classé en zone rouge du Plan de prévention du risque inondation (PPRi), le cahier des charges prévoyait des bâtiments sur pilotis avec les vestiaires à l'étage. « Cette option-là ne nous a pas paru très fonctionnelle au regard de la forte fréquentation des équipements par les scolaires. Nous avons donc proposé, après nous être assurés que c'était possible, d'installer les vestiaires en rez-de-chaussée, dans un socle en béton qui ne sera pas détérioré en cas de montée exceptionnelle des eaux. Le maître d'ouvrage a accepté », explique l'architecte. A partir du premier niveau, la structure des bâtiments sera en bois.
Les architectes et la paysagiste, Muriel Consigny, ont aussi recomposé la plaine des sports. « Nous avons veillé à ce que tous les terrains soient orientés nord-sud et les avons regroupés au milieu du site afin de créer une lisière paysagère autour du stade, et, par là même, retrouver un peu de biodiversité. Car les terrains, occupés entre huit et dix heures par jour, devront être synthétiques », poursuit Jacob Celnikier. Le permis de construire vient d'être déposé. Les travaux démarreront en 2022 après une phase de démolition, en vue d'une livraison fin 2023.

Echo de la Lys | 15.04.2021
Les travaux du parvis de l'église et du presbytère sont terminés
Trois phases étaient programmées. La première concernait le parvis de l'église. La deuxième était la rénovation des abords de l'église. Enfin, la troisième s'est attardée sur le parvis du presbytère.
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Echo de la Lys | 15.04.2021 | Camille Janik
Les ouvriers avaient démarré mi-novembre. Les travaux ont été réceptionnés par Franck Hannebicq, maire, ce mercredi 14 avril.
Trois phases étaient programmées. La première concernait le parvis de l'église. La deuxième était la rénovation des abords de l'église. Enfin, la troisième s'est attardée sur le parvis du presbytère.
Désormais, des pavés plats sont installés sur le parvis de l'église, un jardin à la française a été planté devant le presbytère, des bancs et des massifs ont pris place autour de l'édifice religieux, le stationnement est désormais interdit devant l'église au niveau de la route départementale. Enfin, la maison en face de l'école Sainte-Thérèse a été rachetée par la Municipalité pour l'euro symbolique. Elle a été détruite, pour aérer le secteur et une grille a été posée.

Mise en valeur
“ Les travaux ont été réalisés par la société Colas et par Idverde pour les espaces verts. Le cabinet Verdi est également intervenu. Nous avons obtenus 70 % de subventions ” explique le maire. Avec des financements du Département, de l'Agglomération et de la Fédération départementale d'énergie (FDE), sur un montant total de 257 667,29 €HT.
“ Nous sommes ravis de ces travaux ça change tout le village et met en valeur notre centre-bourg. Nous n'avons que des bons retours de la population. Certains viennent même s'y promener le dimanche. Ce n'est que du positif ” conclut Franck Hannebicq.
Les ouvriers avaient démarré mi-novembre. Les travaux ont été réceptionnés par Franck Hannebicq, maire, ce mercredi 14 avril.
Trois phases étaient programmées. La première concernait le parvis de l'église. La deuxième était la rénovation des abords de l'église. Enfin, la troisième s'est attardée sur le parvis du presbytère.
Désormais, des pavés plats sont installés sur le parvis de l'église, un jardin à la française a été planté devant le presbytère, des bancs et des massifs ont pris place autour de l'édifice religieux, le stationnement est désormais interdit devant l'église au niveau de la route départementale. Enfin, la maison en face de l'école Sainte-Thérèse a été rachetée par la Municipalité pour l'euro symbolique. Elle a été détruite, pour aérer le secteur et une grille a été posée.

Mise en valeur
“ Les travaux ont été réalisés par la société Colas et par Idverde pour les espaces verts. Le cabinet Verdi est également intervenu. Nous avons obtenus 70 % de subventions ” explique le maire. Avec des financements du Département, de l'Agglomération et de la Fédération départementale d'énergie (FDE), sur un montant total de 257 667,29 €HT.
“ Nous sommes ravis de ces travaux ça change tout le village et met en valeur notre centre-bourg. Nous n'avons que des bons retours de la population. Certains viennent même s'y promener le dimanche. Ce n'est que du positif ” conclut Franck Hannebicq.

