
L’Écho Républicain | 05.07.2022
Saint-Luperce, le hameau de Loulappe en chantier
Lancés début mai, des travaux de voirie et d'aménagement de la rue de Courville et l'amorce de la rue de Martinet, dans le hameau de Loulappe, sont entrés dans la phase de finition et devraient être terminés mi-juillet.
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La maire, Pierrette Salmon, entourée de Jérôme Meunier (1er adjoint), Antoine Poulain chef de projet Verdi Ingénierie, et Benoit Questel aide conducteur de travaux Pigeon TP ont présenté les phases du chantier.
“ Auparavant les réseaux aériens (électrique et téléphonie ) ont été enfouis et des nouveaux candélabres ont été posés ”, a présenté Pierrette Salmon, la maire.
Cette seconde phase a consisté à élargir les trottoirs et les rendre accessibles aux personnes à mobilité réduite côté pair des habitations, de canaliser les eaux pluviales à partir des descentes de gouttières de chaque habitation en direction de la voirie.
“ Nous sommes confrontés, comme beaucoup de communes, à la vitesse excessive, voire très excessive de certains automobilistes en délicatesse avec certaines règlementations du code de la route. Deux chicanes pour délimiter des zones de stationnement et une autre pour contraindre le ralentissement de véhicules ont été posées ”.
Par contre, concernant la voirie départementale (D114 Courville-sur-Eure- Saint-Georges-sur-Eure via Saint-Luperce), elle sera refaite en 2023.
Le coût de travaux réalisés par l'entreprise Pigeon TP et supervisés par Verdi Ingénierie Cœur de France s'élèvent à 230.000 € HT. La commune a perçu une subvention de 108.100 € de la part du conseil départemental.
Pour 2023, la municipalité travaille sur le projet d'aménagement de voirie du lieu-dit la butte de Villebon qui longe l'Eure.

Le Courrier Picard | 03.07.2022
Corbie, mise au point avec les riverains avant les travaux
De gros travaux vont perturber, pendant trois semaines, l'accès à la rue Camille-Roland entre le collège et le Thabor.
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Une réunion d'information en plein air a eu lieu, mercredi 29 juin, sur le parking du Thabor, pour expliquer aux riverains de la rue Camille-Roland et aussi à ceux de la rue des Toits-de-Chaumont .la teneur des travaux à venir dans ce quartier.
Présents sur place, Alain Babaut, président de la communauté de communes du Val de Somme (CCVS), en charge de ces travaux, et Didier Deramisse, adjoint au maire de Corbie chargé de la voirie ont répondu aux questions d'une quinzaine de riverains au fil des explications du bureau d'études Verdi, des entreprises intervenantes et des services concernés de la communauté de communes.
Les travaux vont concerner le réseau pluvial à partir du lundi 4 juillet avec peu d'incidence sur la circulation. Par contre, à partir du lundi 11 juillet, commenceront les travaux de réfection de la chaussée et des trottoirs côté habitations dans la rue Camille-Roland, du numéro 25 bis jusqu'à l'intersection avec la rue des Toits-de-Chaumont, avec des restrictions de circulation et de stationnement.
“ Ces travaux dureront environ trois semaines. Nous profitons des vacances pour ne pas perturber l'accès au collège. Si, matin et soir, les riverains pourront encore avoir accès à la rue au début des travaux, cela deviendra ensuite impossible surtout lors de la phase de pose du bitume et des enrobés. N'hésitez pas à exprimer vos problèmes au chef de chantier ”, a indiqué Alain Babaut. En ce qui concerne les bacs de déchets ménagers, ils devront être regroupés de chaque côté du chantier.
Un exercice de transparence et de proximité avec les citoyens rendu difficile par les différents niveaux de compétence exercés par chaque collectivité. Si le dialogue entre élus et riverains a été courtois et serein, les questions annexes n'ont pas manqué et il fallait s'adresser au bon interlocuteur pour obtenir des réponses. La communauté de communes est compétente en matière de voirie et de réseau pluvial. Mais c'est à la commune que revient la responsabilité de la mise en place de la signalisation, de la sécurisation routière et du stationnement. Les habitants ont pu faire part aux élus corbéens des problèmes liés aux ralentisseurs, version coussins berlinois, situés côté collège. Plusieurs habitants évoquant des soucis avec l'eau pluviale lors de grosses pluies, le président de la CCVS les a écoutés puis les a invités à venir exprimer leurs inquiétudes aux bureaux de la communauté de communes situés dans l'enclos.
