
Midi Libre | 21.05.2022
La municipalité envisage
de futures pénuries d’eau
de futures pénuries d’eau
Ordre du jour important pour ce conseil municipal du lundi 15 mai, présidé par Pierre Carrière, premier adjoint, en l’absence du maire, Jean-Pierre Pugens.
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Les deux premiers points étaient conséquents car ils concernaient deux thèmes majeurs : l’eau et le nouveau PLU. Jérôme Dubost, directeur de l’Eau à la CCVH, est intervenu longuement pour aborder deux questions, la problématique de la ressource sur le secteur et la fin de la DSP (Délégation de Service Public) concernant l’eau et l’assainissement en 2024.
Vers une révision du plan local d’urbanisme ?
Sur le premier point, il est revenu sur la nécessité d’accroître la production actuelle qui s’avérera insuffisante compte tenu de l’accroissement de la population et du dérèglement climatique encore sensible cette année dans notre région. Les niveaux sont au plus bas.
La mise en service du forage du Redonel sur Saint-Gély espérée en 2026 sera une solution viable car elle doublera la capacité du secteur. En attendant, d’autres forages sont à l’étude sur les communes de Puéchabon, La Boissière et Argelliers mais nécessiteraient de lourds travaux tant au niveau du forage que des acheminements possibles dans les communes.
D’autre part, la DSP confiée à la Saur prend fin en 2024. La CCVH qui est l’exploitant souhaite que les communes concernées se positionnent avant juillet 2023 pour une continuation en DSP élargie à d’autres communes ou sous forme de régie confiée à la CCVH.
Jérôme Dubost a largement exposé les avantages et inconvénients des différents scénarios. La décision sera prise en commission de la CCVH et n’influera en rien sur le coût de l’eau pour les usagers déjà fixé.
L’adjointe à l’urbanisme Frédérique Tufféry a ensuite évoqué le PLU (Plan Local d’Urbanisme). Une procédure de révision de celui-ci a été confiée au Cabinet d’études Verdi qui avait délégué François Clauzon pour une présentation détaillée du PADD (Plan d’Aménagement et de Développement Durable) dans lequel doit s’inscrire le PLU.
En lien avec le diagnostic qui a permis de mettre en exergue les atouts et faiblesses ainsi que les besoins et enjeux de développement du territoire communal, la stratégie communale à l’horizon 2032 s’articulera autour de 3 axes : développement urbain maîtrisé et équilibré, renforcement de l’attractivité du territoire et mise de l’environnement au cœur du développement.
Vers une révision du plan local d’urbanisme ?
Sur le premier point, il est revenu sur la nécessité d’accroître la production actuelle qui s’avérera insuffisante compte tenu de l’accroissement de la population et du dérèglement climatique encore sensible cette année dans notre région. Les niveaux sont au plus bas.
La mise en service du forage du Redonel sur Saint-Gély espérée en 2026 sera une solution viable car elle doublera la capacité du secteur. En attendant, d’autres forages sont à l’étude sur les communes de Puéchabon, La Boissière et Argelliers mais nécessiteraient de lourds travaux tant au niveau du forage que des acheminements possibles dans les communes.
D’autre part, la DSP confiée à la Saur prend fin en 2024. La CCVH qui est l’exploitant souhaite que les communes concernées se positionnent avant juillet 2023 pour une continuation en DSP élargie à d’autres communes ou sous forme de régie confiée à la CCVH.
Jérôme Dubost a largement exposé les avantages et inconvénients des différents scénarios. La décision sera prise en commission de la CCVH et n’influera en rien sur le coût de l’eau pour les usagers déjà fixé.
L’adjointe à l’urbanisme Frédérique Tufféry a ensuite évoqué le PLU (Plan Local d’Urbanisme). Une procédure de révision de celui-ci a été confiée au Cabinet d’études Verdi qui avait délégué François Clauzon pour une présentation détaillée du PADD (Plan d’Aménagement et de Développement Durable) dans lequel doit s’inscrire le PLU.
En lien avec le diagnostic qui a permis de mettre en exergue les atouts et faiblesses ainsi que les besoins et enjeux de développement du territoire communal, la stratégie communale à l’horizon 2032 s’articulera autour de 3 axes : développement urbain maîtrisé et équilibré, renforcement de l’attractivité du territoire et mise de l’environnement au cœur du développement.

Courrier Picard | 20.05.2023
La station d’épuration
de Tilloloy sera inaugurée
à l’automne 2023
de Tilloloy sera inaugurée
à l’automne 2023
Le chantier de la station d'épuration de Tilloloy vient d'être définitivement livré en ce mois de mai 2023, après un an et demi de travaux et de tests. D'une capacité de 600 équivalents habitants, l'équipement a été bâti pour collecter les eaux usées de l'intégralité des habitations de la commune.
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Le projet est sur la table depuis “ au moins 10 ans ”, rappelle le maire, Gérard Comyn. Le chantier de la station d'épuration de Tilloye est enfin arrivé à son terme. L'équipement, actuellement toujours en rodage, tournait en réalité depuis décembre 2022. Mais quelques finitions manquaient encore.

Le chantier nécessite encore quelques finitions, notamment la pose de nouveaux portails, après le vol de ces derniers il y a environ une semaine.
