
Bulletin municipal n° 40 | Juillet 2024
Saint-Loup-Géanges : Réaménagement
de la place de l'église
de la place de l'église
La municipalité avait programmé un réaménagement complet de cet espace central afin de lui redonner un aspect environnemental de qualité et remettre en valeur l'église classé monument historique. Avec l'aide du Service d'Appui Technique aux Communes) du Grand Chalon, un maître d'œuvre a été sélectionné sur appel d'offres (agence JDM Dijon en partenariat avec Verdi Ingénierie), un avant-projet a été défini et présenté en réunion publique en novembre 2021.
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Le Progrès | 24.06.204
Louvatange, Orchamps, Vitreux : Jura Nord a présenté les nouveaux ouvrages d'assainissement
Jura Nord a inauguré les ouvrages d’assainissement de Vitreux, Louvatange et Orchamps. Au total, le budget pour ces travaux a été de 15 millions d’euros.
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Samedi 22 juin, le président de Jura Nord, Gérôme Fassenet, a invité de nombreuses personnalités et la population des communes concernées pour l'inauguration des ouvrages d'assainissement réalisés à Vitreux, Louvatange et Orchamps.
Dans sa présentation de l'évènement, le président de Jura Nord précise : “ Afin de garantir des rejets dans la nature les plus propres possibles, nous avons mis en place un vaste plan de rénovation massive des ouvrages d'assainissement collectif et des réseaux pour un budget global de 15 millions d'euros. Ces nouvelles infrastructures de Vitreux,
Louvatange et Orchamps répondent aux normes en vigueur, dans le respect de l'environnement, en utilisant des technologies innovantes. ”
Vitreux se dote d'un nouveau réseau
Vitreux est maintenant aux normes pour la partie publique. La commune était en réseau unitaire, elle est désormais passée en séparatif complet. Les réseaux destinés aux eaux usées sont neufs, les anciennes canalisations accueillent aujourd'hui les rejets pluviaux. Le montant des travaux sur le réseau et le poste de relevage s'élève à 886 846 € HT.
Pour la station, le choix s'est porté sur la construction d'une station par filtres plantés de roseaux à l'extérieur de la commune pour un montant de 382 827 € HT.

Gérôme Fassenet, président de Jura Nord, pendant son discours inaugural.
A Orchamps, un système inédit
À Orchamps, un procédé épuratoire inédit dans le Jura a été mis en place. La nouvelle station repose sur une technologie innovante et brevetée : un procédé par filtres plantés de roseaux appelé Rhyzossph'air® qui permet d'améliorer nettement les rendements épuratoires tout en diminuant la surface au sol. Le coût des travaux s'élève à 1 888 659 € HT.
Louvatange mise sur des solutions innovantes
Enfin, à Louvatange des solutions innovantes ont été trouvées pour la réhabilitation des réseaux. Une réhabilitation traditionnelle par ouverture de tranchées a permis d'installer des nouvelles conduites en PVC.
Alors que là où les réseaux étaient moins endommagés, l'accès s'est fait par les regards et un robot est intervenu pour déployer une chaussette autour des canalisations altérées. Cette chaussette agit comme une seconde peau qui redonne de l'étanchéité aux réseaux grâce à une résine époxy. Le montant des travaux est de 292 671 € HT.
L'ensemble de ces travaux a été suivi, comme maître d'œuvre par Verdi Ingénierie. Les travaux ont été réalisés par Petitjean TP (terrassements), Groupement Orpeo Environnement à Vitreux et à Louvatange, Savea (process transite et station) à Orchamps.
Repères ►
D'autre part, Jura Nord a signé avec le groupe Sogedo un partenariat. Ce groupe exploite pour Jura Nord l'assainissement collectif depuis le 1er janvier 2022 et l'assainissement non collectif depuis le 1er janvier 2023. Avec son agence locale à Rochefort-sur-Nenon, la Sogedo assure un service de proximité avec des techniciens sur place.
Dans sa présentation de l'évènement, le président de Jura Nord précise : “ Afin de garantir des rejets dans la nature les plus propres possibles, nous avons mis en place un vaste plan de rénovation massive des ouvrages d'assainissement collectif et des réseaux pour un budget global de 15 millions d'euros. Ces nouvelles infrastructures de Vitreux,
Louvatange et Orchamps répondent aux normes en vigueur, dans le respect de l'environnement, en utilisant des technologies innovantes. ”
Vitreux se dote d'un nouveau réseau
Vitreux est maintenant aux normes pour la partie publique. La commune était en réseau unitaire, elle est désormais passée en séparatif complet. Les réseaux destinés aux eaux usées sont neufs, les anciennes canalisations accueillent aujourd'hui les rejets pluviaux. Le montant des travaux sur le réseau et le poste de relevage s'élève à 886 846 € HT.
Pour la station, le choix s'est porté sur la construction d'une station par filtres plantés de roseaux à l'extérieur de la commune pour un montant de 382 827 € HT.

