
Le Moniteur | 21.02.2025
Lille, une nouvelle vie
en peuplier
en peuplier
Le palais Rameau nouveau a été inauguré début février à Lille (Nord). Construit en 1878 et classé monument historique en 2002, l'édifice a été réhabilité par l'école d'ingénieurs Junia pour en faire un lieu dédié à l'agriculture urbaine, accueillant aussi bien des étudiants que des chercheurs.
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Afin de ne pas dénaturer l'existant, l'intérieur accueille une structure en kit aisément modulable et démontable. “ Avec 158 m³ de peuplier déployés pour fabriquer les poteaux et poutres en lamellé-collé, c'est le plus gros chantier d'Europe réalisé avec cette essence locale. Cela prouve qu'il est possible de l'utiliser pour la construction, d'autant qu'elle présente des qualités intéressantes, comme l'absence de nœud ”, souligne Cédric Michel, architecte associé de l'Atelier 9.81, mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre. Un réseau de sprinklage a aussi été déployé au sein du bâtiment de 3 950 m² SP. Le projet a coûté 15,2 M€ HT, dont la moitié pour la restauration.

Ici Auxerre | 19.02.2025
Joigny, des quais
réaménagés
d'ici la fin de l'année
réaménagés
d'ici la fin de l'année
Les travaux ont enfin débuté à Joigny sur les quais de l'Yonne. Le premier pavé était posé mercredi par les élus locaux pour ce projet de végétalisation de la grande place située à l'arrière du marché couvert et qui n'était depuis plusieurs décennies qu'un parking sans âme.
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Pour les riverains et les badauds, cette esplanade au cœur de la ville de Joigny dans l'Yonne, n'a pour l'instant rien d'un lieu de vie agréable. " Cet endroit, c'est mort. Il n'y a rien. Cela n'a pas d'intérêt ", déplore Michel, un habitant de Laroche, une commune voisine. " C'est quand-même un espace public, il faut vraiment bien l'exploiter pour que toute la population puisse en profiter ", estime Paule. Elle habite en face du marché et découvre ce projet avec le sourire.

Nicolas Soret, maire de Joigny. Grégory Dorte, président du conseil départemental. © Radio France, Renaud Candelier
Des lieux agréables où s'installer à l'ombre
S'adresser à tous, c'est justement le projet de ce réaménagement montre Benoit Martineau, plan à l'appui. Il est architecte paysagiste à l'agence JDM paysagiste à Dijon. " Demain, nous allons créer de petites estacades en bois, ce sont des structures en surélévation qui permettront de pouvoir intégrer des tables et de boire des verres au soleil après le marché. Et on va aussi désimperméabiliser tout cet espace qui était en enrobé avec du pavé infiltrant. " Le projet comprend des espaces de jeux, la création d'une guinguette, la plantation d'arbres et des accès à la rivière. Une idée de parc qui n'est qu'un retour en arrière. " Autour de la fontaine, là où il y a des voitures, historiquement il y avait un petit square avec de petites grilles, des plantations et on pouvait se poser, s'asseoir sur un banc autour de la fontaine. Aujourd'hui, c'est assez difficile puisque c'est un petit giratoire. Donc on va essayer de redonner de la place aux piétons. "