Le Moniteur | 14.04.2021
L'Etat donne le feu vert pour les travaux de la première tranche du canal Seine-Nord
L’arrêté valant autorisation environnementale signé lundi 12 avril porte sur la partie sud du canal, qui s’étend sur 18,6 km dans le département de l’Oise, depuis la confluence (Compiègne) entre l’Oise et l’Aisne jusqu’à Passel.
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Les travaux de la première tranche du canal Seine-Nord, projet pharaonique qui doit relier la Seine au réseau fluvial de l'Europe du Nord d'ici à 2028, vont pouvoir commencer, dans l'Oise, a indiqué mercredi 14 avril la préfecture qui a donné son feu vert environnemental.
L’arrêté préfectoral de l'Oise valant autorisation environnementale signé le 12 avril "porte sur le secteur 1, la partie sud du canal Seine-Nord Europe, qui s’étend sur 18,6 km dans le département de l’Oise, depuis la confluence (Compiègne) entre l’Oise et l’Aisne jusqu’à Passel", précise la préfecture de région dans un communiqué.
"Au terme de 2 ans d’instruction, cette autorisation environnementale permet ainsi d’autoriser le lancement des travaux du canal Seine-Nord Europe", ajoute-t-elle, insistant sur deux avis favorables déjà rendus: celui de la commission d'enquête publique à l’automne 2020 et celui du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques en mars 2021.
Vont pouvoir débuter notamment "la modification du lit de la rivière Oise et les aménagements environnementaux prévus au titre des mesures de réduction et de compensation".
Début des travaux au printemps
Les travaux "s’engageront progressivement à partir de ce printemps (...) avant des travaux plus conséquents à partir de l’automne", affirme dans un communiqué la Société du canal Seine-Nord Europe, maître d’ouvrage. Ils consisteront en l’aménagement de l’Oise puis d’un nouveau canal entre Compiègne et Ribécourt-Dreslincourt, en l’élargissement du canal actuel jusque Passel, en la construction d’une écluse, de 3 quais de transbordement et de 7 franchissements routiers.
"Sur ce secteur de 18,6 kilomètres dans l’Oise, les aménagements environnementaux comprennent 391 ha de sites écologiques créés et restaurés. Le chantier de ces aménagements a d’ores et déjà commencé" depuis 2017, précise l'établissement public local, dont le conseil de surveillance est présidé par Xavier Bertrand (ex-LR), président du conseil régional des Hauts-de-France.
Dans un rapport publié le 16 juin 2020, la Cour des comptes européenne s'était émue que les coûts du projet aient "pratiquement triplé", pour s'établir à 4,97 milliards d'euros, l'un des auteurs estimant que le projet "ne sera pas mené à bien dans son intégralité d'ici à 2030" et que "le promoteur a retenu des hypothèses de trafic trop optimistes".
Pensé depuis les années 1980, le canal à grand gabarit doit relier l’Oise au canal Dunkerque-Escaut (Nord), soit 107 km pour 4,5 m de profondeur, et devrait pouvoir accueillir des bateaux "pouvant contenir 4 400 tonnes de marchandises", selon la société du canal.
L’arrêté préfectoral de l'Oise valant autorisation environnementale signé le 12 avril "porte sur le secteur 1, la partie sud du canal Seine-Nord Europe, qui s’étend sur 18,6 km dans le département de l’Oise, depuis la confluence (Compiègne) entre l’Oise et l’Aisne jusqu’à Passel", précise la préfecture de région dans un communiqué.
"Au terme de 2 ans d’instruction, cette autorisation environnementale permet ainsi d’autoriser le lancement des travaux du canal Seine-Nord Europe", ajoute-t-elle, insistant sur deux avis favorables déjà rendus: celui de la commission d'enquête publique à l’automne 2020 et celui du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques en mars 2021.
Vont pouvoir débuter notamment "la modification du lit de la rivière Oise et les aménagements environnementaux prévus au titre des mesures de réduction et de compensation".
Début des travaux au printemps
Les travaux "s’engageront progressivement à partir de ce printemps (...) avant des travaux plus conséquents à partir de l’automne", affirme dans un communiqué la Société du canal Seine-Nord Europe, maître d’ouvrage. Ils consisteront en l’aménagement de l’Oise puis d’un nouveau canal entre Compiègne et Ribécourt-Dreslincourt, en l’élargissement du canal actuel jusque Passel, en la construction d’une écluse, de 3 quais de transbordement et de 7 franchissements routiers.
"Sur ce secteur de 18,6 kilomètres dans l’Oise, les aménagements environnementaux comprennent 391 ha de sites écologiques créés et restaurés. Le chantier de ces aménagements a d’ores et déjà commencé" depuis 2017, précise l'établissement public local, dont le conseil de surveillance est présidé par Xavier Bertrand (ex-LR), président du conseil régional des Hauts-de-France.
Dans un rapport publié le 16 juin 2020, la Cour des comptes européenne s'était émue que les coûts du projet aient "pratiquement triplé", pour s'établir à 4,97 milliards d'euros, l'un des auteurs estimant que le projet "ne sera pas mené à bien dans son intégralité d'ici à 2030" et que "le promoteur a retenu des hypothèses de trafic trop optimistes".
Pensé depuis les années 1980, le canal à grand gabarit doit relier l’Oise au canal Dunkerque-Escaut (Nord), soit 107 km pour 4,5 m de profondeur, et devrait pouvoir accueillir des bateaux "pouvant contenir 4 400 tonnes de marchandises", selon la société du canal.