Présents sur place, Alain Babaut, président de la communauté de communes du Val de Somme (CCVS), en charge de ces travaux, et Didier Deramisse, adjoint au maire de Corbie chargé de la voirie ont répondu aux questions d'une quinzaine de riverains au fil des explications du bureau d'études Verdi, des entreprises intervenantes et des services concernés de la communauté de communes.
Les travaux vont concerner le réseau pluvial à partir du lundi 4 juillet avec peu d'incidence sur la circulation. Par contre, à partir du lundi 11 juillet, commenceront les travaux de réfection de la chaussée et des trottoirs côté habitations dans la rue Camille-Roland, du numéro 25 bis jusqu'à l'intersection avec la rue des Toits-de-Chaumont, avec des restrictions de circulation et de stationnement.
“ Ces travaux dureront environ trois semaines. Nous profitons des vacances pour ne pas perturber l'accès au collège. Si, matin et soir, les riverains pourront encore avoir accès à la rue au début des travaux, cela deviendra ensuite impossible surtout lors de la phase de pose du bitume et des enrobés. N'hésitez pas à exprimer vos problèmes au chef de chantier ”, a indiqué Alain Babaut. En ce qui concerne les bacs de déchets ménagers, ils devront être regroupés de chaque côté du chantier.
Un exercice de transparence et de proximité avec les citoyens rendu difficile par les différents niveaux de compétence exercés par chaque collectivité. Si le dialogue entre élus et riverains a été courtois et serein, les questions annexes n'ont pas manqué et il fallait s'adresser au bon interlocuteur pour obtenir des réponses. La communauté de communes est compétente en matière de voirie et de réseau pluvial. Mais c'est à la commune que revient la responsabilité de la mise en place de la signalisation, de la sécurisation routière et du stationnement. Les habitants ont pu faire part aux élus corbéens des problèmes liés aux ralentisseurs, version coussins berlinois, situés côté collège. Plusieurs habitants évoquant des soucis avec l'eau pluviale lors de grosses pluies, le président de la CCVS les a écoutés puis les a invités à venir exprimer leurs inquiétudes aux bureaux de la communauté de communes situés dans l'enclos.

Fibois Hauts-de-France | 27.06.2022
Cysoing, l'EPHAD, la résidence de la Pévèle lauréat construction bois
La résidence la Pévèle est lauréat du Prix Régional Construction Bois, Hauts-de-France 2022, catégorie Habiter ensemble.
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L'Écho républicain | 25.06.2022
Le pôle administratif de Chartres et son agglomération inauguré en présence de 700 personnes
Le cœur battant de l'agglomération, le pôle administratif a été inauguré, hier soir, en présence de 700 invités rassemblés salle Marceau. la plaque de l'hôtel de ville et l'hôtel d'agglomération a été dévoilée hier soir, à l'occasion de l'inauguration du site.
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“ Soyez heureux de votre hôtel de ville ! ”conclut Jean-Michel Wilmotte. Face à l'architecte du Pôle administratif, hier soir, une foule l'écoutant religieusement rebâtir par les mots cet hôtel de ville de Chartres et d'agglomération, qu'il a voulu à “ la hauteur du bâtiment Montescot ”. Un bâtiment fonctionnel, répondant aux enjeux de l'époque, lumineux, photogénique... Le concepteur a livré ce à quoi il a rêvé et ses intentions jusqu'à d'infimes détails.
Ce bâtiment tant attendu et “ hors normes ” dira le maire de Chartres et président d'agglo, était l'objet de toutes les louanges. Il a fallu dix longues années de péripéties, de l'aveu de tous les acteurs de ce projet, pour aboutir à cette inauguration, qui restera dans l'histoire locale de Chartres, et à laquelle 700 personnes ont pris part hier, dans la salle Marceau.

La plaque a été dévoilée par le préfet d‘Eure-et-Loir, Françoise Souliman, et Jean-François Gorges, maire de Chartres et président de l’agglo, entourés de Jean-Michel Wilmotte, Franck Masselus et Daniel Guéret, senateur
Penser pour les usagers et les employés
De son côté, Franck Masselus, adjoint au maire de Chartres, vice- président de Chartres Métropole, chargé du projet du Pôle administratif, a resitué la genèse du projet. Et a rappelé l'ambition de cet équipement : “ Offrir aux Chartrains et aux habitants de l'agglomération un guichet unique et à nos collaborateurs un lieu à la hauteur de leurs missions. ”
Premier constat depuis l'ouverture du lieu, il y a quelques mois, “ une formalité sur deux est réalisée par un habitant qui vit au-delà de Chartres. On aurait pu penser que Chartres se faisait plaisir. Eh bien non ! C'est autant des habitants hors Chartres que de la ville ”, s'est réjoui Jean-Pierre Gorges. Comme “ un pari gagné ”, pour ce dernier, qui voit dans ce Pôle administratif “ le cœur battant de notre agglomération ”.
