VERDI | 05.09.2021
Verdi signe le Pacte Lille Bas Carbone
L'ambition est de déployer à grande échelle les solutions pour réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre liées à la construction et l'aménagement urbain.
Les engagements de la Ville de Lille, de ses aménageurs et des acteurs de la construction neuve ou de la rénovation (maîtres d’ouvrage, bailleurs sociaux, promoteurs immobiliers, maîtres d’œuvre, bureaux d’études, gestionnaires) s’articulent autour de six priorités :
  1. Energie et eau
  2. Matériaux bas carbone et Economie circulaire,
  3. Nature biodiversité et agriculture urbaine,
  4. Adaptation au changement climatique,
  5. Mobilité durable
  6. Bien-être. 
Les 5 premières priorités, en faveur de l’atténuation et de l’adaptation, ont été collégialement retenues au sein du « Club des 10 000 » devenu Club Lille Bas Carbone. Combinées, elles permettent de multiplier les effets bénéfiques directs et indirects, tant en matière de climat que d’environnement ou de bien-être (confort, qualité de l’air, bruit, eau, économie sociale et solidaire et insertion, déchets…), sans pour autant démultiplier les actions à mener.

La priorité « Bien-être » reprend quant à elle les exigences du référentiel habitat durable (confort, qualité résidentielle et santé environnementale) qui s’appliquent aussi sur le territoire lillois, et est donc intégrée dans le Pacte.

Les 6 priorités se déclinent en exigences opérationnelles réparties selon deux niveaux : un niveau « Socle » rassemblant les actions impactantes qui s’appliquent systématiquement à tous les projets et un niveau « Avancé » comprenant des actions encore plus poussées qui s’appliquent au choix de chaque projet.

Chaque signataire s’engage à respecter tant les exigences de niveau « Socle » que les exigences de niveau « Avancé ». Ces exigences sont adaptées selon que les projets concernent une opération d’aménagement global, de construction neuve ou de rénovation du bâti existant.

Niveau Socle : 
Construites de façon partagée et déjà éprouvées, les exigences de niveau « Socle » correspondent à un ensemble d’actions considérées comme indispensables pour répondre aux enjeux immédiats d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. Si dans les premiers mois et pour les opérations présentant des caractéristiques spécifiques ou très complexes, elles pourront être appliquées avec souplesse, elles s’imposent bien à tous et à tous les projets portés sur Lille, Hellemmes, Lomme. En cas d’infaisabilité avérée, elles devront donc être compensées par d’autres actions favorables au climat.

Niveau Avancé :
En complément des exigences de niveau « Socle », des exigences de niveau « Avancé » s’appliquent également. Pour chacune des opérations qu’il porte, tout signataire du présent Pacte retient au minimum 4 actions plus performantes ou innovantes que celles du niveau « Socle ». Ces 4 actions peuvent être différentes d’une opération à l’autre et constituent un minimum que les partenaires sont invités à dépasser.
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VERDI | 31.08.2021
La Thelloise confie à Verdi la révision de son SCoT
En raison d'une prochaine modification du périmètre du schéma avec l'entrée d'une nouvelle commune, la Communauté de Communes a pris la décision d'interrompre la procédure d'élaboration en cours depuis 2018. La relance de la révision du SCoT répond à la volonté de l'intercommunalité de renforcer le caractère stratégique du document.
L’intercommunalité a choisi Verdi afin de l’accompagner dans la conduite de la procédure et l’assister techniquement pour l’aboutissement d'une nouvelle version du document de planification.
La réussite de la mission appelle plusieurs défis :
> Construire une lecture critique d’un document « abouti » non réalisé par Verdi ;
> Compléter les études le cas échéant et actualiser les données sans remettre en cause le socle du projet de territoire. Conseiller la collectivité sur de nouvelles orientations, des réajustements ou ajouts nécessaires…
> Intégrer la nouvelle nomenclature des SCoT (Document pilote dans l’Oise avec l’accompagnement de la DDT Oise) ;
> Accompagner la Thelloise dans la relance de la concertation publique expliquant le motif d’une nouvelle prescription et fédérant la population autour du projet de territoire à 20 ans…
Le Bien Public | 26.08.2021
Une grande fête pour célébrer la transformation du quai du Nord
La municipalité va inaugurer, samedi 28 août à partir de 15 heures, le nouveau quai du Nord six mois après la fin des travaux qui ont donné un nouveau visage à cet espace public.
Ce sera un samedi de fête à Seurre. Six mois après la fin des travaux de requalification du quai du Nord, la municipalité organise une grande inauguration samedi 28 août à partir de 15 heures.
En plus des trois heures d’animation, un apéritif, un concert et un spectacle pyrotechnique sont prévus pour conclure cette journée spéciale. Après les quais à gradins rénovés par la communauté de communes Rives de Saône en 2018, les quais de Saône ont radicalement changé de visage entre la capitainerie et le parking de l’Église.
“ Cet espace, qui est actuellement un grand giratoire, deviendra une place accrochée à la Saône ”, annonçait, en mai 2020, Benoît Martineau, architecte pour l’agence JDM Paysagistes qui a conduit le chantier avec Verdi Ingénierie.
Principales transformations ? La voirie et les trottoirs entre la capitainerie et le parking de l’église ont été requalifiés. La route entre le quai à gradins et la place des Marronniers a, quant à elle, été remplacée par une liaison douce, et une guinguette a fait son apparition sur place.