La Voix du Nord | 21.03.2021
Lille : et voici le palais Rameau dans sa nouvelle robe verte
Pôle de trois écoles d’ingénieurs de la Catho, Junia se prépare à rénover le palais construit en 1879 grâce à l’argent légué par Charles Rameau à la ville. Destiné à accueillir des expositions horticoles, le bâtiment doit rouvrir en septembre 2023 sous la forme d’un tiers-lieu voué à l’agriculture urbaine. Un cercle vertueux.
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Un site dédié à l’alimentation de demain
Que va devenir le palais Rameau ? Junia (HEI, ISEN et ISA) va y aménager un centre de recherche sur l’agriculture urbaine. Pour ses étudiants. Mais pas seulement.

Les architectes lillois de l’Atelier 9.81 ont imaginé un projet de réaménagement qui va plus loin. « Notre objectif est de réaliser un lieu de recherche et de production agricole en ville, détaille Thierry Occre, directeur général de Junia. Comment produire et se nourrir en ville ? C’est le défi que nous allons relever avec les étudiants, les chercheurs et les entreprises. » Un tech-shop vert sera par ailleurs accessible au public, de même que les jardins du palais. « On pourra aussi s’y restaurer. »

Le budget de rénovation du bâtiment, qui en a bien besoin, permettra au palais financé par Charles Rameau de retrouver ses bulbes originels.
Deux ans de travaux pour 20 millions d’euros
La surface totale à rénover s’établit à 3 500 m2. Il faut y ajouter 6 000 m2 de jardins. Les travaux auraient dû déjà être bien avancés mais l’épine dans le pied plantée par la polémique de la destruction de la chapelle Saint-Joseph, où Junia doit bâtir son futur campus, a retardé le coup d’envoi du chantier.
« On devrait être prêt dans quelques mois », avance prudemment Jérôme Crunelle, le directeur de l’immobilier du groupe, qui va investir 20 millions d’euros, soutenus par des subventions, de l’Europe notamment. « Le palais va retrouver l’image qu’il avait lors de sa construction avec des bulbes au sommet », ajoute Thierry Occre.

Les scientifiques et les étudiants seront présents mais le public sera aussi le bienvenu.
Junia envisage de passer de 4 900 à 7 500 étudiants
Une livraison pour la rentrée 2023. Junia compte bien ouvrir le nouveau palais Rameau pour la rentrée 2023. « Mais nous espérons pouvoir inaugurer la maison du gardien un an plus tôt », indique Jérôme Crunelle. Le bail s’inscrit dans la durée sous la forme d’une location de 25 ans par la mairie. L’ouverture du bâtiment du boulevard Vauban s’intègre dans le projet global de Junia et de son nouveau campus de l’îlot Colson : 19 000 m2 de bâtiments (pour 69 M €) dont le terme final, lui, est invisagé à l’horizon 2025.
Un investissement pour le développement
Les trois écoles de Junia comptent actuellement 4 900 étudiants. Ils devraient être 7 500 en 2024 sur une surface qui sera passée de 29 000 à 43 000 m2 dont 25 000 flambant neufs. Conclusion de Thierry Occre : « Le palais Rameau en sera notre vaisseau amiral. »
Que va devenir le palais Rameau ? Junia (HEI, ISEN et ISA) va y aménager un centre de recherche sur l’agriculture urbaine. Pour ses étudiants. Mais pas seulement.