Gérôme Fassenet, président de Jura Nord, pendant son discours inaugural.
A Orchamps, un système inédit
À Orchamps, un procédé épuratoire inédit dans le Jura a été mis en place. La nouvelle station repose sur une technologie innovante et brevetée : un procédé par filtres plantés de roseaux appelé Rhyzossph'air® qui permet d'améliorer nettement les rendements épuratoires tout en diminuant la surface au sol. Le coût des travaux s'élève à 1 888 659 € HT.
Louvatange mise sur des solutions innovantes
Enfin, à Louvatange des solutions innovantes ont été trouvées pour la réhabilitation des réseaux. Une réhabilitation traditionnelle par ouverture de tranchées a permis d'installer des nouvelles conduites en PVC.
Alors que là où les réseaux étaient moins endommagés, l'accès s'est fait par les regards et un robot est intervenu pour déployer une chaussette autour des canalisations altérées. Cette chaussette agit comme une seconde peau qui redonne de l'étanchéité aux réseaux grâce à une résine époxy. Le montant des travaux est de 292 671 € HT.
L'ensemble de ces travaux a été suivi, comme maître d'œuvre par Verdi Ingénierie. Les travaux ont été réalisés par Petitjean TP (terrassements), Groupement Orpeo Environnement à Vitreux et à Louvatange, Savea (process transite et station) à Orchamps.
Repères ►
D'autre part, Jura Nord a signé avec le groupe Sogedo un partenariat. Ce groupe exploite pour Jura Nord l'assainissement collectif depuis le 1er janvier 2022 et l'assainissement non collectif depuis le 1er janvier 2023. Avec son agence locale à Rochefort-sur-Nenon, la Sogedo assure un service de proximité avec des techniciens sur place.

Vosges Matin | 15.06.2024
Épinal, la déconstruction de l’ex-concession auto, rue Lyautey, achevée mi-juillet
L’emprise de 3 200 m2, qui abritait par le passé la concession Citroën, des bureaux, des appartements et des bâtiments périphériques, est désormais à ciel ouvert. Délestée des constructions et des gravats mi-juillet, elle portera deux nouvelles résidences locatives gérées par Vosgelis et une troisième dont les appartements sont commercialisés par sa filiale Neobilis.
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L’endroit était devenu friche depuis quelques années déjà. Au bout de la rue Maréchal-Lyautey, la déconstruction de ce qui fut une concession automobile Citroën par le passé, et plus récemment Hyundaï, bat son plein.
Alors qu’une première phase, moins visible, avait déjà été engagée début mai portant sur les parties intérieures, cachées par les murs, à la fois du côté de la rue Lyautey et du côté de la rue François-de-Neufchâteau, les façades sont, en partie, tombées depuis quelques jours. Laissant apparaître la perspective entre les deux artères donnant une idée du volume de bâtiments qui, par le passé, et avant de devenir concession automobile, abritaient les faïenceries d’Épinal (la rue François de Neufchâteau s’appelait rue de la Faïencerie).

Thierry Dubrocas (Vosgelis), Pascale Dispot (Neobilis) et Nicolas Kocher (VERDI Grand Est) ont visité le chantier. Photo Jean-Christophe Pignon
Tout a presque disparu des locaux dont la déconstruction devrait s’achever mi-juillet. Viendra alors le temps de la mise en place des fondations, à partir de fin septembre, qui supporteront trois nouvelles résidences. Novalys en est le constructeur pour le compte de Vosgelis et sa filiale Neobilis, spécialisée dans l’accession à la propriété.
En chantier jusqu’à mi-2026
Dans l’articulation des travaux, c’est par la rue François de Neufchâteau que seront déclenchées les premières constructions pour redescendre, progressivement, vers la rue Lyautey.
Du côté de la rue François de Neufchâteau, l’un des bâtiments gérés par Vosgelis comptera onze logements (7 x T2, 2 x T3, 2 x T4), tandis que celui qui se trouvera en bordure de la rue Lyautey, plus grand, réunira 45 appartements (13 x T2, 17 x T3, 15 x T4).
Un troisième bâtiment (les Terrasses de la Moselle) sera, lui, implanté en milieu de parcelle et géré par Neobilis. Les 22 logements créés (8 x T2, 14 x T3) ont vocation à être vendus (le 14e acte de vente doit être signé prochainement) à des locataires accédants dans le cadre d’un dispositif d’accès facilité à la propriété.
Conduits sous la maîtrise d’ouvrage de VERDI Grand Est, les travaux doivent s’achever fin 2025 pour le bâtiment central et celui côté rue François de Neufchâteau et mi-2026 pour la résidence implantée du côté de la rue Maréchal Lyautey.
Alors qu’une première phase, moins visible, avait déjà été engagée début mai portant sur les parties intérieures, cachées par les murs, à la fois du côté de la rue Lyautey et du côté de la rue François-de-Neufchâteau, les façades sont, en partie, tombées depuis quelques jours. Laissant apparaître la perspective entre les deux artères donnant une idée du volume de bâtiments qui, par le passé, et avant de devenir concession automobile, abritaient les faïenceries d’Épinal (la rue François de Neufchâteau s’appelait rue de la Faïencerie).