Son coût : 650 000 euros
“ Le chantier à proprement parler a débuté en octobre 2011, mais il a été retardé à cause de plusieurs petites malfaçons. Et pendant un moment, les entreprises avaient du mal à trouver du personnel qualifié ”, précise Gérard Comyn au sujet des péripéties traversées. Un projet dont le coût s’élève à 650 000 euros (avec une aide de 250 000 euros de l’Agence de l'eau et de 100 000 euros de l'État). “ La station précédente, construite il y a 25 ans, n'a jamais fonctionné ”, précise encore l'élu. Il n'y avait donc jamais eu de station digne de ce nom jusqu'à présent à Tilloloy.
Les deux portails d’entrée volés
La commune s'assure ainsi une réelle autonomie en matière de traitement des eaux usées, puisque cette station dispose d'une capacité actuelle de 600 équivalents-habitants (EH), soit largement de quoi couvrir les besoins de Tilloloy et de ses 360 habitants. “ Le chantier a encore besoin de quelques reprises pour être réceptionné totalement ”, précise l'élu, qui prévoit une inauguration en octobre 2023. D'autant qu'il y a environ une semaine, le chantier a été victime de vols. Une contrariété qui oblige Gérard Comyn à réfléchir à la pose d'un système de sécurité sur le site. “ Sur ce terrain qui est non clos, un employé s’est rendu compte un dimanche matin qu'il manquait les deux portails d'entrée ”, rapporte le maire, qui doit encore déclarer ces vols aux assurances. Le préjudice étant élevé (ces deux pièces sont estimées à 2 000 euros chacune), une plainte a été déposée à la gendarmerie.
Dans cette zone, située en lisière de la ligne TGV et de la D133, à la croisée entre Tilloye et Beuvraignes, les vols ne sont en effet pas rares. “ La Nationale permet aux gens de faire des repérages et de se servir la nuit. Orange s'est fait voler des câbles en décembre 2022, rappelle l'édile. La station est située un peu en retrait de la route. Un camion peut donc facilement s’arrêter et se garer devant la nuit. On n'a aucune piste pour l'instant, mais on peut penser que ce sont des gens qui ont la possibilité de remonter ces portails derrière, car ces pièces-là valent cher. ”

Le chantier nécessite encore quelques finitions, notamment la pose de nouveaux portails, après le vol de ces derniers il y a environ une semaine.
Son coût : 650 000 euros
“ Le chantier à proprement parler a débuté en octobre 2011, mais il a été retardé à cause de plusieurs petites malfaçons. Et pendant un moment, les entreprises avaient du mal à trouver du personnel qualifié ”, précise Gérard Comyn au sujet des péripéties traversées. Un projet dont le coût s’élève à 650 000 euros (avec une aide de 250 000 euros de l’Agence de l'eau et de 100 000 euros de l'État). “ La station précédente, construite il y a 25 ans, n'a jamais fonctionné ”, précise encore l'élu. Il n'y avait donc jamais eu de station digne de ce nom jusqu'à présent à Tilloloy.
Les deux portails d’entrée volés
La commune s'assure ainsi une réelle autonomie en matière de traitement des eaux usées, puisque cette station dispose d'une capacité actuelle de 600 équivalents-habitants (EH), soit largement de quoi couvrir les besoins de Tilloloy et de ses 360 habitants. “ Le chantier a encore besoin de quelques reprises pour être réceptionné totalement ”, précise l'élu, qui prévoit une inauguration en octobre 2023. D'autant qu'il y a environ une semaine, le chantier a été victime de vols. Une contrariété qui oblige Gérard Comyn à réfléchir à la pose d'un système de sécurité sur le site. “ Sur ce terrain qui est non clos, un employé s’est rendu compte un dimanche matin qu'il manquait les deux portails d'entrée ”, rapporte le maire, qui doit encore déclarer ces vols aux assurances. Le préjudice étant élevé (ces deux pièces sont estimées à 2 000 euros chacune), une plainte a été déposée à la gendarmerie.
Dans cette zone, située en lisière de la ligne TGV et de la D133, à la croisée entre Tilloye et Beuvraignes, les vols ne sont en effet pas rares. “ La Nationale permet aux gens de faire des repérages et de se servir la nuit. Orange s'est fait voler des câbles en décembre 2022, rappelle l'édile. La station est située un peu en retrait de la route. Un camion peut donc facilement s’arrêter et se garer devant la nuit. On n'a aucune piste pour l'instant, mais on peut penser que ce sont des gens qui ont la possibilité de remonter ces portails derrière, car ces pièces-là valent cher. ”

Le Progrès | 14.05.2023
Saint-Lupicin : Le projet d’aménagement du centre prévoit plus d'espace
et de verdure
et de verdure
Après de nombreuses réunions des élus et du comité de pilotage (COPIL, groupe formé en juillet 2019), les représentants du cabinet Verdi ont présenté l’aménagement de centre-ville de Saint-Lupicin à la population.
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Jeudi 11 mai à 19 h avait lieu à l’Epinette, la réunion publique pour l’aménagement du centre du village. La mairie a choisi le cabinet Verdi pour travailler sur ce projet. Violaine Buffard, paysagiste conceptrice et son collègue Marc Lopez, chef de projet, ont présenté à une centaine d’habitants les travaux qui commenceront dès juin 2023. Le projet va se diviser en deux parties : la transformation du réseau d’assainissement et l’aménagement du centre du village. Marc Lopez explique : “ Les eaux pluviales et les eaux usées seront mises en séparatif. ” Violaine Buffard a présenté les futurs aménagements.
