Vududoubs.fr | 27.03.2023
Eau : le Doubs poursuit ses actions - Soutien aux projets locaux
Depuis 2018, 892 projets de collectivités locales ont été soutenus par le Département pour un montant total de 24,5 millions d'euros.
Assainissement
À Soye, le Département a aidé la Communauté de communes des deux vallées vertes (CC2VV) à hauteur de 193 263 euros pour la construction en 2020 d’une nouvelle station d’épuration de type filtres plantés de roseaux, contribuant à une amélioration de la qualité des eaux du ruisseau.



Eau potable
Le Département a aidé, à hauteur de 625 000 euros, des travaux d’interconnexion de réseau d’eau potable entre deux syndicats d’eau (SIEHL et SIAEP du plateau des Combes), à Fuans et Fournets-Luisans. Objectif : sécuriser l’alimentation en eau potable du secteur en apportant l’eau de la Haute-Loue au plateau des Combes, un secteur qui connait des difficultés lors des sécheresses à répétition de ces dernières années.

Restauration des cours d’eau
Le Département a participé au reméandrement en 2021 du ruisseau du château à Soye dans le cadre du Contrat de rivière. Le principal objectif était d’améliorer la qualité physique du cours d’eau, fortement dégradée, pour un gain en termes de ressource en eau et de niveau de la nappe, de régime thermique, et de capacité d’accueil pour la faune et la flore aquatique et terrestre. Un dossier porté par l’Établissement public territorial de bassin (EPTB) Saône et Doubs par délégation de la CC2VV.


La Voix du Nord | 18.03.2023
Douai adopte son nouveau plan local d'urbanisme
Après huit ans de procédure, les élus du conseil municipal ont adopté le nouveau plan local d'urbanisme (PLU) de la commune, vendredi soir. Le document qui fixe les règles d'urbanisme applicables à Douai sera exécutoire dès le 23 mars et consultable sur internet.
C’est fait. Avec trois votes (les voix du Rassemblement national) et neuf abstentions (François Guiffard et huit élus du groupe “ Douai dynamique et durable ”), le nouveau plan local d’urbanisme de Douai a été adopté par 25 élus de la majorité municipale (Guy Caruyer, agriculteur sur la commune, n’a pas pris part au vote). Le scrutin a mis fin à huit ans de procédure, la révision du PLU ayant été lancée en février 2015.

En juin, le conseil municipal avait arrêté le futur règlement d’urbanisme de la ville (https://ww.lavoixdunord.fr/1194719/article/2022-06-18/douai-le-nouveau-plan-local-d-urbanisme-sera-executoire-dans-six-mois), rédigé autour de quatre axes stratégiques : la préservation du cadre de vie et de l’environnement, la revitalisation du cœur de ville et des centres des quartiers, la connexion de la ville et de ses faubourgs, l’ancrage des habitants. Pour faire simple, selon un zonage précis, à l’échelle d’un quartier, d’un secteur ou d’une parcelle, le texte précise ce qu’il est possible de faire en matière de construction ou d’aménagement. Il définit quel immeuble d’habitation peut être construit, quel commerce ou service peut s’implanter, etc.

Consultable sur Géoportail
Depuis, le document a été soumis à l’avis de l’État, du Département, de Douaisis Agglo, du syndicat mixte du ScOT et des différents organismes compétents notamment en matière d’environnement. Le texte et des annexes ont aussi été mis à disposition de tout un chacun, lors de l’enquête publique qui s’est déroulée en novembre et décembre de l’an passé lors de laquelle des réunions de concertation ont été organisées dans les quartiers de Douai et cinquante-sept avis ont été recueillis.
Voté, le PLU douaisien sera mis en ligne sur le site Géoportail (geoportail.gouv.fr) jeudi 23 mars. Dès cette date, il sera exécutoire. Mais il sera également soumis au contrôle de légalité du préfet qui a un mois pour, éventuellement, le retoquer. Le texte cesse alors de s’appliquer, le temps que le juge administratif se prononce. Les autres citoyens ont deux mois pour contester, mais ce recours devant le tribunal administratif n’est pas suspensif. Passé ces délais, s’il n’est pas contesté, le PLU est définitivement adopté.