Thierry Dubrocas (Vosgelis), Pascale Dispot (Neobilis) et Nicolas Kocher (VERDI Grand Est) ont visité le chantier. Photo Jean-Christophe Pignon
Tout a presque disparu des locaux dont la déconstruction devrait s’achever mi-juillet. Viendra alors le temps de la mise en place des fondations, à partir de fin septembre, qui supporteront trois nouvelles résidences. Novalys en est le constructeur pour le compte de Vosgelis et sa filiale Neobilis, spécialisée dans l’accession à la propriété.
En chantier jusqu’à mi-2026
Dans l’articulation des travaux, c’est par la rue François de Neufchâteau que seront déclenchées les premières constructions pour redescendre, progressivement, vers la rue Lyautey.
Du côté de la rue François de Neufchâteau, l’un des bâtiments gérés par Vosgelis comptera onze logements (7 x T2, 2 x T3, 2 x T4), tandis que celui qui se trouvera en bordure de la rue Lyautey, plus grand, réunira 45 appartements (13 x T2, 17 x T3, 15 x T4).
Un troisième bâtiment (les Terrasses de la Moselle) sera, lui, implanté en milieu de parcelle et géré par Neobilis. Les 22 logements créés (8 x T2, 14 x T3) ont vocation à être vendus (le 14e acte de vente doit être signé prochainement) à des locataires accédants dans le cadre d’un dispositif d’accès facilité à la propriété.
Conduits sous la maîtrise d’ouvrage de VERDI Grand Est, les travaux doivent s’achever fin 2025 pour le bâtiment central et celui côté rue François de Neufchâteau et mi-2026 pour la résidence implantée du côté de la rue Maréchal Lyautey.