La traversée du village en zone 30
“ La grande rue n’est pas très vivante, nous voudrions l’égayer, la rendre plus chaleureuse. Du côté mairie, se trouvera un trottoir beige de deux mètres de large. Il y aura ensuite une bande technique de deux mètres avec des places de stationnement, du mobilier urbain et des petits arbres. La voirie fera six mètres de large, ce qui permettra à deux camions de se croiser ”, indique la paysagiste. “ Côté Poste, le trottoir fera 1m40, ce qui est la norme pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Il y aura une écluse devant le bureau de tabac et un plateau en résine le long de la place Voltaire. La traversée du village sera en zone 30. ”
Aujourd’hui, la place de l’Hôtel de ville et la place Voltaire ne sont pas des places mais des parkings. Nous voulons redonner de l’espace pour le piéton et limiter la voirie tout en conservant les stationnements. Pour la mairie, il y aura deux sens uniques des deux côtés de la place pour que les voitures ne passent plus devant l’Epinette. Les deux places seront pavées sur le pourtour et couvertes de sablé stabilisé au milieu. Elles seront pourvues d’arbres, de carrés de plantes vivaces et de mobilier urbain formant de petits salons. Il y aura assez d’espace pour monter le grand chapiteau devant l’Hôtel de ville et pour la fête foraine place Voltaire. Des toilettes sèches, des arceaux vélos et des poubelles seront installés.
La destruction de la maison Waille va permettre d’ouvrir l’espace et de donner une respiration. “ L’idée c’est de réunir la place Voltaire avec le grand verger qui se dotera de chemins, de tables de pique-nique, d’une aire de jeu pour enfants, d’une piste de bi-cross et de terrains de pétanque. ”
La traversée du village en zone 30
“ La grande rue n’est pas très vivante, nous voudrions l’égayer, la rendre plus chaleureuse. Du côté mairie, se trouvera un trottoir beige de deux mètres de large. Il y aura ensuite une bande technique de deux mètres avec des places de stationnement, du mobilier urbain et des petits arbres. La voirie fera six mètres de large, ce qui permettra à deux camions de se croiser ”, indique la paysagiste. “ Côté Poste, le trottoir fera 1m40, ce qui est la norme pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Il y aura une écluse devant le bureau de tabac et un plateau en résine le long de la place Voltaire. La traversée du village sera en zone 30. ”
Aujourd’hui, la place de l’Hôtel de ville et la place Voltaire ne sont pas des places mais des parkings. Nous voulons redonner de l’espace pour le piéton et limiter la voirie tout en conservant les stationnements. Pour la mairie, il y aura deux sens uniques des deux côtés de la place pour que les voitures ne passent plus devant l’Epinette. Les deux places seront pavées sur le pourtour et couvertes de sablé stabilisé au milieu. Elles seront pourvues d’arbres, de carrés de plantes vivaces et de mobilier urbain formant de petits salons. Il y aura assez d’espace pour monter le grand chapiteau devant l’Hôtel de ville et pour la fête foraine place Voltaire. Des toilettes sèches, des arceaux vélos et des poubelles seront installés.
La destruction de la maison Waille va permettre d’ouvrir l’espace et de donner une respiration. “ L’idée c’est de réunir la place Voltaire avec le grand verger qui se dotera de chemins, de tables de pique-nique, d’une aire de jeu pour enfants, d’une piste de bi-cross et de terrains de pétanque. ”

La Voix du Nord | 12.05.2023
L’aménagement de la défense incendie remis en question
par un habitant
par un habitant
Habitant de Fiefs, André Leroy évoque des pratiques “ peu orthodoxes ” sur l’aménagement de la défense incendie dans la commune. Ce que dément le maire, René Choquet. Explications.
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Des aménagements viennent d’avoir lieu à Fiefs dans le cadre de l’installation de bâches, des citernes en plein air. Un habitant du village, André Leroy, dénonce à ce sujet des pratiques qu’il juge “ peu orthodoxes ” Exemple au hameau de Quevaussart, où une maison avait brûlé il y a quelques années. “ Le propriétaire a voulu reconstruire, mais avec la carte communale, ce n’était pas possible, on était sur un terrain inconstructible. Mais le maire a fait du chantage, disant qu’il pouvait construire s’il mettait à disposition un terrain pour une réserve incendie, et s’il finançait une partie. Finalement, le permis a été accepté en 2022 ”. Faux, rétorquent le maire, René Choquet et Olivier Carpentier, chef de projet chez Verdi, qui a suivi le dossier. “ Le permis pouvait être accepté seulement si cette personne finançait sa propre défense incendie. Ce qui a été fait. De notre côté, on a financé la partie défense incendie pour les habitations voisines ”.