Le chantier va durer jusqu'à la fin de l'année 2025. © Radio France, Renaud Candelier
Un ancien site pour manœuvres militaires
Jusqu'au XIXe siècle et l'arrivée d'un certain Louis Bonaparte à la tête du régiment des 5e Dragons à Joigny, la place était une prairie arborée. Le frère de Napoléon en fera un terrain pour manœuvres militaires. Réaménager cette place, c'était "un vieux rêve" du maire Nicolas Soret. " J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny ne misait pas assez sur sa rivière. J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny méritait une centralité qu'elle n'avait pas jusque-là. " Depuis 2010, Joigny tente de se remettre du départ des 350 militaires du 28e groupe géographique. De nombreux investissements ont été faits sur l'ancien site de 12 hectares situé plus en hauteur dans la ville. Ces travaux des quais, sans lien avec le départ des militaires, sont une manière de tourner la page. " Les villes d'Auxerre et les villes de Sens, il y a quelques années, ont travaillé à la réappropriation de leurs berges. Le moment était venu pour Joigny, la troisième ville du département, de mener ce travail aussi et on verra le résultat, on verra comment il sera accueilli par les Joviniennes et les Joviniens. J'ai foi dans son succès. " Un chantier qui se terminera en tout cas en fin d'année, à quelques mois des élections municipales.
Des travaux fortement subventionnés
Ces travaux vont coûter un peu plus de 4 millions d'euros dont 900 000 euros à la charge de la ville de Joigny, le reste étant des subventions de l'État, de la région, du département et de l'agence de l'eau. Deux autres phases d'aménagement d'un côté du marché et de la voirie sont prévues pour le prochain mandat d'un montant de 5 millions d'euros.

Nicolas Soret, maire de Joigny. Grégory Dorte, président du conseil départemental. © Radio France, Renaud Candelier
Des lieux agréables où s'installer à l'ombre
S'adresser à tous, c'est justement le projet de ce réaménagement montre Benoit Martineau, plan à l'appui. Il est architecte paysagiste à l'agence JDM paysagiste à Dijon. " Demain, nous allons créer de petites estacades en bois, ce sont des structures en surélévation qui permettront de pouvoir intégrer des tables et de boire des verres au soleil après le marché. Et on va aussi désimperméabiliser tout cet espace qui était en enrobé avec du pavé infiltrant. " Le projet comprend des espaces de jeux, la création d'une guinguette, la plantation d'arbres et des accès à la rivière. Une idée de parc qui n'est qu'un retour en arrière. " Autour de la fontaine, là où il y a des voitures, historiquement il y avait un petit square avec de petites grilles, des plantations et on pouvait se poser, s'asseoir sur un banc autour de la fontaine. Aujourd'hui, c'est assez difficile puisque c'est un petit giratoire. Donc on va essayer de redonner de la place aux piétons. "

Le chantier va durer jusqu'à la fin de l'année 2025. © Radio France, Renaud Candelier
Un ancien site pour manœuvres militaires
Jusqu'au XIXe siècle et l'arrivée d'un certain Louis Bonaparte à la tête du régiment des 5e Dragons à Joigny, la place était une prairie arborée. Le frère de Napoléon en fera un terrain pour manœuvres militaires. Réaménager cette place, c'était "un vieux rêve" du maire Nicolas Soret. " J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny ne misait pas assez sur sa rivière. J'ai toujours eu l'immense conviction que la ville de Joigny méritait une centralité qu'elle n'avait pas jusque-là. " Depuis 2010, Joigny tente de se remettre du départ des 350 militaires du 28e groupe géographique. De nombreux investissements ont été faits sur l'ancien site de 12 hectares situé plus en hauteur dans la ville. Ces travaux des quais, sans lien avec le départ des militaires, sont une manière de tourner la page. " Les villes d'Auxerre et les villes de Sens, il y a quelques années, ont travaillé à la réappropriation de leurs berges. Le moment était venu pour Joigny, la troisième ville du département, de mener ce travail aussi et on verra le résultat, on verra comment il sera accueilli par les Joviniennes et les Joviniens. J'ai foi dans son succès. " Un chantier qui se terminera en tout cas en fin d'année, à quelques mois des élections municipales.
Des travaux fortement subventionnés
Ces travaux vont coûter un peu plus de 4 millions d'euros dont 900 000 euros à la charge de la ville de Joigny, le reste étant des subventions de l'État, de la région, du département et de l'agence de l'eau. Deux autres phases d'aménagement d'un côté du marché et de la voirie sont prévues pour le prochain mandat d'un montant de 5 millions d'euros.