Les oppositions soulèvent la problématique du logement
Pour attirer plus d’habitants, le PLU mise sur la requalification de friches et la construction d’environ 2 000 logements d’ici 2030. “ Vous sortez la baguette magique : plus de logements égale plus d’habitants, mais ce n’est pas si simple ”, critique Coline Craeye (Douai dynamique et durable) qui s’interroge sur le type d’habitat et l’appauvrissement de la population. “ Ce qui manque, c’est une réflexion sur la mixité sociale de notre ville ”, approfondit son colistier Franz Quatrebœufs. “ Le PLU ne va pas régler l’ensemble des problèmes, d’autres travaux vont le compléter ”, répond Stéphanie Stiernon, adjointe à l’urbanisme. Une étude de l’attractivité résidentielle (https://www.lavoixdunord.fr/1291690/article/2023-01-22/quels-projets-et-domaines-seront-prioritaires-douai-en-2023) doit ainsi être prochainement rendue.

“ Vous allez augmenter la vacance de logements. Le risque, c’est les prix s’effondrent ”, redoute de son côté Thibaut François (Douai plus belle, plus propre, plus sûre). “ Ce n’est pas la ville qui construit mais des promoteurs qui n’y vont pas au doigt mouillé ”, retorque le maire, qui concède toutefois que la constriction de logements entraîne de la vacance dans l’ancien. “ Il faut qu’on travaille sur les deux : la rénovation de l’ancien et la construction du neuf. ”

L’arrêt de la règle qui implique qu’une place de stationnement soit aménagée pour chaque logement construit ou rénové inquiète également l’opposition. Coline Craeye craint un découpage des immeubles en logements sans parking. “ C’est la porte ouverte aux dérives ”, dénonce-t-elle. “ La règle est allégée, mais cela ne concerne que le centre-ville (https://www.lavoixdunord.fr/1255593/article/2022-11-19/commerce-la-mairie-de-douai-veut-sanctuariser-son-coeur-de-villeoù elle a tendance à bloquer les projets ”, rappelle Stéphanie Stiernon, qui estime que le permis de louer, prochainement applicable à Douai (https://www.lavoixdunord.fr/1255595:article/2022-11-20/douaisis-agglo-va-enfin-adopter-le-permis-de-louer), permettra de prévenir les abus.

Le préfet donne un avis défavorable
Le préfet de région a émis un avis défavorable au nouveau PLU, ce que n’ont pas manqué de pointer les oppositions. Coline Craeye (Douai dynamique et durable) pointe “ les incohérences relevées par le préfet ” et Thibaut François (Douai plus belle, plus propre, plus sûre) lui emboîte le pas. “ C’est un avis qui est loin d’être mitigé. Dans un courrier de sept pages, il désapprouve ce plan local d’urbanisme ”, précise le député du Rassemblement national. Le préfet estime ainsi que le risque d’inondation n’était pas suffisamment documenté. “ Les services de l’État n’ont pas pu fournir les documents en temps et en heure ”, explique l’adjointe à l’urbanisme Stéphanie Stiernon. “ Les données des services de l’État datent de 2015, il nous a fallu faire un réel travail de mise à jour ” déclare-t-elle encore. “ Le PLU ne sera pas une surprise pour le préfet, avance le maire Frédéroic Chéreau. Depuis l’avis négatif, il y a eu un certain nombre d’allers-retours entre nos services et ceux de l’État. ” Le préfet grade la possibilité de contester le PLU devant le juge.
La Voix du Nord | 15.03.2023
La première voie verte du sud Artois, entre Bapaume et Achiet, espérée en 2024
Cela fait des années que les élus de la communauté de communes (CCSA), son président Jean-Jacques Cottel en tête, caressent l'idée de transformer une ancienne voie de chemin de fer en sentier de circulation douce et lieu de promenade. Le projet entre dans sa phase active, le vote du budget nécessaire. Coups de pédales en 2024 ?