Les citoyens se sont appropriés les lieux
“ Après quelques mois, on a l'impression que les citoyens se sont appropriés les lieux, assure la maire, Alain Becquet. Notre guinguette fonctionne bien, il y a souvent du monde qui vient boire un verre, manger une glace… On est évidemment tributaires de la météo, mais on voit que les gens apprécient. Il y a aussi une vraie osmose avec les quais à gradins, puisque seuls les piétons et les vélos peuvent circuler désormais. On a voulu redonner un coup de neuf et rendre cet espace public aux habitants qui viennent se poser, échanger, profiter des brumisateurs, jouer aux boules… Nous en avons aussi profité pour refaire la descente en pavé. Deux gros anneaux sont postés afin de pouvoir accueillir les bateaux de 110 mètres de long. Sur les quais à gradins, nous avons la capacité de recevoir des bateaux de quarante mètres. Le but c'est aussi d'attirer les touristes qui voyagent sur la Saône ”.
La végétalisation a pris une place importante dans ce projet, qui s'inscrit dans le cadre de la revitalisation du centre-bourg de Seurre. Sur la place, huit marronniers ont été enlevés car ils n'étaient pas en bonne santé, mais dix-neuf arbres on été replantés.
Des espaces engazonnés ont remplacé certaines parties en sable, et des pieds de façades de maisons ont été végétalisés. Le but est désormais d’aller chercher une deuxième fleur pour la commune qui possède une fleur au label national villes et villages fleuris.
 
Tout a été vendu
Autre conséquence inattendue de cette transformation du quai Nord : un petit boom de l'immobilier. “Avant de commencer les travaux, plusieurs bâtiments étaient à vendre. L’un à l’angle de la rue Sainte-Claire ne trouvait pas preneur depuis plusieurs années. Aujourd‘hui je sais que la dernière résidence en vente sur la quai Nord a trouvé preneur. Je pense que les travaux ont permis de redonner un petit coup de “ boost ”, c'est positif ”
Le coût de la requalification s'élève à 983 000 €, la commune de Seurre a été subventionnée à hauteur de 784 000 € (Europe, État, Région, Département)
 
Un site désormais surveillé
Dix caméras ont été installées à divers endroits de la ville notamment près de la salle des sports Marcel-Pillet, et au centre-ville cette année. Trois d'entre elles sont situés sur la nouveau quai Nord. “ Nous avons deux caméras multi-capteurs sur la quai qui ont une vision sur la guinguette et la place des Marronniers. Une caméra dôme, financée par la Communauté de communes Rives de Saône, permet, elle, de voir la halte fluviale. Une autre est située ver la capitainerie ”, indique Alain Becquet.

VERDI | 19.07.2021
Requalification du cœur ville de Beauvais
Verdi va accompagner la ville de Beauvais dans la requalification de son cœur de ville !
Une belle perspective pour articuler et valoriser les diversité de nos compétences : ingénierie des aménagements, couverture bois-métal, patrimoine arboré, lutte contre les ilots de chaleur…

Nous sommes ravis de ce succès au sein d’un groupement polyvalent avec Arval, architecte, mandataire | Intensité, programmation urbaine | Art Advisory, œuvre d'art

Une opportunité pour Verdi d'affirmer son ancrage local et de s'impliquer dans le projet national “cœur de ville”.
Sud-Ouest | 06.07.2021
Le Grand Plan vert décliné à l’école Jules-Michelet
La Ville met progressivement en place son Grand Plan vert sur l’ensemble de la commune et ses écoles.
 