Courrier Picard | 18.02.2025
Domart-en-Ponthieu,
les commerces accessibles
en dépit des travaux
les commerces accessibles
en dépit des travaux
Les travaux dureront jusqu’au début juillet et consistent à séparer les eaux pluviales des eaux usées.
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Lundi matin, 16 février, une réunion de chantier entre élus municipaux et techniciens s’est tenue rue René-Démarest à Domart, concernant les travaux de voirie.
L’ensemble des travaux sont sous maîtrise d’œuvre du cabinet spécialisé dans l’assainissement Verdi, basé à Albert. Jeanne Devisme contrôle l’avancée des travaux qui ont débuté le 21 janvier et qui devraient se terminer vers la fin juin, début juillet.
Les travaux portent sur le réseau d’assainissement du village. L’objectif consiste à séparer les eaux pluviales qui iront se déverser dans une parcelle dédiée, d’une part, et les eaux usées qui iront bien évidemment dans la station d’épuration. En séparant ces deux catégories d’eaux, cela permettra de désengorger le flux en direction de la station d’épuration en cas de très fortes précipitations.
Une signalisation routière a été mise en place pour laisser libre d’accès les commerces du bourg mais aussi pour interdire la circulation aux poids lourds de plus de 3,5 tonnes.
L’ensemble des travaux sont sous maîtrise d’œuvre du cabinet spécialisé dans l’assainissement Verdi, basé à Albert. Jeanne Devisme contrôle l’avancée des travaux qui ont débuté le 21 janvier et qui devraient se terminer vers la fin juin, début juillet.
Les travaux portent sur le réseau d’assainissement du village. L’objectif consiste à séparer les eaux pluviales qui iront se déverser dans une parcelle dédiée, d’une part, et les eaux usées qui iront bien évidemment dans la station d’épuration. En séparant ces deux catégories d’eaux, cela permettra de désengorger le flux en direction de la station d’épuration en cas de très fortes précipitations.
Une signalisation routière a été mise en place pour laisser libre d’accès les commerces du bourg mais aussi pour interdire la circulation aux poids lourds de plus de 3,5 tonnes.

Le Moniteur | 14.02.2025
Une pépinière high-tech
surfe sur l'esprit nature
surfe sur l'esprit nature
A la fin de l'année, jeunes pousses et salariés indépendants pourront investir un nouvel espace de 1200 m² en R + 2 au sein du parc d'activités Pédebert à Soorts-Hossegor (Landes). Un projet porté par la communauté de communes Marennes-AdourCôte Sud (Macs) et piloté par l'agence d'architecture MCVD.
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Ce qui était autrefois une zone artisanale dédiée à l'univers du surf a élargi son périmètre à tous les sports de glisse et dépassé sa fonction purement économique pour devenir une sorte de village avec des boutiques et des espaces de restauration, traversé par des pistes cyclables.
Le bâtiment tertiaire imaginé par les architectes est une future pépinière destinée à des métiers à haute valeur technologique. “ Il s'agit d'attirer des talents et d'accompagner l'évolution de la zone ”, précise Hervé Bouyrie, vice-président en charge du développement économique au sein de Macs. Pour répondre à cette demande, l'édifice allie bois, béton, verre et espèces végétales. Une structure maçonnée (noyau central, dalles du rez-dechaussée et du R + 1) stabilise un complexe en bois (structure et enveloppe) dont la trame file en extérieur. Celle-ci y forme une treille couverte d'une végétation grimpante qui protège les bureaux du soleil. Des extensions, demandées par le maître d'ouvrage, sont prévues sur la terrasse du R + 2 et au nord du bâtiment (600 m²). Le béton bas carbone utilisé est produit à 200 m du site.
Double hauteur et toit-terrasse.
“ Notre architecture est très rationnelle, précise Vital Duclos, architecte associé de MCVD. Il y a beaucoup de surface utile et peu de cheminements. ” La salle au rez-de-chaussée, destinée aux événements, vitrée et en double hauteur, et le toit-terrasse végétalisé donnent son cachet au bâtiment, dont les travaux ont démarré en mai 2024.
La nature s'exprime également dans le volet paysager du projet, confié David Abéradère. Le parvis qui peut servir d'espace de rencontres est désimperméabilisé, les places de stationnement traitées en aiguilles de pin, les cheminements réalisés en béton de terre, et un sous-bois est reconstitué aux abords de la pépinière. Le coût total des travaux est estimé à 2,7M€ HT.
Le bâtiment tertiaire imaginé par les architectes est une future pépinière destinée à des métiers à haute valeur technologique. “ Il s'agit d'attirer des talents et d'accompagner l'évolution de la zone ”, précise Hervé Bouyrie, vice-président en charge du développement économique au sein de Macs. Pour répondre à cette demande, l'édifice allie bois, béton, verre et espèces végétales. Une structure maçonnée (noyau central, dalles du rez-dechaussée et du R + 1) stabilise un complexe en bois (structure et enveloppe) dont la trame file en extérieur. Celle-ci y forme une treille couverte d'une végétation grimpante qui protège les bureaux du soleil. Des extensions, demandées par le maître d'ouvrage, sont prévues sur la terrasse du R + 2 et au nord du bâtiment (600 m²). Le béton bas carbone utilisé est produit à 200 m du site.
Double hauteur et toit-terrasse.
“ Notre architecture est très rationnelle, précise Vital Duclos, architecte associé de MCVD. Il y a beaucoup de surface utile et peu de cheminements. ” La salle au rez-de-chaussée, destinée aux événements, vitrée et en double hauteur, et le toit-terrasse végétalisé donnent son cachet au bâtiment, dont les travaux ont démarré en mai 2024.
La nature s'exprime également dans le volet paysager du projet, confié David Abéradère. Le parvis qui peut servir d'espace de rencontres est désimperméabilisé, les places de stationnement traitées en aiguilles de pin, les cheminements réalisés en béton de terre, et un sous-bois est reconstitué aux abords de la pépinière. Le coût total des travaux est estimé à 2,7M€ HT.