Cinquante ans après la fermeture de la ligne ferroviaire entre Achiet-le-Grand et Marcoing (Nord), la voie qui serpente aujourd’hui dans les champs pourrait retrouver un usage de déplacement. L’an prochain ? C’est l’espoir de Véronique Thiébaut, maire de Biefvillers-lès-Bapaume et vice-présidente de la CCSA. “ J’espère bien pouvoir y rouler prochainement ! ”, annonce l’élue qui milite en faveur des mobilités douces, y compris en secteur rural. “ C’est l’affirmation de la volonté de la communauté de communes d’avancer sur ce dossier. ”
Le projet est ancien. Il a pris du retard notamment parce qu’entre Biefvillers et Bihucourt, les discussions se sont enlisées avec l’agriculteur dont les terres s’étendent sur le tracé. Il souhaiterait en faire une réserve de chasse. La CCSA a engagé une procédure de déclaration d’utilité publique (DUP) pour pouvoir mettre la main sur cette portion, en échange d’autres terres pour le paysan. “ La DUP peut être stoppée à tout moment si l’on trouve un terrain d’entente avec le propriétaire, dit Mme Thiébaut. C’est en tout cas l’affirmation de la volonté de la CCSA d’avancer. ”

Moment idoine 
Le moment est jugé idoine pour pousser les feux sur le sujet. Les vertus de la bicyclette sont intégrées jusqu’au plus haut niveau de l’État, le Plan vélo présenté il y a six mois est d’une ambition inédite. “ On a plus de chances que la DUP soit acceptée par la préfecture. ” Une étude environnementale est en cours. Elle doit permettre d’écarter le fait que les travaux porteraient préjudice à des espèces rares ou protégées. La voie ne sera pas en macadam mais en revêtement perméable.

Vote au printemps 
Ce printemps, l’élue va tenter de faire voter en conseil communautaire une enveloppe de 850 000 € (coût global estimé de la voie verte) pour pouvoir entamer les travaux. Plusieurs dossiers de subvention vont être déposés pour tenter de récupérer la moitié de la somme environ.

Petites routes réservées
En parallèle, la CCSA œuvre afin de transformer une partie du réseau des routes de troisième catégorie (celles qui sont les moins empruntées) en voie réservée ou partagées, avec priorité pour les cyclistes. “ Nous sommes les seuls à être engagés dans une telle démarche, se félicite Véronique Thiébaut. Ça permet d’être économe et pragmatique. ” La “ ressource ” est conséquente : le département du Pas-de-Calais gère à lui seul 6 200 km de routes ; le sud Artois est traversé de nombreuses voies.
Concrètement, à peine 20 % des petites routes, soit moins de 200 km, pourraient être réservées pour les cyclistes (ainsi que les engins agricoles), peut-être à l’aide de barrières. Ou alors partagées avec les automobilistes sous forme de “ chaucidoux ” où les cyclistes sont prioritaires, les autos ne pouvant dépasser que si personne n’arrive en face. “ Nous avons une réunion le 21 mars au Département pour arrêter les portions concernées. ” L’idée serait de faire basculer chaque année quelques dizaines de kilomètres et de permettre, au final, de relier la plupart des villages entre eux.
Eaubonne.fr | 14.03.2023
Eaubonne | Le diagnostic du patrimoine arboré est lancé !
Eaubonne compte environ 4 500 arbres implantés sur le domaine public (rues, espaces verts, bâtiments). En janvier dernier, la Ville a lancé la réalisation d'un diagnostic de son patrimoine arboré.


Analyse du Pin noir situé dans le parc Philipson et inscrit au PLU au titre des arbres à protéger. Cet arbre remarquable, d’une hauteur d’environ 33 mètres, mesure près de 5 mètres de circonférence.