Deux poids deux mesures
Pour André Leroy, un deuxième “ hic ” survient avec l’AFR (association foncière de remembrement). “ Des terrains de l’AFR ont été utilisés pour mettre des citernes. Et l’AFR ne touche aucune compensation financière. Alors que dans le cas de l’antenne de téléphonie qui vient d’être installée sur un terrain communal, la mairie touche une compensation. Il y a deux poids deux mesures ”. Autre souci : “ Il y a des exploitations agricoles qui doivent avoir une installation autonome. La mairie a proposé de mettre des citernes, les agriculteurs ne payant qu’une partie. Ce mélange entre financement public et privé, ce n’est pas sain ”.
Là aussi, René Choquet et Olivier Carpentier s’expliquent. “ Pour le schéma de défense incendie, nous sommes allés rencontrer tous les agriculteurs pour discuter des propositions faites par les pompiers. L’AFR a accepté nos propositions, une convention a été signée. On a eu des terrains mis à disposition, des chemins vont être refaits. On n’a pas l’obligation de compenser financièrement, mais ça se fait quand même avec ces chemins ”. Concernant la défense incendie des agriculteurs, “ ils nous mettent un terrain à disposition, ça a été vu avec eux. Ils financent leur partie de défense incendie, de notre côté on finance pour les habitations à proximité. Le travail n’a pas été fait par rapport aux exploitations agricoles mais aux habitants et leur sécurité ”.
Deux poids deux mesures
Pour André Leroy, un deuxième “ hic ” survient avec l’AFR (association foncière de remembrement). “ Des terrains de l’AFR ont été utilisés pour mettre des citernes. Et l’AFR ne touche aucune compensation financière. Alors que dans le cas de l’antenne de téléphonie qui vient d’être installée sur un terrain communal, la mairie touche une compensation. Il y a deux poids deux mesures ”. Autre souci : “ Il y a des exploitations agricoles qui doivent avoir une installation autonome. La mairie a proposé de mettre des citernes, les agriculteurs ne payant qu’une partie. Ce mélange entre financement public et privé, ce n’est pas sain ”.
Là aussi, René Choquet et Olivier Carpentier s’expliquent. “ Pour le schéma de défense incendie, nous sommes allés rencontrer tous les agriculteurs pour discuter des propositions faites par les pompiers. L’AFR a accepté nos propositions, une convention a été signée. On a eu des terrains mis à disposition, des chemins vont être refaits. On n’a pas l’obligation de compenser financièrement, mais ça se fait quand même avec ces chemins ”. Concernant la défense incendie des agriculteurs, “ ils nous mettent un terrain à disposition, ça a été vu avec eux. Ils financent leur partie de défense incendie, de notre côté on finance pour les habitations à proximité. Le travail n’a pas été fait par rapport aux exploitations agricoles mais aux habitants et leur sécurité ”.
La commune a dû retravailler son schéma directeur Des citernes incendie, il en existait déjà trois dans la commune. Sauf que “ il y a eu un gros changement il y a quelques années, avance Olivier Carpentier. Avant, il fallait un point d’eau à 400 m. Aujourd’hui, c’est 200 m. La commune a donc dû retravailler son schéma directeur ”. Un travail réalisé suivant les recommandations des sapeurs-pompiers pour les emplacements et les volumes des citernes. Au final, douze citernes sont à mettre en place. Restait à trouver des terrains. “ Quand on est sur des terrains communaux, il n’y a pas de problème. Sur ces terrains privés, il faut engager des discussions, ce qui a été fait avec les agriculteurs. Certains ont suivi et ont mis un bout de terrain à disposition, d’autres ont refusé ”. Suite aux échanges, huit emplacements ont pu être trouvés et “ sept citernes sont en cours de mise en place ”. Côté budget, le maire n’avance pour l’instant pas de chiffres. “ J’attends que tout soit terminé ”, note René Choquet. Mais pour un tel projet, on est sur un investissement de plusieurs centaines de milliers d’euros. “ On a des subventions de l’État, de la Région, du Département et de la communauté de communes ”. Un travail de longue haleine pour la municipalité. “ Ça a demandé deux ans d’études, il a fallu aller chercher les aides ”. Et entre deux, la crise sanitaire a pointé le bout de son nez. Dans ce dossier de la défense incendie, “ il y a encore du chemin à faire ”, avoue le maire. Mais ça avance. |

Le Journal du Pays Yonnais | 11.05.2023
Où sont les îlots de chaleur
à La Roche-sur-Yon ? Voici
une cartographie inédite
à La Roche-sur-Yon ? Voici
une cartographie inédite
En avril 2023, l'entreprise Verdi a publié une cartographie inédite de La Roche-sur-Yon qui met en valeur les îlots de chaleur et de fraîcheur dans la ville.
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Il y a une semaine, l’entreprise Verdi, spécialisée dans le développement durable des territoires, a publié sur les réseaux sociaux une cartographie des îlots de chaleur à La Roche-sur-Yon.
La carte permet de visualiser d’un seul coup d’œil où sont situés les îlots de chaleur dans la ville, c’est-à-dire les endroits où, de jour comme de nuit, la température est en moyenne plus chaude qu’ailleurs.
Un Pentagone en rouge
Sans surprise, le document met en évidence la concentration des points chauds au cœur du Pentagone. Son fondateur y préconise des canopées végétales pour faire baisser la température, et surtout, l’effet de chaleur ressenti. “ Le seul élément qui rafraîchit vraiment une ville, c’est l’évapotranspiration des végétaux. ”
Mais selon Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi, La Roche-sur-Yon est “ plutôt une ville verte. ” “ On a vu bien pire ! ” ajoute l’ingénieur qui avance des raisons historiques à cette concentration de la chaleur en cœur de ville.