Le Progrès | 14.02.2025
Sermange, un vaste plan d'aménagement contre
les inondations se poursuit
les inondations se poursuit
Deux bassins pouvant contenir 850 m³ d'eau chacun, viennent d'être creusés, ils sont connectés au réseau pluvial de la commune.
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C’est à la suite d’évènements météorologiques marquants, au cours desquels des phénomènes orageux intenses avaient provoqué des inondations par ruissellements ou débordements de cours d’eau, que la communauté de communes Jura Nord a décidé de mener une vaste étude sur cette problématique, en proposant à chaque commune une série d’actions à mettre en œuvre pour réduire la vulnérabilité des biens et des personnes.

Le maire Michel Benessiano, son adjoint Claude Vuillemenot, et les représentants des différentes entreprises qui travaillent sur ce vaste plan d’aménagement du terrain pour endiguer les inondations et ruissellements de l’eau dans la commune.
À la suite de ces études, la mairie de Sermange a décidé de lancer un vaste plan inondations pour réduire les risques sur la commune, avec un appel d’offres auprès de Verdi Ingénierie, maître d’œuvre d’une étude complète du suivi des travaux, pour des aménagements sur son territoire communal.
Depuis ce lundi 10 février, le bureau d’ingénierie Verdi est maître d’œuvre, la mairie de Sermange, maître d’ouvrage, et l’entreprise Eurovia est titulaire d’un vaste chantier de terrassement de deux bassins pouvant contenir 850 m³ d’eau chacun, connectés au réseau pluvial de la commune. L’idée est de bloquer les deux arrivées d’eau qui se rejoignent au point bas de la commune. La partie finale s’effectuera dans le réseau principal, pour dégager tous les obstacles bloquants, afin de faciliter l’écoulement normal de l’eau.
Il restera une 3e phase de travaux, avec un aménagement plus léger, mais nécessaire afin de canaliser l’eau qui arrive du secteur de Gendrey. Rappelons que ce vaste plan d’aménagement a démarré depuis plus de deux ans, avec comme première étape, le changement d’une buse sous la route, et de la mise en trottoirs de l’axe principal, afin de canaliser l’eau. Ce plan est prévu sur trois ou cinq ans, afin de garantir la sécurité pluviale sur l’ensemble de la commune.
Le coût estimatif de l’opération est de 140 102,25 € hors taxe, une subvention de la Dotation environnement territoires ruraux est accordée, pour une somme de 42 030 €, et une subvention du conseil départemental pour une somme de 20 965 €.
Ce chantier va se poursuivre pour une durée d’entre trois et cinq mois.