Ouest-France | 03.06.2024
Le Loroux-Bottereau : L’aménagement de la rue
du Martray se profile
du Martray se profile
Rue du Martray, au Loroux-Bottereau (Loire-Atlantique), ce chantier de voirie va sécuriser et embellir une des entrées de ville. Huit mois de travaux seront nécessaires, à partir de la fin d'année, jusqu'à l'été 2025.
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Il était attendu depuis de nombreux mois, voire des années, par les riverains. Le chantier d’aménagement de la rue du Martray, au Loroux-Bottereau (Loire-Atlantique), va se concrétiser en fin d’année, jusqu’à l’été 2025.
“ À ce titre et sous d’autres aspects, c’est un chantier majeur de notre mandat ”, annonce le maire, Emmanuel Rivery. Par son coût, d’abord : près d’un million d’euros répartis sur deux exercices. Par son emplacement, ensuite : l’entrée de ville en provenance de La Chapelle-Heulin, de Goulaine et l’Ouen. Par sa longueur, aussi : 450 m entre le rond-point de la rue de Vendée et l’entrée d’agglomération près du pont sur le Breil. Par ses enjeux, enfin : Garantir la fluidité et la sécurité des différents usages de circulation (piétons, vélos, autos), aboutir à un aménagement de qualité, avec des espaces verts et un mobilier urbain renouvelés, souligne le maire.
Un plan de circulation adapté
La maîtrise d’œuvre a été confiée au cabinet Verdi, qui a travaillé avec les référents de quartier et rencontré les riverains, notamment lors d’une déambulation en décembre dernier, puis plus récemment. Les plans sont presque finalisés.
Sur l’avant-projet sommaire, le trafic automobile est ralenti par quelques chicanes et plateaux. Les cyclistes bénéficieront d’une piste réservée dans le sens montant (un chaussidou dans le sens descendant). Le nombre de places de stationnement est préservé. De vieux arbres seront prélevés, mais remplacés, et onze plans seront ajoutés, alors que les espaces verts seront accrus de 700 m2.
Huit mois de travaux, en prévision
“ Attention, ce n’est pas encore le projet tout à fait définitif, nous allons tenir compte des remarques des riverains, tout en restant dans l’enveloppe fixée ”, prévient Emmanuel Rivery. Les travaux d’effacement des réseaux sont terminés et l’été sera consacré à ceux concernant l’éclairage public. “ Nous serons en mesure de lancer l’appel d’offres en septembre, ajoute le directeur général, Yann Baudry, pour un début des travaux au quatrième trimestre et une durée de huit mois environ. ”
S’agissant d’une voie départementale, la participation du Département est en discussion. Réjane Sécher, première adjointe, ajoute qu’“ il ne faut pas oublier les petits travaux pour améliorer la sécurité dans les villages, déjà réalisés ou qui vont l’être prochainement” et de citer “ le Pé-Bardou, le Moulin-des-landes, le Pertunier et la Pouivetière ”.
“ À ce titre et sous d’autres aspects, c’est un chantier majeur de notre mandat ”, annonce le maire, Emmanuel Rivery. Par son coût, d’abord : près d’un million d’euros répartis sur deux exercices. Par son emplacement, ensuite : l’entrée de ville en provenance de La Chapelle-Heulin, de Goulaine et l’Ouen. Par sa longueur, aussi : 450 m entre le rond-point de la rue de Vendée et l’entrée d’agglomération près du pont sur le Breil. Par ses enjeux, enfin : Garantir la fluidité et la sécurité des différents usages de circulation (piétons, vélos, autos), aboutir à un aménagement de qualité, avec des espaces verts et un mobilier urbain renouvelés, souligne le maire.
Un plan de circulation adapté
La maîtrise d’œuvre a été confiée au cabinet Verdi, qui a travaillé avec les référents de quartier et rencontré les riverains, notamment lors d’une déambulation en décembre dernier, puis plus récemment. Les plans sont presque finalisés.
Sur l’avant-projet sommaire, le trafic automobile est ralenti par quelques chicanes et plateaux. Les cyclistes bénéficieront d’une piste réservée dans le sens montant (un chaussidou dans le sens descendant). Le nombre de places de stationnement est préservé. De vieux arbres seront prélevés, mais remplacés, et onze plans seront ajoutés, alors que les espaces verts seront accrus de 700 m2.
Huit mois de travaux, en prévision
“ Attention, ce n’est pas encore le projet tout à fait définitif, nous allons tenir compte des remarques des riverains, tout en restant dans l’enveloppe fixée ”, prévient Emmanuel Rivery. Les travaux d’effacement des réseaux sont terminés et l’été sera consacré à ceux concernant l’éclairage public. “ Nous serons en mesure de lancer l’appel d’offres en septembre, ajoute le directeur général, Yann Baudry, pour un début des travaux au quatrième trimestre et une durée de huit mois environ. ”
S’agissant d’une voie départementale, la participation du Département est en discussion. Réjane Sécher, première adjointe, ajoute qu’“ il ne faut pas oublier les petits travaux pour améliorer la sécurité dans les villages, déjà réalisés ou qui vont l’être prochainement” et de citer “ le Pé-Bardou, le Moulin-des-landes, le Pertunier et la Pouivetière ”.

Journal de la Haute-Marne | 27.05.2024
Rolampont : l'eau potable
et l'assainissement au cœur
de la réunion
et l'assainissement au cœur
de la réunion
Le conseil municipal s'est réuni le 15 mai, dans la salle de la mairie, sous la présidence de Céline Bernand, maire. Les élus ont délibéré.
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Étude du schéma directeur d’eau potable : avec l’assistance du Conseil départemental, le bureau d’études Verdi a été classé le mieux-disant des trois prestataires ayant répondu à ce marché. Le montant de l’offre retenue s’élève à 73 148 € HT qui sera subventionné à hauteur de 80 % par l’Agence de l’eau Seine-Normandie. Cette étude vise à établir un état des lieux des installations nécessaires à l’établissement d’un programme d’action priorisé. Cette étude débutera tout d’abord à Charmoilles afin de coordonner les expertises avec celles relatives à l’assainissement en cours sur ce territoire.