Les architectes lillois de l’Atelier 9.81 ont imaginé un projet de réaménagement qui va plus loin. « Notre objectif est de réaliser un lieu de recherche et de production agricole en ville, détaille Thierry Occre, directeur général de Junia. Comment produire et se nourrir en ville ? C’est le défi que nous allons relever avec les étudiants, les chercheurs et les entreprises. » Un tech-shop vert sera par ailleurs accessible au public, de même que les jardins du palais. « On pourra aussi s’y restaurer. »

Le budget de rénovation du bâtiment, qui en a bien besoin, permettra au palais financé par Charles Rameau de retrouver ses bulbes originels.
Deux ans de travaux pour 20 millions d’euros
La surface totale à rénover s’établit à 3 500 m2. Il faut y ajouter 6 000 m2 de jardins. Les travaux auraient dû déjà être bien avancés mais l’épine dans le pied plantée par la polémique de la destruction de la chapelle Saint-Joseph, où Junia doit bâtir son futur campus, a retardé le coup d’envoi du chantier.
« On devrait être prêt dans quelques mois », avance prudemment Jérôme Crunelle, le directeur de l’immobilier du groupe, qui va investir 20 millions d’euros, soutenus par des subventions, de l’Europe notamment. « Le palais va retrouver l’image qu’il avait lors de sa construction avec des bulbes au sommet », ajoute Thierry Occre.

Les scientifiques et les étudiants seront présents mais le public sera aussi le bienvenu.
Junia envisage de passer de 4 900 à 7 500 étudiants
Une livraison pour la rentrée 2023. Junia compte bien ouvrir le nouveau palais Rameau pour la rentrée 2023. « Mais nous espérons pouvoir inaugurer la maison du gardien un an plus tôt », indique Jérôme Crunelle. Le bail s’inscrit dans la durée sous la forme d’une location de 25 ans par la mairie. L’ouverture du bâtiment du boulevard Vauban s’intègre dans le projet global de Junia et de son nouveau campus de l’îlot Colson : 19 000 m2 de bâtiments (pour 69 M €) dont le terme final, lui, est invisagé à l’horizon 2025.
Un investissement pour le développement
Les trois écoles de Junia comptent actuellement 4 900 étudiants. Ils devraient être 7 500 en 2024 sur une surface qui sera passée de 29 000 à 43 000 m2 dont 25 000 flambant neufs. Conclusion de Thierry Occre : « Le palais Rameau en sera notre vaisseau amiral. »

Le Moniteur | 16.03.2021
Pritzker 2021 : la consécration d’Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal
Félicitations à Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal pour cette reconnaissance du plus juste usage des moyens au profit d’un maximum de résultats.
VERDI est très fier d'avoir participé à deux magnifiques projets avec eux : la transformation des bâtiments G, H, I, Grand Parc, 530 logements sociaux (avec Frédéric Druot et Christophe Hutin) à Bordeaux, et le FRAC Nord-Pas de Calais à Dunkerque.
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VERDI est très fier d'avoir participé à deux magnifiques projets avec eux : la transformation des bâtiments G, H, I, Grand Parc, 530 logements sociaux (avec Frédéric Druot et Christophe Hutin) à Bordeaux, et le FRAC Nord-Pas de Calais à Dunkerque.

La chronique du BTP | 16.03.2021
Une installation d’autoconsommation collective sur la base 11/19
Démonstrateur REV3 et acteur engagé dans la transition environnementale et énergétique, la Communauté d’Agglomération de Lens Liévin (CALL), accompagnée du Cd2e, fait de la transition énergétique l’une de ses priorités.
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Le Moniteur | 12.03.2021
Lille : L'Etat alloue 40 M€ pour rénover l'université
Un joli cadeau de Noël. Le 21 décembre dernier, au titre du plan de relance, l'université de Lille (Nord) a reçu 40 M€ de l'Etat pour moderniser ses bâtiments.
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Une manne bienvenue pour rénover un patrimoine des années 1960-1970 très énergivore, pour lequel 97 M€ de travaux avaient été chiffrés. “ Cela nous a permis de débloquer des projets que nous n'arrivions pas à sortir faute de financement ”, se réjouit Guillaume Saraf, directeur général immobilier de l'université de Lille.
Estimé à 18 M€, le premier chantier se focalisera sur la faculté de pharmacie, passoire thermique la plus trouée du parc universitaire. Au menu: isolation par l'extérieur, végétalisation de la toiture, pose de panneaux photovoltaïques... Une opération qui devrait réduire de 24 % la consommation électrique. Le marché en conception-réalisation, qui comprend aussi l'accessibilité aux PMR et une refonte de la ventilation, a été lancé le 26 février.
Deuxième grand projet retenu par l'Etat : le déménagement sur le campus de la Cité scientifique, à Villeneuve-d'Ascq, de trois départements vétustes de !'IUT A, isolés et éloignés des transports en commun. Un marché public global de performance a été lancé pour un mix de restructuration et de construction neuve qui permettra, d'ici à la rentrée 2023, d'accueillir 2 500 étudiants dans des salles de cours et des laboratoires de recherche dernier cri. Sur les 22 M€ que coûtera l'opération, 17 M€ seront financés par le plan de relance.