Le maire Michel Benessiano, son adjoint Claude Vuillemenot, et les représentants des différentes entreprises qui travaillent sur ce vaste plan d’aménagement du terrain pour endiguer les inondations et ruissellements de l’eau dans la commune.
À la suite de ces études, la mairie de Sermange a décidé de lancer un vaste plan inondations pour réduire les risques sur la commune, avec un appel d’offres auprès de Verdi Ingénierie, maître d’œuvre d’une étude complète du suivi des travaux, pour des aménagements sur son territoire communal.
Depuis ce lundi 10 février, le bureau d’ingénierie Verdi est maître d’œuvre, la mairie de Sermange, maître d’ouvrage, et l’entreprise Eurovia est titulaire d’un vaste chantier de terrassement de deux bassins pouvant contenir 850 m³ d’eau chacun, connectés au réseau pluvial de la commune. L’idée est de bloquer les deux arrivées d’eau qui se rejoignent au point bas de la commune. La partie finale s’effectuera dans le réseau principal, pour dégager tous les obstacles bloquants, afin de faciliter l’écoulement normal de l’eau.
Il restera une 3e phase de travaux, avec un aménagement plus léger, mais nécessaire afin de canaliser l’eau qui arrive du secteur de Gendrey. Rappelons que ce vaste plan d’aménagement a démarré depuis plus de deux ans, avec comme première étape, le changement d’une buse sous la route, et de la mise en trottoirs de l’axe principal, afin de canaliser l’eau. Ce plan est prévu sur trois ou cinq ans, afin de garantir la sécurité pluviale sur l’ensemble de la commune.
Le coût estimatif de l’opération est de 140 102,25 € hors taxe, une subvention de la Dotation environnement territoires ruraux est accordée, pour une somme de 42 030 €, et une subvention du conseil départemental pour une somme de 20 965 €.
Ce chantier va se poursuivre pour une durée d’entre trois et cinq mois.

Le Progrès | 14.02.2025
Salans, eau potable :
des tuyaux datant de plus
de 60 ans remplacés
des tuyaux datant de plus
de 60 ans remplacés
Depuis fin décembre, le Syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable Doubs Jura (ex-syndicat de Dampierre depuis sa fusion avec le Syndicat de Byans-sur-Doubs au 1er janvier 2025), réalise des travaux de renouvellement de ses conduites de distribution d'eau potable les plus anciennes.
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Sous la surveillance du bureau d’études Verdi ingénierie de Dole, une première tranche vient de se terminer rue de Roset-Fluans à Salans où les tuyaux datant de plus de 60 ans ont été remplacés par une conduite en fonte ductile. Le chantier réalisé par l’entreprise Lartot TP de Torpes se poursuit actuellement rue de la Croix à Salans où la vieille conduite de 1969 est remplacée par une conduite d’un diamètre supérieur permettant ainsi d’améliorer la défense incendie sur le secteur.