Ce diagnostic permettra de référencer et connaître l’état de santé de chaque spécimen afin de prévenir les risques de maladie et de chute. Réalisée par les ingénieurs horticoles du bureau d’études VERDI, cette étude repose sur une analyse complète de chaque arbre : essence, taille (circonférence du tronc, hauteur), état physique, pathologique et mécanique, contraintes…



D’ici fin juin, la Ville disposera ainsi d’un diagnostic complet accompagné de préconisations pour assurer la bonne gestion et la préservation de son patrimoine arboré.



Le patrimoine arboré d’Eaubonne c’est :
> Environ 1 575 arbres d’accompagnement de voirie (rues et avenues, places, parking…) ;
> Environ 2 100 arbres autour des bâtiments communaux ;
> Environ 825 arbres dans les parcs et jardins publics.
Courrier Picard | 02.03.2023
360 000 € de travaux pour casser la vitesse dans Bacouel-sur-Selle
À partir du 17 avril et jusqu’en juillet, deux phases de travaux vont se succéder, pour créer des aménagements, afin de lutter contre la vitesse et sécuriser les déplacements des piétons.
Ce mardi soir, Marc Bulcourt, maire, a organisé une réunion publique pour informer les habitants des chantiers qui s’annoncent. Et qui feront suite à une enquête menée auprès des habitants en début de mandat, en 2020. Le maire et son conseil avaient recensé leurs préoccupations. Parmi elles, une forte attente sur la circulation et la sécurité routière dans le village.

Soixante-dix personnes se sont déplacées pour entendre ce qui va changer dans le village en lien avec cette problématique.

Le maire était assisté dans cette tâche par Solène Bellot, chargée d’études pour le Groupe Verdi, choisi pour la réalisation. Les projets ont été élaborés conjointement avec le conseil départemental, puisqu’une partie impacte la route départementale 8. Exemple au niveau du garage automobile sur la route de Conty, où une chicane d’entrée de village va être installée de chaque côté. Ainsi qu’un changement du rayon de courbure du virage, qui permet d’entrer dans le centre.

Une meilleure circulation des piétons
L’arrêt du bus scolaire ne se fera plus sur l’esplanade sur le côté de la route, mais sur la route, comme le préconise le conseil départemental, obligeant les véhicules à ralentir pour la dépose des passagers. L’objectif annoncé de tous ces ouvrages est clair : il s’agit de casser la vitesse des usagers de la route. Et de permettre une meilleure circulation, plus sûre, des piétons, dont de nombreux écoliers.

Il va y avoir une réorganisation du stationnement, la réalisation de plateaux surélevés (devant la mairie et route de Plachy), assortis de passages piétons. Des doubles écluses vont faire leur apparition dans certaines rues. Le coût du chantier est de 360 000 euros, dont 140 000 euros à la charge de la commune, déduction faite des subventions.

Le chantier va se dérouler en deux phases, avec une circulation en alternat, sauf le jour de la pose des enrobés, où elle sera interdite. La première (plateau surélevé de la mairie et écluse rue du Château), du 17 au 28 avril (pose des enrobés le 28). La deuxième (rue de Plachy, rue de la gare, rue de Vers, rue du Château, RD8 et RD8A), du 29 mai au 14 juillet.
Construction21 | 01.03.2022 | Eric Larrey
Planter des arbres en ville, oui, mais lesquels ?
Un million d'arbres urbains passés au crible…
Les nombreux projets de végétalisation envisagés par toutes les métropoles, les collectivités et les villes sur tout le territoire, sont confrontés à diverses problématiques très engageants, dont celle-ci : quelles sont les essences d’arbres à planter aujourd’hui pour résister au climat de demain ? Un climat plus sec, plus chaud durant des périodes s’étendant du printemps à l’automne. L’été 2022 nous donne un avant-goût de cette situation, qui pourrait bien se reproduire cette année. Transformons la en opportunité, en étudiant les espèces en place sur différents territoires au regard de leur résistance au stress hydrique, et espérons que les résultats pourront aider à orienter nos choix. Pour ce faire, nous avons étudié le comportement d’un million d’arbres urbains, correspondant à plus de 800 espèces différentes, durant les trois derniers étés. Voici un premier retour sur cette étude.
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Le Courrier Picard | 27.02.2023
Rénovation et visite du château d'eau de Ham
Il s'agit de rénover l'ouvrage qui date des années 1960, soit des travaux de génie civil : rénovation du dôme recouvrant la cuve, réétanchéïté des cuves (dont la capacité est de 2000 litres) vidées et nettoyées, travaux sur les canalisations en partie changées (sur une hauteur de 30 mètres) car oxydées, rénovation de la station de pompage, mise en sécurité des lieux et remise en peinture du château d'eau et de la station.
Ces travaux se font sans coupure d’eau. En effet, les ouvriers ont installé un système de bi-pass permettant d’envoyer l’eau de la station de pompage directement vers le réseau, sans passer par le château d’eau. Plus tard, une fresque pourrait voir le jour sur ce dernier. “ Ce sont des travaux conséquents. Nous sommes en cours de réflexion ” souligne Brunot Sirot, adjoint au maire en charge des travaux de la ville.