La municipalité a souhaité impliquer les élèves, très investis par les enjeux climatiques, pour qu’ils s’expriment sur la végétalisation et le réaménagement de leur cour. Dès le mois de juin, les premiers ateliers ont été menés à Jules-Michelet, école pilote, avec le cabinet d’ingénierie Verdi et l’atelier de paysagiste Anne Gardoni. Il s’est agi de réfléchir à l’espace actuel avec les enseignants : ressenti, habitudes, avis sur les espaces extérieurs…

Un travail en classe a été fait puis des émissaires ont porté les observations lors des ateliers. Une nouvelle séance s’est déroulée jeudi 1er juillet, après la journée de classe, cette fois sur « l’espace rêvé ». Les élus du conseil d’enfants (du CE2 au CM2) ainsi que deux élèves de chacune des sept classes, entourés par leurs enseignants, ont travaillé sur le plan de l’école.

« Semer des graines ».
La phase suivante permettra à l’équipe éducative, aux parents d’élèves et aux agents de s’exprimer sur les scénarios issus de ces séances. La Ville et les services associés adapteront le projet, procéderont aux arbitrages financiers et à la planification des travaux qui débuteront aux alentours du début d’hiver prochain par la végétalisation, puis le réaménagement du mobilier.

Le directeur, Frédéric Moyence, se félicite de ces aménagements qui vont dans le même sens que de l’obtention du label E3D qui valorise les établissements engagés pour le développement durable et la transition écologique : un projet global et fédérateur. « Il s’agit de semer des graines » pour les enfants, futurs acteurs de la lutte contre le changement climatique.

Le directeur souligne que cela devrait permettre également d’avoir un impact sur l’égalité fille garçon dans la cour. Il rappelle l’important travail mené par l’équipe éducative sur la question et l’implication des enfants. Le maire, Patrick Pujol, s’est engagé à végétaliser l’ensemble des cours d’école de la commune sur la durée de son mandat.
 
Le Midi Libre | 05.07.2021
Pont et seuil d'Aubais-Villetelle font leur mue
Les aménagements du pont et du seuil d'Aubais-Villetelle, qui avoisinent 1 M€, ont été inaugurés ce vendredi matin.
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La Voix du Nord | 04.07.2021
Auxi-le-Château : Le projet de halle couverte de retour au conseil municipal
Le projet d’aménagement d’une halle couverte est de nouveau revenu sur la table du conseil municipal. Un projet qui s’affine, progresse...
 
Lundi, c’était signature d’une convention tripartite entre la commune d’Auxi, la communauté de communes et l’État pour officialiser la participation d’Auxi au dispositif « Petites villes de demain ». Une signature au cours de laquelle il a forcément été question du projet de halle couverte polyvalente dans une friche du centre-ville. Le lendemain, le sujet est revenu sur la table, cette fois en conseil municipal.

Le maire, Henri Dejonghe, a présenté aux élus une base de travail pour l’aménagement de la halle. Sur l’idée générale, on partirait sur un espace de 390 m2, avec autour un espace paysager comprenant aire de jeux et jardins potagers, une placette d’accueil ainsi qu’une placette commerçante à l’arrière de la halle, un hub de la mobilité… « Le long du bâtiment existant, on fera également un auvent de 140 m2 avec des panneaux solaires », détaille Henri Dejonghe.

1,2 M d’euros de budget
Différentes options ont été présentées en ce qui concerne les ouvertures de la halle. Absence de parois à certains endroits, parois amovibles, translucides ou fixes sont autant de scénarios à étudier. Entre la halle et la placette commerciale, « nous en avons discuté avec les commerçants qui nous disent que dans un marché, il ne faut pas de coupure ». Sur la longueur du bâtiment, « il n’est pas souhaitable que tout soit fermé », expose le maire. En revanche, « si on propose des activités dans la halle, il ne faut pas non plus trop ouvrir », poursuit Bernard Fincke, adjoint au maire.

Côté budget, on part sur une estimation de 1,215 million d’euros et sur des subventions espérées à 80 %. Après cette présentation et en attendant que le projet s’affine, les élus avaient à se prononcer sur la poursuite des consultations. Un vote acquis à la majorité des voix, Bernard Lacoste s’abstenant sur ce point. La prochaine étape, pour cette halle couverte, ce sera la phase d’avant-projet. « Ça va encore évoluer avant d’arriver au projet final », note Henri Dejonghe. L’inauguration, quant à elle, est attendue pour mai 2023.
 