Hebdo39 | 14.05.2024
Poligny :
La transformation urbaine
se poursuit…
La transformation urbaine
se poursuit…
Samedi 4 mai, de nombreux élus et polinois s’étaient donnés rendez-vous pour l’inauguration de la 4e phase de requalification de la rue Charles de Gaulle, une étape importante dans le développement de Poligny. Une inauguration festive et colorée avec les échassiers de la Compagnie Cycloplume de Salins-les-Bains.
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Historique et transformation urbaine
La rue, créée il y a cinquante ans, a été essentielle pour le développement de la ville, notamment avec l’extension de la cité du comté dans les années 70. À l’origine, elle reliait la route de Dole à celle de Lons mais après plusieurs décennies, son état s’était détérioré.
Vers une ville plus cyclable
Dans un contexte de changements sociaux et de besoins de mobilité, Poligny s’adapte. Cette phase d’inauguration inclut une deuxième piste cyclable d’environ 3 km, autonome et protégée, s’inscrivant dans un plan global pour atteindre 6 km d’ici 2026. Des incitations à l’utilisation du vélo électrique sont également mises en place (une aide de 200 € cumulable avec celle de l’état). Plus de 100 primes ont été versées depuis le lancement de l’opération.

Quel bonheur pour les enfants de rouler en toute sécurité.
Un programme de requalification urbaine
La requalification de la rue Charles De Gaulle comprend une voie cyclable de 1,2 km, séparée de la voie piétonne, des signalisations pour les traversées piétonnes, une végétation abondante avec 68 arbres et 1 200 plantations, ainsi que des places de parking perméables, des bancs et l’agrandissement de certains carrefours pour une meilleure visibilité. Cette phase s’inscrit dans un programme plus large lancé dans les années 2010 par l’étude globale de requalification urbaine menée par « Au-delà du fleuve ». Elle fait partie des 4 phases déjà réalisées avec le quartier du Vieil Hopital, la Grande rue, et le quartier de Charcigny. Le quartier de la gare, qui est la 5e phase, est en cours de chantier.
Vers une ville attrayante et durable
Demain, Poligny doit se dessiner comme une ville attractive et durable, en privilégiant les mobilités douces, les ilots de fraicheur et les parcs inter générationnels. Créer un cadre de vie propice aux déplacements et à la convivialité est l’objectif. Des concertations avec les habitants sont au cœur de ces projets, afin de répondre au mieux aux besoins de la communauté.
Coûts et financements
Le coût total des cinq premières phases, comprenant l’assainissement et la requalification urbaine, s’élève à 10,5 millions d’euros. Pour la sixième phase, la requalification du Champ de Foire, des esquisses ont déjà été réalisées et de nombreuses concertations sont prévues. Les travaux bénéficient de subventions de différentes instances, notamment l’Agence de l’eau, l’État avec la DETR, la Région Bourgogne-Franche-Comté et le Département du Jura.
La rue, créée il y a cinquante ans, a été essentielle pour le développement de la ville, notamment avec l’extension de la cité du comté dans les années 70. À l’origine, elle reliait la route de Dole à celle de Lons mais après plusieurs décennies, son état s’était détérioré.
Vers une ville plus cyclable
Dans un contexte de changements sociaux et de besoins de mobilité, Poligny s’adapte. Cette phase d’inauguration inclut une deuxième piste cyclable d’environ 3 km, autonome et protégée, s’inscrivant dans un plan global pour atteindre 6 km d’ici 2026. Des incitations à l’utilisation du vélo électrique sont également mises en place (une aide de 200 € cumulable avec celle de l’état). Plus de 100 primes ont été versées depuis le lancement de l’opération.

Quel bonheur pour les enfants de rouler en toute sécurité.
Un programme de requalification urbaine
La requalification de la rue Charles De Gaulle comprend une voie cyclable de 1,2 km, séparée de la voie piétonne, des signalisations pour les traversées piétonnes, une végétation abondante avec 68 arbres et 1 200 plantations, ainsi que des places de parking perméables, des bancs et l’agrandissement de certains carrefours pour une meilleure visibilité. Cette phase s’inscrit dans un programme plus large lancé dans les années 2010 par l’étude globale de requalification urbaine menée par « Au-delà du fleuve ». Elle fait partie des 4 phases déjà réalisées avec le quartier du Vieil Hopital, la Grande rue, et le quartier de Charcigny. Le quartier de la gare, qui est la 5e phase, est en cours de chantier.
Vers une ville attrayante et durable
Demain, Poligny doit se dessiner comme une ville attractive et durable, en privilégiant les mobilités douces, les ilots de fraicheur et les parcs inter générationnels. Créer un cadre de vie propice aux déplacements et à la convivialité est l’objectif. Des concertations avec les habitants sont au cœur de ces projets, afin de répondre au mieux aux besoins de la communauté.
Coûts et financements
Le coût total des cinq premières phases, comprenant l’assainissement et la requalification urbaine, s’élève à 10,5 millions d’euros. Pour la sixième phase, la requalification du Champ de Foire, des esquisses ont déjà été réalisées et de nombreuses concertations sont prévues. Les travaux bénéficient de subventions de différentes instances, notamment l’Agence de l’eau, l’État avec la DETR, la Région Bourgogne-Franche-Comté et le Département du Jura.