L’Est Républicain | 25.02.2023
Arc-et-Senans | Test de contrôle sur l'assainissement
Dès la semaine prochaine, la société Verdi va réaliser des tests pour vérifier que les propriétaires des maisons ont correctement raccordé leurs eaux pluviales et leurs eaux usées. Elle va mettre du colorant dans le réseau afin d'identifier les rejets.
La société Verdi va procéder, dès le début de la semaine prochaine, à des tests de détection des eaux pluviales qui se jettent dans le réseau des eaux usées d’Arc-et-Senans.

Ce schéma directeur d’assainissement est obligatoire pour toutes les communes, il permet de valider le programme de création des réseaux séparatifs. Les communes qui à l’avenir ne pourront présenter ce schéma se verront refuser l’attribution des subventions (30 % de la dépense). Sur Arc-et-Senans, environ 25 km de rues sont viabilisés en séparatif ou en unitaire. Les effluents se jettent dans la station d’épuration. Or le surplus d’eau fait que la station n’est efficace qu’à 30 à 40 %. En clair, la station traite 60 à 70 % d’eaux qui devraient rejoindre directement La Loue. Cela conduit à un mauvais fonctionnement de la station.

Un délai de deux ans
Pour rappel, lors de la construction d’un réseau séparatif, les propriétaires disposent d’un délai de deux ans après réception des travaux pour se mettre en conformité, c’est-à-dire identifier leur rejet à savoir eaux usées dans le réseau eaux usées et eaux pluviales dans le réseau eaux pluviales. Certains font le bon choix de stocker les eaux de pluie pour l’arrosage des jardins.

Par exemple, un réseau séparatif dans une partie de la rue de la fromagerie et dans la Grande rue entre la place de l’Église et la salle polyvalente a été créé. Ce réseau est opérationnel depuis l’automne 2022, ce qui laisse aux propriétaires un délai de deux ans soit jusqu’au 31 décembre 2024 pour se mettre en conformité.

Rappel : pour info les évacuations doivent être séparées c’est-à-dire qu’il doit y avoir une sortie eaux usées et une sortie eaux pluviales bien différenciée. Chaque branchement doit se faire dans le regard posé à cet effet lors des travaux. C’est quelquefois compliqué d’identifier les sorties d’où le délai accordé de deux ans.

Certaines rues vont faire l’objet de ce contrôle (lire ci-contre). Il consiste à mettre du colorant dans le réseau afin d’identifier les rejets.

Les rues concernées
> Rue du Deffois.
> Rue de la Grande-Vye.
> Traverse de la Morte-Chamley.
> Rue des Toppes.
> Rue de la Levée.
> Rue des Gabelous.
> Avenue de la Saline.
> Chemin du château de Roche.
> Rue des Forges.
> Rue des Tuileries.
> Rue de Besançon.