L'Avenir de l'Artois | 24.06.2021
Lens : le nouvel hôpital entre dans sa dernière phase de préparation avant le début de la construction
Après une longue préparation, le chantier du nouvel hôpital débute. Un géant de 571 lits verra le jour en 2025. Six mois après l’inauguration des voies d’accès, place au terrassement du terrain sur lequel le nouvel hôpital de Lens sera implanté. Cette phase durera six mois. Elle précède la construction des bâtiments
 
On est sur le chantier. Le timing est bon ”, lance avec enthousiasme Bruno Donius, directeur du Groupement hospitalier de territoire de l’Artois (GHT). En effet, la première inauguration avait eu lieu en décembre 2020, pour étrenner les voies d’accès au futur hôpital. Le directeur avait alors annoncé : « La prochaine visite aura lieu dans six mois pour le chantier ». Entre-temps, le site a bien évolué. Avec notamment l’apparition de 1 800 mètres de palissades qui l’entourent. « Désormais, les travaux vont entrer dans le dur avec le terrassement. Le but va être d’équilibrer le terrain et de tout mettre à plat », poursuit Bruno Donius. Une phase titanesque, puisque le site est sur une emprise de plus de 20 hectares. « Aujourd’hui avec l’utilisation des GPS dans les engins, des plans en 3D, il est plus facile de travailler. Surtout sur une telle surface. C’est devenu très technique avec le travail de géométrie. Environ 200 000 m² de terre vont être remaniés », détaille Julien Depret, directeur technique du projet.

160 000 m3 de terre à enlever
Ce travail de terrassement va amener les ouvriers à creuser jusqu’à six mètres de profondeur. « Cela va se faire par tranches de deux mètres. Car nous sommes sur une terre avec un lourd passé. Ainsi, tous les deux mètres, il y aura une opération de dépollution pyrotechnique. Cela représente 160 000 m3 de terre à excaver », explique Julien Depret. D’ailleurs celle-ci a déjà commencé depuis deux ans. Plus de 20 000 projectiles (cartouches, grenades, obus, etc.) ont été retrouvés. Des corps de soldats de la Première Guerre mondiale ont également été mis au jour. « Ce travail a débuté fin mai et il s’étendra jusque fin décembre pour un coût de 950 000 euros. C’est un travail qui prépare le terrain. Ensuite, la construction du bâtiment pourra commencer », commente le directeur technique. Donc, vers décembre-janvier, les constructions commenceront.
Un projet né il y a 11 ans
C’est un chantier colossal de 330 millions d’euros qui est en train de sortir de terre. Le projet est né il y a quasiment 11 ans. Thierry Daubresse, du conseil de surveillance, se souvient : « C’est plus de dix ans de réflexion et de travail. C’est une vraie satisfaction de voir ce projet démarrer. Maintenant, il va falloir un investissement fort du monde politique pour amener la population à venir se faire soigner. » Un enthousiasme corroboré par Bruno Frimat, chef du pôle pharmaceutique et stérilisation : « Tout le monde médical participe à ce projet. Ce sera un outil moderne et nous (NDLR : les soignants) sommes impliqués à tous les niveaux. Que ce soit dans la vision humaine, dans le besoin des équipements, etc. Toutes les spécialités médicales sont consultées et la nouvelle génération est autant sollicitée que l’ancienne. »
Ce chantier titanesque avance doucement mais sûrement. Et la patience est le maître mot puisque sa fin est annoncée pour 2025.

Les faits
17 décembre 2020 : inauguration de la voie d’accès à l’hôpital. Une première étape pour un chantier qui devrait s’étendre jusqu’au premier semestre de 2025.
22 juin 2021 : les pieds au cœur du chantier. C’est désormais l’étape de terrassement qui commence par une phase de près de six mois pour mettre le terrain à plat et préparer le sol au chantier proprement dit.
Décembre 2020-Janvier 2021 : le terrassement devrait être terminé. Ce sera alors le début de la construction du bâtiment.

Les chiffres à retenir
2 : c’est le nombre d’années qu’a pris l’opération de déplacement de la ligne très haute tension entre avril 2016 et avril 2018.
2 : depuis deux ans, le site est en phase de dépollution pyrotechnique. Un chiffre amené à évoluer puisque cette phase se poursuit.
10 : c’est le nombre d’années (11 ans en décembre) qu’il a fallu entre l’idée du projet le début de sa réalisation.
14 : c’est le nombre de salles d’opération prévues, dont deux pour la chirurgie cardiaque.
571 : c’est le nombre de lits de médecine qu’il y aura dans l’hôpital.
20 000 : c’est le nombre approximatif de projectiles de la Première Guerre mondiale qui ont déjà été retrouvés sur le site.