Vosges Matin | 02.05.2024
Epinal, La démolition
de l'ex-concession
de la rue Lyautey a commencé
de l'ex-concession
de la rue Lyautey a commencé
Comme annoncé, les travaux de démolition de l'ancienne et historique concession automobile viennent de commencer au bout de la rue du Maréchal-Lyautey. Suivront ceux de construction de 78 logements répartis en trois bâtiments. Une page de l'histoire spinalienne se tourne.
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Cela ne se remarque guère depuis l'extérieur. Mais à l'intérieur, les en gins de démolition, les pelleteuses et camions sont en action. Comme cela avait été annoncé, le chantier de démolition de l'ex-concession automobile située au bout de la rue Maréchal Lyautey a commencé. Ce qui ne représente pas une petite opération. Ce ne sont pas moins de3 250 m2 qui sont à démolir, situés sur une surface dite “ du plancher ” de 5 451 m2. Un espace à remettre à nu, pour rester dans le jargon des professionnels de l'immobilier.

Comme prévu, la démolition de l'ancienne concession automobile de la rue du Maréchal-Lyautey a été lancée. Annonçant la création de 78 logements dans trois bâtiments neufs.
C'est une page de l'histoire d'Épinal qui est en train de se tourner, cette concession automobile ayant vécu durant plusieurs décennies, notamment sous la bannière de la marque aux chevrons, Citroën. Qui n'a jamais eu affaire aux frères Anotin ? L'un d'eux ayant d'ailleurs bouclé la boucle en créant là une concession Hyundai.
Place aux logements
Il n'y aura plus d'ateliers ni de salons de présentation entre la rue du Maréchal-Lyautey et la rue François-de-Neufchâteau. Cela est acté depuis l'acceptation du projet immobilier porté par la société Novalys, basée à Amiens. Laquelle entreprend en quelque sorte pour le compte du bailleur social qu'est Vosgelis. Et sa filiale Néobilis.
En résumé, ce sont 78 logements qui vont sortir de terre, répartis dans trois immeubles. Comme inscrit au programme, on trouvera là et dans deux bâtiments 56 appartements allant du T2 au T4 qui seront mis en location en qualité-de logements sociaux.
Le troisième bâtiment prendra le nom de “ Terrasses sur la Moselle ”, qui comprendra 22 logements réservés à l'accession sécurisée à la propriété. Un mode dit aussi d'accession sociale, les futurs occupants devant dans un premier temps verser des loyers avant de devenir propriétaires. Cette partie-là du projet, c'est la filiale de Vosgelis, Néobilis, qui s'en charge.
La commercialisation sur plan a récemment démarré. Selon les surfaces, l'investissement peut évidemment varier, sachant que la mise minimale est estimée à 122 000 €.

Comme prévu, la démolition de l'ancienne concession automobile de la rue du Maréchal-Lyautey a été lancée. Annonçant la création de 78 logements dans trois bâtiments neufs.
C'est une page de l'histoire d'Épinal qui est en train de se tourner, cette concession automobile ayant vécu durant plusieurs décennies, notamment sous la bannière de la marque aux chevrons, Citroën. Qui n'a jamais eu affaire aux frères Anotin ? L'un d'eux ayant d'ailleurs bouclé la boucle en créant là une concession Hyundai.
Place aux logements
Il n'y aura plus d'ateliers ni de salons de présentation entre la rue du Maréchal-Lyautey et la rue François-de-Neufchâteau. Cela est acté depuis l'acceptation du projet immobilier porté par la société Novalys, basée à Amiens. Laquelle entreprend en quelque sorte pour le compte du bailleur social qu'est Vosgelis. Et sa filiale Néobilis.
En résumé, ce sont 78 logements qui vont sortir de terre, répartis dans trois immeubles. Comme inscrit au programme, on trouvera là et dans deux bâtiments 56 appartements allant du T2 au T4 qui seront mis en location en qualité-de logements sociaux.
Le troisième bâtiment prendra le nom de “ Terrasses sur la Moselle ”, qui comprendra 22 logements réservés à l'accession sécurisée à la propriété. Un mode dit aussi d'accession sociale, les futurs occupants devant dans un premier temps verser des loyers avant de devenir propriétaires. Cette partie-là du projet, c'est la filiale de Vosgelis, Néobilis, qui s'en charge.
La commercialisation sur plan a récemment démarré. Selon les surfaces, l'investissement peut évidemment varier, sachant que la mise minimale est estimée à 122 000 €.