Le Journal de Saône-et-Loire | 13.02.2025
Chalon-sur-Saône, réhabili-
tation du quai de la Poterne : une étape va se terminer
tation du quai de la Poterne : une étape va se terminer
Depuis fin janvier, l'entrée de la rue du pont fait l'objet de travaux, dans le cadre de la réhabilitation du quai de la Poterne. Ceux-ci vont se terminer ce week-end, mais le reste de l'important chantier va continuer pendant plusieurs semaines.
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C’est une petite partie du vaste chantier de réhabilitation du quai de la Poterne qui est sur le point de se terminer. D’ici ce week-end, la pose des dalles à l’entrée de la rue du Pont devrait être achevée : c’est ce que les entreprises annonçaient au maire Gilles Platret ce mercredi 12 février, dans le cadre d’une visite de chantier.
L’axe devrait donc retrouver une cohérence des quais jusqu’à la Grande rue, avec un passage uniquement en dalles. Cette phase des travaux avait débuté fin janvier, en même temps que le chantier concernant les places de stationnement entre la rue du Pont et la rue des Cochons-de-Lait. Pour cette zone, comme pour le reste de la réhabilitation du quai, il s’agit principalement de désimperméabiliser les sols en enlevant du bitume et en redonnant de la place à la végétation.
Des places moins nombreuses mais aux normes
Les places de stationnement vont aussi faire l’objet d’un réajustement aux normes actuelles : leur nombre diminuera sensiblement. Une place pour les personnes à mobilité réduite sera également matérialisée, ainsi que deux arrêts minutes. Enfin, une place plus importante sera laissée pour la terrasse de la brasserie Côté Saône.
Les travaux sur la route n’ont pas encore démarré
Pour rappel, le chantier de réhabilitation du quai de la Poterne comprend quatre phases et s’étend sur 11 000 m². La première, commencée fin septembre et terminée fin décembre, concernait la place du Cloître. Deux autres phases sont en cours : celle concernant la place Louis-Armand-Calliat et celle allant de la rue du Pont jusqu’à la rue des Cochons-de-Lait. Il restera ensuite la quatrième phase, qui n’a pas encore démarré et qui s’attaquera à la route. L’ensemble du chantier représente un coût de 5,3 millions d’euros, avec des subventions du Département, de la Région et de l’État.
L’axe devrait donc retrouver une cohérence des quais jusqu’à la Grande rue, avec un passage uniquement en dalles. Cette phase des travaux avait débuté fin janvier, en même temps que le chantier concernant les places de stationnement entre la rue du Pont et la rue des Cochons-de-Lait. Pour cette zone, comme pour le reste de la réhabilitation du quai, il s’agit principalement de désimperméabiliser les sols en enlevant du bitume et en redonnant de la place à la végétation.
Des places moins nombreuses mais aux normes
Les places de stationnement vont aussi faire l’objet d’un réajustement aux normes actuelles : leur nombre diminuera sensiblement. Une place pour les personnes à mobilité réduite sera également matérialisée, ainsi que deux arrêts minutes. Enfin, une place plus importante sera laissée pour la terrasse de la brasserie Côté Saône.
Les travaux sur la route n’ont pas encore démarré
Pour rappel, le chantier de réhabilitation du quai de la Poterne comprend quatre phases et s’étend sur 11 000 m². La première, commencée fin septembre et terminée fin décembre, concernait la place du Cloître. Deux autres phases sont en cours : celle concernant la place Louis-Armand-Calliat et celle allant de la rue du Pont jusqu’à la rue des Cochons-de-Lait. Il restera ensuite la quatrième phase, qui n’a pas encore démarré et qui s’attaquera à la route. L’ensemble du chantier représente un coût de 5,3 millions d’euros, avec des subventions du Département, de la Région et de l’État.

La Voix du Nord | 11.02.2025
Ennevelin, les habitants
ont planché sur la circulation et le stationnement
ont planché sur la circulation et le stationnement
Jeudi 6 février, une trentaine d'habitants se sont retrouvés lors d'une réunion à la médiathèque La Marque Page. Mission : mettre sur une carte leurs propositions pour la sécurité, la circulation et le stationnement.
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En septembre 2024, une déambulation avait été organisée pour identifier déjà des premiers points sensibles dans les rues du centre-bourg d’Ennevelin. “ L’idée était de revenir vers vous pour que vous vous exprimiez ”, a déclaré le maire, Michel Dupont, en accueillant les participants. Parallèlement, un questionnaire avait été mis en ligne, et 42 d’entre eux avaient été remplis et renvoyés, aussi par les Ennevelinois.