Ce bâtiment tant attendu et “ hors normes ” dira le maire de Chartres et président d'agglo, était l'objet de toutes les louanges. Il a fallu dix longues années de péripéties, de l'aveu de tous les acteurs de ce projet, pour aboutir à cette inauguration, qui restera dans l'histoire locale de Chartres, et à laquelle 700 personnes ont pris part hier, dans la salle Marceau.

La plaque a été dévoilée par le préfet d‘Eure-et-Loir, Françoise Souliman, et Jean-François Gorges, maire de Chartres et président de l’agglo, entourés de Jean-Michel Wilmotte, Franck Masselus et Daniel Guéret, senateur
Penser pour les usagers et les employés
De son côté, Franck Masselus, adjoint au maire de Chartres, vice- président de Chartres Métropole, chargé du projet du Pôle administratif, a resitué la genèse du projet. Et a rappelé l'ambition de cet équipement : “ Offrir aux Chartrains et aux habitants de l'agglomération un guichet unique et à nos collaborateurs un lieu à la hauteur de leurs missions. ”
Premier constat depuis l'ouverture du lieu, il y a quelques mois, “ une formalité sur deux est réalisée par un habitant qui vit au-delà de Chartres. On aurait pu penser que Chartres se faisait plaisir. Eh bien non ! C'est autant des habitants hors Chartres que de la ville ”, s'est réjoui Jean-Pierre Gorges. Comme “ un pari gagné ”, pour ce dernier, qui voit dans ce Pôle administratif “ le cœur battant de notre agglomération ”.

7ALimoges | 23.06.2022
Limoges, inauguration de la place Fournier
La deuxième phase des travaux place de la République, dans le centre-ville, est terminée et, ce mardi, la place Fournier a été inaugurée. La nouvelle fontaine sèche, dans laquelle les enfants pourront jouer cet été, semble séduire les passants et les riverains.
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France Bleu Limousin | 22.06.2022
Limoges, la place Fournier rénovée enfin ouverte aux passants
La deuxième phase des travaux place de la République, dans le centre-ville de Limoges, est terminée et, ce mardi, la place Fournier a été inaugurée. La nouvelle fontaine sèche, dans laquelle les enfants pourront jouer l'été, semble séduire les passants et les riverains.
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Une fontaine sèche a été installée place Fournier, dans laquelle les enfants pourront jouer l'été. © Radio France - Juliette Mylle
“ C'est formidable. Puis ils ont quand même pas mal végétalisé ! C'est super ! ” s'exclame Christine, qui habite Limoges depuis 70 ans, quand elle passe par la place Fournier pour la première fois depuis la fin des travaux. En effet, la deuxième phase du chantier place de la République a pris fin. La place Fournier, totalement rénovée, a été inaugurée ce mardi après sa réouverture aux passants il y a déjà quelques semaines.
Une “ fontaine sèche ” installée
Et ils sont nombreux, les Limougeauds, à s'arrêter pour notamment admirer les jets d'eau de la fontaine sèche, dans lesquels les enfants pourront jouer l'été. Cette place est le résultat de deux ans de travaux et d'un investissement de plus de 2 millions d'euros. Vincent Léonie, adjoint à l'urbanisme pour la mairie, est très satisfait du résultat final. “
J'ai beaucoup de très bons retours sur la fin des travaux et sur le fait que c'est soit piétonnisé, explique-t-il. Qu'aujourd'hui, on puisse profiter des espaces, déambuler... Puis j'ai de bons retours sur ces espaces d'attente que l'on a faits, avec les espaces verts. Donc oui, j'ai plutôt de très bons retours globalement. ”
Des travaux encore en cours juste à côté de la place Fournier
Mais les travaux sont loin d'être terminés dans le centre-ville. Juste à côté de la place, les pelleteuses s'activent encore. L'Office de tourisme devrait s'y installer, ainsi que le Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine. Le maire Émile Roger Lamberti espère qu'ils sortiront de terre d'ici quatre à cinq ans. “ Aujourd'hui, nous sommes à peu près dans les temps, défend l'édile. Je crois qu'il faut être patient. Je préfère avoir trois mois de retard et des travaux bien fait qu'avoir deux mois d'avance et des travaux bâclés. ”
Début mai, la statue de Jeanne d'Arc, qui se trouvait à l'origine sur cette place Fournier, a été réinstallée un peu plus bas, rue Porte Tourny, après avoir subi une totale rénovation.