La ville est préservée des îlots de chaleur par rapport à d'autres grandes agglomérations telles Dijon, Lille, Bordeaux, Nîmes. ©Verdi
Une coulée verte traverse la ville
On perçoit néanmoins sur la carte, la grande coulée verte qui traverse La Roche-sur-Yon du nord au sud (vallée verte jusqu’à Rivoli), la zone humide à l’ouest de la ville (vallée de l’Ornay) et même les petits îlots de fraicheur des parcs urbains dans le Pentagone : le parc François-Mitterrand, le parc Simone-Veil et surtout, la place Napoléon, avec ses rangées de grands arbres.
Pour Eric Larrey, “ ce qui est flagrant à La Roche-sur-Yon, c’est la pénétration d’espaces boisés dans la ville”.
Comment lutter contre les îlots de chaleur ?
Même si on lutte contre les îlots de chaleur par la “ renaturation des rues ”, pour l’ingénieur, cela reste illusoire de vouloir planter des arbres dans toutes les rues.
“ D’abord parce que les rues ont de multiples vocations ” (le passage, les commémorations, la culture). Mais surtout parce que l’on doit choisir “ les bonnes essences au bon endroit ”, pour que les végétaux s’implantent correctement et avec efficacité.

Le Pentagone est le secteur le plus chaud de La Roche. ©Verdi
Quelle équité d’accès aux îlots de fraîcheur ?
Davantage que la quantité, Eric Larrey préconise de s’assurer que « la nature existante soit dans de bonnes conditions pour continuer à vivre ».
Il avance surtout la notion “ d’équité de l’accès aux îlots de fraicheur ”, une question devenue sensible depuis les confinements liés à la crise sanitaire.
Replanter dans la ville, c’est aussi réduire les inégalités.
“ On estime que chaque habitant de la ville doit pouvoir accéder de chez lui à pied, en cinq minutes, par un chemin de fraîcheur, à un îlot de verdure ”, précise Eric Larrey. À La Roche-sur-Yon, on n’y est pas loin.
Un plan de végétalisation des cours d’école est en réflexion par la municipalité, tout comme un projet de végétalisation de la rue Salengro. Voici un document qui pourra aider les élus à trancher sur les priorités.
La carte permet de visualiser d’un seul coup d’œil où sont situés les îlots de chaleur dans la ville, c’est-à-dire les endroits où, de jour comme de nuit, la température est en moyenne plus chaude qu’ailleurs.
Un Pentagone en rouge
Sans surprise, le document met en évidence la concentration des points chauds au cœur du Pentagone. Son fondateur y préconise des canopées végétales pour faire baisser la température, et surtout, l’effet de chaleur ressenti. “ Le seul élément qui rafraîchit vraiment une ville, c’est l’évapotranspiration des végétaux. ”
Mais selon Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi, La Roche-sur-Yon est “ plutôt une ville verte. ” “ On a vu bien pire ! ” ajoute l’ingénieur qui avance des raisons historiques à cette concentration de la chaleur en cœur de ville.
“ Beaucoup de cœurs historiques de ville sont construits avec des rues étroites, ce sont des endroits objectivement difficiles à végétaliser. ”
Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi

La ville est préservée des îlots de chaleur par rapport à d'autres grandes agglomérations telles Dijon, Lille, Bordeaux, Nîmes. ©Verdi
Une coulée verte traverse la ville
On perçoit néanmoins sur la carte, la grande coulée verte qui traverse La Roche-sur-Yon du nord au sud (vallée verte jusqu’à Rivoli), la zone humide à l’ouest de la ville (vallée de l’Ornay) et même les petits îlots de fraicheur des parcs urbains dans le Pentagone : le parc François-Mitterrand, le parc Simone-Veil et surtout, la place Napoléon, avec ses rangées de grands arbres.
Pour Eric Larrey, “ ce qui est flagrant à La Roche-sur-Yon, c’est la pénétration d’espaces boisés dans la ville”.
Comment lutter contre les îlots de chaleur ?
Même si on lutte contre les îlots de chaleur par la “ renaturation des rues ”, pour l’ingénieur, cela reste illusoire de vouloir planter des arbres dans toutes les rues.
“ D’abord parce que les rues ont de multiples vocations ” (le passage, les commémorations, la culture). Mais surtout parce que l’on doit choisir “ les bonnes essences au bon endroit ”, pour que les végétaux s’implantent correctement et avec efficacité.
" Replanter des essences que l’on connait depuis 50 ans, ce n’est certainement pas la bonne idée. ”Il faut regarder vers le Sud pour implanter des arbres et végétaux qui pourront encore se développer quand le climat sera encore plus chaud, dans 40 ou 50 ans.
Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi

Le Pentagone est le secteur le plus chaud de La Roche. ©Verdi
Quelle équité d’accès aux îlots de fraîcheur ?
Davantage que la quantité, Eric Larrey préconise de s’assurer que « la nature existante soit dans de bonnes conditions pour continuer à vivre ».
Il avance surtout la notion “ d’équité de l’accès aux îlots de fraicheur ”, une question devenue sensible depuis les confinements liés à la crise sanitaire.