Passimag n°2 | 30.04.2024
Mons-en-Barœul : Bioclimatisme
et logements passifs
et logements passifs
l'Agence Matthieu Merlier Architecture (AMMA ) et Verdi ont conçu pour Vilogia, 43 logements passifs parés d'étonnants rideaux occultants. Zoom sur une réalisation expérimentale et critique, guidée de manière exemplaire par les principes bioclimatiques et l'attention portée aux usagers.
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Dans quel contexte les deux immeubles de logements à Mons-en-Barœul ont-ils vu le jour ?
Matthieu Merlier : Ils sont nés d’un appel d’offres lancé en janvier 2019 par le bailleur social Vilogia, appel d’offres lui-même inscrit dans le cadre d’un projet de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU). La parcelle concernée hébergeait auparavant une barre de logements du CROUS vétuste et démolie pour redynamiser le quartier. Surtout, elle est située au cœur de la plus grande ZUP des années 1960 au nord de Paris, entre des tours en R+15 et des logements pavillonnaires. À l’échelle de la ville, l’enjeu était donc de ménager une couture urbaine ; à l’échelle du projet, il s’agissait d’interroger le logement social ainsi que le standard passif, notamment du point de vue de l’habitabilité et du confort d’usage.
Comment se matérialisent ces questionnements ?
M.M. : Nous sommes dans le nord de la France ; malgré le réchauffement climatique, l’accès au sud et à la lumière est toujours apprécié. Afin de proposer une qualité de vie maximale, nous nous sommes fixé la contrainte d’orienter l’intégralité des séjours au sud, quelle que soit la typologie des logements. De plus, tous ces séjours sont prolongés par un espace extérieur, un grand balcon, qui confère une réelle sensation de bien-être et fait office de brise-soleil pour l’appartement du dessous.
Et au regard du passif ?
M.M. : Parmi nos réflexions, nous avons beaucoup travaillé sur les dispositifs d’occultation qui, en passif, sont forcément installés à l’extérieur. Or, l’été, quand on doit utiliser ce dispositif, on ne peut plus accéder à son espace extérieur, ce qui est un peu contradictoire. On se retrouve alors souvent avec des équipements malmenés, parce que les gens essaient de se glisser dessous, etc. Pour contourner cette problématique, nous avons déporté les protections solaires grâce au dispositif de rideaux mis en œuvre en façade : même fermés, le locataire continue de profiter de son balcon. Ces rideaux évitent également que les habitants n’installent sur les garde-corps des canisses, lesquelles auraient été néfastes pour les apports de chaleur en hiver…

Livrée au printemps 2023, la résidence Van Der Meersch, labellisée Bâtiment Passif Classique, abrite 43 logements sociaux – allant du T2 au T5 – répartis en deux édifices.
Cette répartition, la maîtrise d’ouvrage ne l’avait pas immédiatement envisagée : “ la fiche de lot était accompagnée d’une étude de faisabilité, avec un gabarit qui s’apparentait à l’implantation de l’ancien bâtiment du CROUS, c’est-à-dire avec des façades orientées est/ouest et un pignon au sud, contextualise Matthieu Merlier, fondateur et gérant de l’agence AMM A. Au fil de nos études, nous nous sommes interrogés sur la capacité d’un tel projet à devenir passif. Dissocier le programme en deux bâtiments permettait d’optimiser les apports solaires sans se tourner vers un épannelage en escalier et les problèmes de ponts thermiques qui vont avec. Nous avons donc pris le parti de proposer deux parallélépipèdes rectangles extrêmement compacts, orientés plein sud. ”
Pour minimiser les masques d’ombrages d’un volume sur l’autre, le bâtiment le plus au sud s’élève en R+4, contre un R+5 pour le second dont le rez-de- chaussée n’accueille aucun logement. Après plusieurs études d’héliodons visant à déterminer les implantations optimales, les résultats sont là. Pour preuve, le PHPP évalue à 36 % les apports solaires passifs de l’immeuble au nord sur le total de ses apports de chaleur.

Un principe familier adapté en passif
Si le système de terrasses avec rideaux en prolongement des séjours n’est pas sans rappeler la méthode Lacaton & Vassal, toute l’audace de l’équipe de Matthieu Merlier réside dans le fait de l’adapter à la conception passive. Réalisés avec du textile de chez Dickson Constant par l’entreprise Isotiss, les occultants participent au confort d’été dans les deux immeubles, mais sans être indispensables. “ Par expérience, nous savons que l’usage peut contraindre les performances du bâtiment, précise l’architecte. Nos calculs sur PHPP ont donc été effectués selon le pire scénario d’usage, en imaginant qu’ils sont fermés l’hiver et ouverts l’été. En réalité, le projet est passif sans les rideaux. ” Comment ? Primo, car les textiles sont ajourés à 25 % pour laisser passer les rayons du soleil, même en janvier. Secundo, car les balcons suffisent à jouer leur rôle de casquette à la belle saison…