Construction21 | 20.06.2022 | Eric Larrey
Carte des îlots de chaleur des arrondissements de Paris
La cartographie des îlots de chaleur (ICU) et des îlots de fraîcheur (IFU) est un des premiers outils permettant de piloter une lutte structurée contre le réchauffement climatique en milieu urbain. Il était donc tentant d'appliquer notre Indice de Confort Thermique Urbain (ICTU) à l'analyse de la ville française communément reconnue comme la plus sujette aux effets ICU, Paris.
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La Voix du Nord | 18.06.2022
Douai, le nouveau plan local d'urbanisme sera exécutoire dans six mois
En 2009, le premier plan local d'urbanisme (PLU) de Douai est adopté. En 2015, le conseil municipal délibère en faveur d'une révision générale du dit PLU. Sept ans plus tard, les élus en place ont arrêté le nouveau PLU. Il sera approuvé, après l'enquête publique, en janvier 2023.
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S’il n’y a pas de verts alpages dans les rues Coulomb, Ampère... il y a des chalets en bois de type autrichien. Comme les cités minières UNESCO, le PLU prévoit de les protéger de la destruction ou de transformations malvenues.
Commençons par la définition du PLU. Un plan local d’urbanisme (PLU) est un document destiné à définir plus simplement la destination générale des sols que ne le fait le plan d’occupation des sols (POS). De fait, le PLU de Douai, présenté aux élus du conseil municipal, ce vendredi soir, s’accompagne d’une simplification du zonage. Là, où il y avait quarante-cinq zones, il n’y en a plus que vingt-neuf. Et la focale est braquée sur six « problématiques » de la ville. Les six orientations d’aménagement et de programmation (OAP) concernent le patrimoine paysager et la biodiversité, le cœur de ville, l’entrée de ville sud, la gare et le quartier Scarpe Vauban, le quartier Caux, le patrimoine minier UNESCO.
Prenons l’exemple des cités minières, à savoir la cité-jardin de la Clochette, la cité corons Saint-Joseph, la cité pavillonnaire de La Solitude, la cité pavillonnaire de la Ferronnière, la cité moderne du Godion. Le PLU dit qu’ “ il n’y aura démolition qu’en dernier recours et sous réserve d’un projet concomitant de restructuration, réaménagement ou reconstruction ”.
À chaque zone, sa destination : une zone U est une zone urbaine ; une zone AU est une zone à urbaniser ; une zone N est une zone naturelle et forestière ; une zone A est une zone agricole… Mais ce serait trop simple de s’arrêter là. Prenons la zone U. Elle se décline en UA (zone urbaine centrale), UA1 (zone urbaine centrale correspondant au secteur de grand projet urbain de la caserne Caux et de son quartier), UB (zone urbaine périphérique et mixte)…
Le PLU a accouché d’une bible de plus de mille pages
Au carrefour de chaque zone veille un gendarme. En UA, “ le paysage urbain constitué doit y être préservé ”. En UB, “ le caractère résidentiel de ces espaces doit être maintenu et renforcé, en permettant une diversification de l’offre douaisienne en logements et en affirmant des centralités commerciales, d’équipements et de services de proximité ”. Si le, ou plutôt les gendarmes veillent (les services d’urbanisme de la ville de Douai, l’État, le Syndicat mixte du SCOT du Douaisis), c’est pour éviter les constructions anarchiques, les vendeurs de sommeil qui divisent les maisons…
Comme tout document d’urbanisme, le PLU de Douai a accouché d’une bible de plus de mille pages. Stéphanie Stiernon, adjointe en charge de l’urbanisme, a synthétisé ce travail de longue haleine auprès des élus, avant de rendre hommage à tous les salariés de la Ville qui ont mis leur nez dans le document. “ Nous sommes sur l’arrêt de projet de révision du PLU ”, a-t-elle dit à toutes fins utiles. Le PLU ne sera exécutoire que dans six mois. Avant ça, il aura été présenté aux partenaires de la Ville (Douaisis Agglo, Syndicat mixte du SCOT du Douaisis, services de l’État) et soumis à l’enquête publique auprès des Douaisiens à l’automne. Onze élus d’opposition se sont abstenus à l’heure du vote.