Replanter dans la ville, c’est aussi réduire les inégalités.
“ On estime que chaque habitant de la ville doit pouvoir accéder de chez lui à pied, en cinq minutes, par un chemin de fraîcheur, à un îlot de verdure ”, précise Eric Larrey. À La Roche-sur-Yon, on n’y est pas loin.
Un plan de végétalisation des cours d’école est en réflexion par la municipalité, tout comme un projet de végétalisation de la rue Salengro. Voici un document qui pourra aider les élus à trancher sur les priorités.

L’Aisne Nouvelle | 02.05.2023
Le parc du Bois des Berceaux, complètement transformé
Dimanche, le Bois des Berceaux et la rue Paulin-Pecqueux, entièrement rénovés, ont été inaugurés après un an de travaux.
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Un poumon vert de la ville
Le parc du Bois des Berceaux tient son nom du mot “ beursault ”, donné au XIVe siècle, qui signifie en ancien français “ butte de tir ”, pour la pratique du tir à l'arc et de l'arbalète. Ce lieu est aujourd'hui l'un des deux poumons verts de la ville avec le parc du stade municipal.
“ Aujourd'hui, son caractère boisé et sa proximité avec le centre-ville attirent les habitants pour les loisirs et la détente, indique le maire, Yann Rojo. C'est un îlot de fraîcheur, un lieu de promenade. ” Voilà pourquoi, les élus ont souhaité le moderniser, en même temps que la rue Paulin-Pecqueux.
Première transformation depuis sa création
Le chantier a duré plus d'un an avec notamment la démolition du kiosque, l'abattage de vieux arbres... Le parc est désormais transformé. “ Il n'avait pas connu de transformation depuis sa création. Une part importante de revêtement minéral occasionnait des problèmes de stagnation d'eau. Le mobilier bain était vétuste et certains arbres étaient dangereux. Nous avons réduit les surfaces minérales, laissé place à des espaces d'herbe avec du mobilier contemporain et adapté tout en conservant et en mettant en valeur les monuments et les terrains de jeux de boules. ” énumère l'élu. Un espace de jeux pour enfants et une aire sportive avec des agrès ont été construits.
Pour que le parc joue pleinement son rôle d'îlot de fraîcheur l'été, une passerelle surplombe une noue qui accueillera les eaux de ruissellement, avec une fontaine.
3 812 heures de travail pour deux bénéficiaires du RSA
Le maire s'est réjoui de l'aide des financeurs du projet pour un investissement de 1 415 266 euros Hf subventionné à 60 % sous la direction d’un maître d’œuvre.
“ Le PLIE de la Maison de formation du Vermandois a permis d'immerger deux bénéficiaires du RSA pour 812 heures de travail à travers la clause d'insertion du marché public. Cet outil au service des demandeurs d'emploi du territoire permet une montée en compétence. L'entreprise Tayon a d'ailleurs confié une mission complémentaire à l'un des deux ”, a spécifié le maire et conseiller départemental.
Le parc du Bois des Berceaux tient son nom du mot “ beursault ”, donné au XIVe siècle, qui signifie en ancien français “ butte de tir ”, pour la pratique du tir à l'arc et de l'arbalète. Ce lieu est aujourd'hui l'un des deux poumons verts de la ville avec le parc du stade municipal.
“ Aujourd'hui, son caractère boisé et sa proximité avec le centre-ville attirent les habitants pour les loisirs et la détente, indique le maire, Yann Rojo. C'est un îlot de fraîcheur, un lieu de promenade. ” Voilà pourquoi, les élus ont souhaité le moderniser, en même temps que la rue Paulin-Pecqueux.
Première transformation depuis sa création
Le chantier a duré plus d'un an avec notamment la démolition du kiosque, l'abattage de vieux arbres... Le parc est désormais transformé. “ Il n'avait pas connu de transformation depuis sa création. Une part importante de revêtement minéral occasionnait des problèmes de stagnation d'eau. Le mobilier bain était vétuste et certains arbres étaient dangereux. Nous avons réduit les surfaces minérales, laissé place à des espaces d'herbe avec du mobilier contemporain et adapté tout en conservant et en mettant en valeur les monuments et les terrains de jeux de boules. ” énumère l'élu. Un espace de jeux pour enfants et une aire sportive avec des agrès ont été construits.
Pour que le parc joue pleinement son rôle d'îlot de fraîcheur l'été, une passerelle surplombe une noue qui accueillera les eaux de ruissellement, avec une fontaine.
3 812 heures de travail pour deux bénéficiaires du RSA
Le maire s'est réjoui de l'aide des financeurs du projet pour un investissement de 1 415 266 euros Hf subventionné à 60 % sous la direction d’un maître d’œuvre.
“ Le PLIE de la Maison de formation du Vermandois a permis d'immerger deux bénéficiaires du RSA pour 812 heures de travail à travers la clause d'insertion du marché public. Cet outil au service des demandeurs d'emploi du territoire permet une montée en compétence. L'entreprise Tayon a d'ailleurs confié une mission complémentaire à l'un des deux ”, a spécifié le maire et conseiller départemental.

76actu.fr | 28.04.2023
Où sont les îlots de chaleur à Rouen ? Voici une cartographie inédite
En avril 2023, l’entreprise Verdi a publié une cartographie de Rouen qui met en évidence la présence de nombreux îlots de chaleur urbains au sein de la ville.