Matthieu Merlier : Ils sont nés d’un appel d’offres lancé en janvier 2019 par le bailleur social Vilogia, appel d’offres lui-même inscrit dans le cadre d’un projet de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU). La parcelle concernée hébergeait auparavant une barre de logements du CROUS vétuste et démolie pour redynamiser le quartier. Surtout, elle est située au cœur de la plus grande ZUP des années 1960 au nord de Paris, entre des tours en R+15 et des logements pavillonnaires. À l’échelle de la ville, l’enjeu était donc de ménager une couture urbaine ; à l’échelle du projet, il s’agissait d’interroger le logement social ainsi que le standard passif, notamment du point de vue de l’habitabilité et du confort d’usage.
Comment se matérialisent ces questionnements ?
M.M. : Nous sommes dans le nord de la France ; malgré le réchauffement climatique, l’accès au sud et à la lumière est toujours apprécié. Afin de proposer une qualité de vie maximale, nous nous sommes fixé la contrainte d’orienter l’intégralité des séjours au sud, quelle que soit la typologie des logements. De plus, tous ces séjours sont prolongés par un espace extérieur, un grand balcon, qui confère une réelle sensation de bien-être et fait office de brise-soleil pour l’appartement du dessous.
Et au regard du passif ?
M.M. : Parmi nos réflexions, nous avons beaucoup travaillé sur les dispositifs d’occultation qui, en passif, sont forcément installés à l’extérieur. Or, l’été, quand on doit utiliser ce dispositif, on ne peut plus accéder à son espace extérieur, ce qui est un peu contradictoire. On se retrouve alors souvent avec des équipements malmenés, parce que les gens essaient de se glisser dessous, etc. Pour contourner cette problématique, nous avons déporté les protections solaires grâce au dispositif de rideaux mis en œuvre en façade : même fermés, le locataire continue de profiter de son balcon. Ces rideaux évitent également que les habitants n’installent sur les garde-corps des canisses, lesquelles auraient été néfastes pour les apports de chaleur en hiver…

Livrée au printemps 2023, la résidence Van Der Meersch, labellisée Bâtiment Passif Classique, abrite 43 logements sociaux – allant du T2 au T5 – répartis en deux édifices.
Cette répartition, la maîtrise d’ouvrage ne l’avait pas immédiatement envisagée : “ la fiche de lot était accompagnée d’une étude de faisabilité, avec un gabarit qui s’apparentait à l’implantation de l’ancien bâtiment du CROUS, c’est-à-dire avec des façades orientées est/ouest et un pignon au sud, contextualise Matthieu Merlier, fondateur et gérant de l’agence AMM A. Au fil de nos études, nous nous sommes interrogés sur la capacité d’un tel projet à devenir passif. Dissocier le programme en deux bâtiments permettait d’optimiser les apports solaires sans se tourner vers un épannelage en escalier et les problèmes de ponts thermiques qui vont avec. Nous avons donc pris le parti de proposer deux parallélépipèdes rectangles extrêmement compacts, orientés plein sud. ”
Pour minimiser les masques d’ombrages d’un volume sur l’autre, le bâtiment le plus au sud s’élève en R+4, contre un R+5 pour le second dont le rez-de- chaussée n’accueille aucun logement. Après plusieurs études d’héliodons visant à déterminer les implantations optimales, les résultats sont là. Pour preuve, le PHPP évalue à 36 % les apports solaires passifs de l’immeuble au nord sur le total de ses apports de chaleur.

Un principe familier adapté en passif
Si le système de terrasses avec rideaux en prolongement des séjours n’est pas sans rappeler la méthode Lacaton & Vassal, toute l’audace de l’équipe de Matthieu Merlier réside dans le fait de l’adapter à la conception passive. Réalisés avec du textile de chez Dickson Constant par l’entreprise Isotiss, les occultants participent au confort d’été dans les deux immeubles, mais sans être indispensables. “ Par expérience, nous savons que l’usage peut contraindre les performances du bâtiment, précise l’architecte. Nos calculs sur PHPP ont donc été effectués selon le pire scénario d’usage, en imaginant qu’ils sont fermés l’hiver et ouverts l’été. En réalité, le projet est passif sans les rideaux. ” Comment ? Primo, car les textiles sont ajourés à 25 % pour laisser passer les rayons du soleil, même en janvier. Secundo, car les balcons suffisent à jouer leur rôle de casquette à la belle saison…