Le maire Michel Dupont a rappelé la volonté de la commune de donner la parole aux habitants
L’étude en cours est confiée aux techniciens urbanistes du cabinet Verdi, en parallèle de l’étude de cadre de vie qui, elle aussi, a été menée en mode interactif avec les habitants.

Le technicien de Verdi a précisé les enjeux de l’enquête
La vitesse, élément préoccupant
Thomas Garbin, du cabinet missionné, a rappelé les axes de l’étude autour du stationnement, des déplacements routiers, piétons et cyclables, avant d’expliquer les règles du jeu : sur chacune des tables, un grand plan d’Ennevelin, un sachet contenant panneaux de circulation routière, aménagements comme des passages piétons, dos d’ânes et autres, et des post-it pour ajouter idées, propositions et remarques. Le but étant d’aménager idéalement les rues en 50 minutes.

Thomas Garbin, du cabinet Verdi, explique aux habitants leurs missions
Au premier rang des préoccupations, la vitesse revenait souvent parmi les discussions, qu’elle soit celle des véhicules légers, des poids lourds ou des bus. Ici, deux mères de famille font remarquer que les passages piétons ne sont pas suffisamment visibles. “ Et si on mettait une couleur de revêtement différent ? ”, propose l’une d’elles, “ ou un éclairage bleuté ”, propose un autre habitant.
Aménagements cyclables et stationnement
Les cheminements à vélo sécurisés sont souhaités avec pourquoi pas un chaucidou sécurisant. Des passages surélevés, pourquoi pas ? Mais ça fait du bruit pour les riverains voisins. Les habitants ont pu confronter leurs avis parfois contraires, ce qu’ils ont apprécié. Le stationnement a aussi été l’objet de partages : à conforter, à sécuriser, à optimiser, et régulariser a précisé le technicien.
Au final, les propositions ont été nombreuses. À partir des éléments recueillis, charge est donnée au cabinet Verdi de faire une proposition à la municipalité qui, une fois validée, fera l’objet d’une présentation publique avant l’été prochain.

Le maire Michel Dupont a rappelé la volonté de la commune de donner la parole aux habitants
L’étude en cours est confiée aux techniciens urbanistes du cabinet Verdi, en parallèle de l’étude de cadre de vie qui, elle aussi, a été menée en mode interactif avec les habitants.

Le technicien de Verdi a précisé les enjeux de l’enquête
La vitesse, élément préoccupant
Thomas Garbin, du cabinet missionné, a rappelé les axes de l’étude autour du stationnement, des déplacements routiers, piétons et cyclables, avant d’expliquer les règles du jeu : sur chacune des tables, un grand plan d’Ennevelin, un sachet contenant panneaux de circulation routière, aménagements comme des passages piétons, dos d’ânes et autres, et des post-it pour ajouter idées, propositions et remarques. Le but étant d’aménager idéalement les rues en 50 minutes.

Thomas Garbin, du cabinet Verdi, explique aux habitants leurs missions
Au premier rang des préoccupations, la vitesse revenait souvent parmi les discussions, qu’elle soit celle des véhicules légers, des poids lourds ou des bus. Ici, deux mères de famille font remarquer que les passages piétons ne sont pas suffisamment visibles. “ Et si on mettait une couleur de revêtement différent ? ”, propose l’une d’elles, “ ou un éclairage bleuté ”, propose un autre habitant.
Aménagements cyclables et stationnement
Les cheminements à vélo sécurisés sont souhaités avec pourquoi pas un chaucidou sécurisant. Des passages surélevés, pourquoi pas ? Mais ça fait du bruit pour les riverains voisins. Les habitants ont pu confronter leurs avis parfois contraires, ce qu’ils ont apprécié. Le stationnement a aussi été l’objet de partages : à conforter, à sécuriser, à optimiser, et régulariser a précisé le technicien.
Au final, les propositions ont été nombreuses. À partir des éléments recueillis, charge est donnée au cabinet Verdi de faire une proposition à la municipalité qui, une fois validée, fera l’objet d’une présentation publique avant l’été prochain.