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Le 20 avril 2023, l’entreprise Verdi, spécialisée dans le développement durable des territoires, a diffusé sur les réseaux sociaux une cartographie des îlots de chaleur urbains à Rouen (Seine-Maritime). La carte met ainsi en évidence des disparités, notamment entre la rive gauche et la rive droite et son fondateur incite à une renaturation des rues de la ville.

D’importantes disparités entre la rive droite et la rive gauche
Sur la cartographie de Rouen, on constate en effet que la rive gauche semble être bien plus prémunie que la rive droite des phénomènes d’îlots de chaleur urbains. Selon Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi, cela s’explique par le fait « que les quais de la rive gauche sont davantage naturalisés que ceux de la rive droite ».
Aussi, la rive droite apparaît comme beaucoup plus bétonnée dans son ensemble, ce qui engendre une augmentation de la température.
Comment lutter contre les phénomènes d’îlots de chaleur urbains ?
Face à ce phénomène de grande ampleur, il existe néanmoins des solutions. D’après Eric Larrey, la première d’entre elles est « d’investir dans la renaturation des villes ». Une démarche portée par la municipalité et la Métropole dirigées par Nicolas Mayer-Rossignol.
Le directeur d’innovation chez Verdi souligne que ce sont les arbres et, plus généralement, la verdure, qui sont les garants de la fraîcheur. Toutefois, il prévient : « planter des arbres ne suffit pas, il faut le faire intelligemment ». En effet, les différentes espèces d’arbres ont chacune des besoins spécifiques, et les planter de manière aléatoire dans les rues ne changerait rien au phénomène.
De plus, c’est bien la question de l’eau qui doit être posée. Toujours selon Eric Larrey, « une ville qui entend naturaliser ses rues doit avant tout savoir gérer son eau » car la denrée s’avère être « indispensable pour que la végétation puisse pleinement jouer son rôle de rafraîchisseur ».
Finalement, la lutte contre les îlots de chaleur s’avère être multiforme et doit s’inscrire dans « un projet global de transition écologique ».
« Végétaliser les villes, c’est réduire les inégalités »
Au-delà de la lutte contre les îlots de chaleur, la végétalisation des villes s’avère, selon notre interlocuteur, être également un enjeu de « l’équité dans l’accès à la verdure ». Il note que « les différents confinements ont mis en exergue ces inégalités quant à l’accès au vert » alors que « chacun devrait pouvoir disposer d’un coin de fraîcheur non loin de chez lui ».
Par ailleurs, Eric Larrey évoque également les vertus économiques de la renaturation : « On a énormément d’aménageurs qui font appel à nous car, aujourd’hui, la question du bien-être est devenue primordiale. » Il est selon lui « avéré qu’un parc de logements disposant d’un espace vert sera valorisé par les acheteurs, et donc, que le prix d’achat sera plus important ».

D’importantes disparités entre la rive droite et la rive gauche
Sur la cartographie de Rouen, on constate en effet que la rive gauche semble être bien plus prémunie que la rive droite des phénomènes d’îlots de chaleur urbains. Selon Eric Larrey, directeur d’innovation chez Verdi, cela s’explique par le fait « que les quais de la rive gauche sont davantage naturalisés que ceux de la rive droite ».
Aussi, la rive droite apparaît comme beaucoup plus bétonnée dans son ensemble, ce qui engendre une augmentation de la température.
Comment lutter contre les phénomènes d’îlots de chaleur urbains ?
Face à ce phénomène de grande ampleur, il existe néanmoins des solutions. D’après Eric Larrey, la première d’entre elles est « d’investir dans la renaturation des villes ». Une démarche portée par la municipalité et la Métropole dirigées par Nicolas Mayer-Rossignol.
Le directeur d’innovation chez Verdi souligne que ce sont les arbres et, plus généralement, la verdure, qui sont les garants de la fraîcheur. Toutefois, il prévient : « planter des arbres ne suffit pas, il faut le faire intelligemment ». En effet, les différentes espèces d’arbres ont chacune des besoins spécifiques, et les planter de manière aléatoire dans les rues ne changerait rien au phénomène.
De plus, c’est bien la question de l’eau qui doit être posée. Toujours selon Eric Larrey, « une ville qui entend naturaliser ses rues doit avant tout savoir gérer son eau » car la denrée s’avère être « indispensable pour que la végétation puisse pleinement jouer son rôle de rafraîchisseur ».
Finalement, la lutte contre les îlots de chaleur s’avère être multiforme et doit s’inscrire dans « un projet global de transition écologique ».
« Végétaliser les villes, c’est réduire les inégalités »
Au-delà de la lutte contre les îlots de chaleur, la végétalisation des villes s’avère, selon notre interlocuteur, être également un enjeu de « l’équité dans l’accès à la verdure ». Il note que « les différents confinements ont mis en exergue ces inégalités quant à l’accès au vert » alors que « chacun devrait pouvoir disposer d’un coin de fraîcheur non loin de chez lui ».
Par ailleurs, Eric Larrey évoque également les vertus économiques de la renaturation : « On a énormément d’aménageurs qui font appel à nous car, aujourd’hui, la question du bien-être est devenue primordiale. » Il est selon lui « avéré qu’un parc de logements disposant d’un espace vert sera valorisé par les acheteurs, et donc, que le prix d’achat sera plus important ».