La faculté de pharmacie de Lille profitera de 18 M€ du plan de relance pour sa réhabilitation en conception-réalisation.
Les 5 M€ restants seront affectés à la rénovation thermique de deux bâtiments du secteur chimie, également sur le campus de la Cité scientifique. Bouclé en 2020, ce projet à 14 M€, attribué à l'agence tourquennoise Relief Architecture et à HDM Ingénierie, a été amélioré grâce au plan de relance avec davantage de réseaux et de ventilation ainsi qu'une modernisation high-tech des labos de recherche. L'appel d'offres pour les travaux aura lieu cet été.
Economie annuelle de 500000 euros.
Pourquoi ces trois chantiers ont-ils été retenus par l'Etat ? D'une part parce qu'ils pouvaient être lancés à très court terme, répondant ainsi au premier impératif du plan de relance: juguler la crise annoncée du secteur du bâtiment. D'autre part car ils obéissaient à l'exigence de rénovation énergétique du plan. L'ensemble de ces travaux devrait en effet générer une économie de 500 000 euros par an.
Pour gérer ces millions, l'université de Lille peut compter sur un service immobilier en pleine croissance. Sur les 300 personnes en charge de l'exploitation des bâtiments, 30 sont dédiées à l'immobilier. Et les recrutements continuent. “ La gestion d'un parc de 650 000 m2 nous oblige à être plus autonomes ”, résume Guillaume Saraf. La fusion en janvier 2018 des universités Lille I, II et III s'était accompagnée d'une reprise en main de la maîtrise d'ouvrage, jusque-là externalisée.
Estimé à 18 M€, le premier chantier se focalisera sur la faculté de pharmacie, passoire thermique la plus trouée du parc universitaire. Au menu: isolation par l'extérieur, végétalisation de la toiture, pose de panneaux photovoltaïques... Une opération qui devrait réduire de 24 % la consommation électrique. Le marché en conception-réalisation, qui comprend aussi l'accessibilité aux PMR et une refonte de la ventilation, a été lancé le 26 février.
Deuxième grand projet retenu par l'Etat : le déménagement sur le campus de la Cité scientifique, à Villeneuve-d'Ascq, de trois départements vétustes de !'IUT A, isolés et éloignés des transports en commun. Un marché public global de performance a été lancé pour un mix de restructuration et de construction neuve qui permettra, d'ici à la rentrée 2023, d'accueillir 2 500 étudiants dans des salles de cours et des laboratoires de recherche dernier cri. Sur les 22 M€ que coûtera l'opération, 17 M€ seront financés par le plan de relance.

La faculté de pharmacie de Lille profitera de 18 M€ du plan de relance pour sa réhabilitation en conception-réalisation.
Les 5 M€ restants seront affectés à la rénovation thermique de deux bâtiments du secteur chimie, également sur le campus de la Cité scientifique. Bouclé en 2020, ce projet à 14 M€, attribué à l'agence tourquennoise Relief Architecture et à HDM Ingénierie, a été amélioré grâce au plan de relance avec davantage de réseaux et de ventilation ainsi qu'une modernisation high-tech des labos de recherche. L'appel d'offres pour les travaux aura lieu cet été.
Economie annuelle de 500000 euros.
Pourquoi ces trois chantiers ont-ils été retenus par l'Etat ? D'une part parce qu'ils pouvaient être lancés à très court terme, répondant ainsi au premier impératif du plan de relance: juguler la crise annoncée du secteur du bâtiment. D'autre part car ils obéissaient à l'exigence de rénovation énergétique du plan. L'ensemble de ces travaux devrait en effet générer une économie de 500 000 euros par an.
Pour gérer ces millions, l'université de Lille peut compter sur un service immobilier en pleine croissance. Sur les 300 personnes en charge de l'exploitation des bâtiments, 30 sont dédiées à l'immobilier. Et les recrutements continuent. “ La gestion d'un parc de 650 000 m2 nous oblige à être plus autonomes ”, résume Guillaume Saraf. La fusion en janvier 2018 des universités Lille I, II et III s'était accompagnée d'une reprise en main de la maîtrise d'ouvrage, jusque-là externalisée.