Midi Libre | 20.04.2023
Révision du Plu et Padd au menu de la réunion publique
La réunion publique sur la révision du Plan Local d'Urbanisme (PLU) a eu lieu au foyer, jeudi 13 avril, menée par Catherine Begogne, maire, Serge Rouvière, adjoint chargé de l'urbanisme et Baptiste Bazot, chargé d'études chez Verdi Ingénierie.
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Le Plu, pour toute demande en matière d’urbanisation et de développement du village, a été approuvé en 2017 et planifié pour dix ans mais est régulièrement appelé à évoluer.
Des raisons réglementaires amènent aujourd’hui à le réviser pour le mettre en conformité avec le Schéma de COhérence Territoriale (Scot) Sud Gard et le Programme local de l’habitat (PLH) de Nîmes Métropole, mais aussi pour adapter les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) existantes du site de la cave et du secteur en extension au nord du village, et créer de nouvelles OAP pour des projets communaux.
La révision est encadrée et contrainte par un certain nombre d’exigences sur lesquelles il faudra travailler a indiqué Catherine Bergogne. Il s’agit de prendre en compte les lisières de l’enveloppe urbaine (où 38 % des logements doivent être renouvelés), le coefficient de rétention foncière inférieur à 65 %, la construction d’au moins 25 logements/ha, les 20 % de logements sociaux dans les nouveaux logements et les 5 ha dédiés à l’extension. Il faut jongler aussi avec le PLH de Nîmes Métropole qui fixe un objectif de construction de 10 logements par an entre 2019 et 2025, le PPRI avec les risques d’inondation où toute construction est impossible et le porté à connaissance du risque de feux de forêt.
Concilier développement maîtrisé et attractivité
Les élus ont également présenté les objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) : Trois axes pour un développement urbain maîtrisé et un renforcement de l’attractivité du territoire, tout en préservant son cadre de vie et son authenticité a spécifié Serge Rouvière.
L’axe 1 permettra de maintenir la croissance démographique à 1 % sur 10 ans pour permettre la réalisation d’un parcours résidentiel d’environ 130 logements diversifiés. Optimisation également de la création d’une centaine de logements dans l’enveloppe urbaine avec la possibilité de construire 25 logements sur un hectare au nord-est du village.
L’axe deux renforcera l’attractivité du territoire avec le centre bourg dédié aux commerces, aux écoles et aux services, avec d’autres commerces, services et équipements publics sur le site de la cave coopérative, ainsi qu’avec l’extension du Fam sur 1,5 ha et des équipements sportifs mutualisés sur 1,9 ha à proximité.
L’axe trois permettra de mettre l’environnement au cœur du développement (biodiversité préservée, urbanisme soutenable promu et gestion des risques pour une vulnérabilité réduite).
Une deuxième réunion publique aura lieu en juin et le Plu sera approuvé début 2024.
Des raisons réglementaires amènent aujourd’hui à le réviser pour le mettre en conformité avec le Schéma de COhérence Territoriale (Scot) Sud Gard et le Programme local de l’habitat (PLH) de Nîmes Métropole, mais aussi pour adapter les orientations d’aménagement et de programmation (OAP) existantes du site de la cave et du secteur en extension au nord du village, et créer de nouvelles OAP pour des projets communaux.
La révision est encadrée et contrainte par un certain nombre d’exigences sur lesquelles il faudra travailler a indiqué Catherine Bergogne. Il s’agit de prendre en compte les lisières de l’enveloppe urbaine (où 38 % des logements doivent être renouvelés), le coefficient de rétention foncière inférieur à 65 %, la construction d’au moins 25 logements/ha, les 20 % de logements sociaux dans les nouveaux logements et les 5 ha dédiés à l’extension. Il faut jongler aussi avec le PLH de Nîmes Métropole qui fixe un objectif de construction de 10 logements par an entre 2019 et 2025, le PPRI avec les risques d’inondation où toute construction est impossible et le porté à connaissance du risque de feux de forêt.
Concilier développement maîtrisé et attractivité
Les élus ont également présenté les objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) : Trois axes pour un développement urbain maîtrisé et un renforcement de l’attractivité du territoire, tout en préservant son cadre de vie et son authenticité a spécifié Serge Rouvière.
L’axe 1 permettra de maintenir la croissance démographique à 1 % sur 10 ans pour permettre la réalisation d’un parcours résidentiel d’environ 130 logements diversifiés. Optimisation également de la création d’une centaine de logements dans l’enveloppe urbaine avec la possibilité de construire 25 logements sur un hectare au nord-est du village.
L’axe deux renforcera l’attractivité du territoire avec le centre bourg dédié aux commerces, aux écoles et aux services, avec d’autres commerces, services et équipements publics sur le site de la cave coopérative, ainsi qu’avec l’extension du Fam sur 1,5 ha et des équipements sportifs mutualisés sur 1,9 ha à proximité.
L’axe trois permettra de mettre l’environnement au cœur du développement (biodiversité préservée, urbanisme soutenable promu et gestion des risques pour une vulnérabilité réduite).
Une deuxième réunion publique aura lieu en juin et le Plu sera approuvé début 2024.